Sécurité: Encore un protocole d’accord!

Nous vous transmettons le protocole d’accord départemental qui fait suite au national.

Il concerne la sécurité des professionnels de santé et il est signé par le Préfet de Police Départemental, le Directeur de l’ARS PACA et tous les syndicats de professions de santé.

N.B: Le lien ci-dessous n’est pas toujours accepté par nos navigateurs à partir de la newsletter. Dans ce cas, vous pouvez aller sur l’article figurant sur notre site en cliquant sur le titre de la newsletter.

Cliquez ici: Protocole securite 012014

 

NDLR: Nous vous conseillons de l’imprimer et de le garder précieusement dans vos archives.

Twin 30 Sagem: un problème?

Un confrère nous a alerté d’un problème avec son lecteur de carte Vitale « Twin 30 » de Sagem (produit qui n’est plus commercialisé), qui peut provoquer des erreurs de formatage des factures.

La Sécu rejette le lot dans son intégralité (RO+RC), même si une seule facture est incorrecte.

Si vous êtes aussi dans ce cas (pharmacien syndiqué « of course »), merci de nous en informer.

Nous allons nous rapprocher de la CPAM 13 pour voir ce qu’il est possible de faire.

P.L

 

CHOISISSONS L’OFFICINE: Investissons notre taxe d’apprentissage dans la formation de nos apprentis

Nous ne devons pas gaspiller notre taxe d’apprentissage dans le financement de formations sans lien avec nos officines

 

Consacrons-là à la formation de nos apprentis

 préparateurs en pharmacie

Cette année le CFA nous communique la liste des pharmaciens n’ayant pas versé la taxe d’apprentissage. Certains en sont exonérés car ils ont des apprentis, mais il y a encore près de 300 pharmacies, dans les Bouches du Rhône qui ne la versent pas au CFA

Transmettez le formulaire ci-joint à votre cabinet comptable

FORMULAIRE CABINET COMPTABLE Taxe Apprentissage

Vérifiez auprès de celui-ci qu’il a bien indiqué le CFA de la PHARMACIE comme bénéficiaire

Précisions sur le quiproquo

Quelques confrères m’ont demandé quelques précisions sur le mot « quiproquo ».

 

Ce mot est apparu au début du XVème siècle pour désigner une liste de produits substituables par un  autre si l’épicier-apothicaire ne possédait pas le produit original prescrit par le médecin. En fait les  « quiproquo » (pas de « s » au pluriel) sont les ancêtres du Répertoire National des Génériques.

 

Au début du XVIème siècle, Philippus  Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim, plus connu sous le nom de Paracelse,  fulminait  contre les apothicaires et leur fameux « qui pro quo » . Il considérait les apothicaires montpellierains  qui pratiquaient la substitution comme des profiteurs!

 

 

 

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