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LA CRISE SANITAIRE :
Elle est désormais moins pesante au quotidien dans le fonctionnement des officines.
Elle a permis un surplus d’activités bénéfiques, qui se traduit souvent par des trésoreries excédentaires.
Vos banques ne vous proposent pas grand-chose, si ce n’est des placements sécurisés certes, mais non rémunérateurs.
Ce n’est pas une fatalité.
Des solutions existent, que nous avons mises en œuvre à différentes reprises : l’ouverture d’un compte-titres dans une banque privée de premier plan :
- Pas de droit de garde ni frais de gestion,
- Droits d’entrée minimes 0.5% rapidement amortis,
- Liquidité totale immédiate,
- Une gamme de fonds, aux performances robustes, éprouvées et résilientes.
La sélection du ou des fonds se fait en fonction de vos objectifs. S’agissant de la trésorerie de l’officine, la prudence s’impose évidemment.
Exemple d’un fonds, classé risque 3 sur l’échelle de 1 à 7 utilisée par L’Autorité des Marchés Financiers, qui a délivré la performance qui suit :
Ces chiffres sont un indicateur de la régularité de la performance du fonds, investi dans des secteurs identifiés à fort potentiel, et de sa capacité à traverser les aléas de marché, avec une volatilité très contenue.
NB : les performances passées ne présagent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.
LA CRISE GEO POLITIQUE :
La sécurisation de votre patrimoine vous préoccupe et vous souhaitez vous prémunir d’une crise systémique du marché financier européen.
Vous pouvez, en toute transparence et légalité, investir dans un contrat d’assurance-vie de droit Luxembourgeois (sécurité renforcée, choix de supports très large), libellé en francs suisses, les fonds étant déposés dans la filiale suisse d’une des principales banques privées européennes.
Vous décorrélez ainsi une partie de votre patrimoine de la devise européenne.
NDLR: Cette nouvelle rubrique est la conséquence d’une amélioration économique exceptionnelle (peut-être unique) concernant l’année 2021 liée à l’apparition des nouvelles missions créés pendant l’état d’urgence sanitaire. En tant que directeur de publication, j’ai pensé que le point de vue et le conseil de l’expert-comptable ou du banquier du pharmacien titulaire étaient insuffisants. M. Philippe RICHARD qui exerce le métier de CGP (Conseiller en Gestion de Patrimoine) auprès de notre profession depuis un certain nombre d’années nous donnera des informations régulières dans notre newsletter.
Informations d’autant plus utiles en cette période de retour possible de l’inflation et de l’existence d’un conflit armé aux portes de l’Europe. Evidemment, vous êtes libre de le contacter si vous désirez des informations complémentaires.
Philippe LANCE, Directeur de publication