Sécurité: Encore un protocole d’accord!

Nous vous transmettons le protocole d’accord départemental qui fait suite au national.

Il concerne la sécurité des professionnels de santé et il est signé par le Préfet de Police Départemental, le Directeur de l’ARS PACA et tous les syndicats de professions de santé.

N.B: Le lien ci-dessous n’est pas toujours accepté par nos navigateurs à partir de la newsletter. Dans ce cas, vous pouvez aller sur l’article figurant sur notre site en cliquant sur le titre de la newsletter.

Cliquez ici: Protocole securite 012014

 

NDLR: Nous vous conseillons de l’imprimer et de le garder précieusement dans vos archives.

Twin 30 Sagem: un problème?

Un confrère nous a alerté d’un problème avec son lecteur de carte Vitale « Twin 30 » de Sagem (produit qui n’est plus commercialisé), qui peut provoquer des erreurs de formatage des factures.

La Sécu rejette le lot dans son intégralité (RO+RC), même si une seule facture est incorrecte.

Si vous êtes aussi dans ce cas (pharmacien syndiqué « of course »), merci de nous en informer.

Nous allons nous rapprocher de la CPAM 13 pour voir ce qu’il est possible de faire.

P.L

 

Précisions sur le quiproquo

Quelques confrères m’ont demandé quelques précisions sur le mot « quiproquo ».

 

Ce mot est apparu au début du XVème siècle pour désigner une liste de produits substituables par un  autre si l’épicier-apothicaire ne possédait pas le produit original prescrit par le médecin. En fait les  « quiproquo » (pas de « s » au pluriel) sont les ancêtres du Répertoire National des Génériques.

 

Au début du XVIème siècle, Philippus  Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim, plus connu sous le nom de Paracelse,  fulminait  contre les apothicaires et leur fameux « qui pro quo » . Il considérait les apothicaires montpellierains  qui pratiquaient la substitution comme des profiteurs!

 

 

 

Myosotis, une jolie fleur que l’on n’oublie jamais:

Selon une légende, un chevalier et sa dame se promenaient le long d’une rivière.

Il se pencha pour lui cueillir une fleur, mais perdit l’équilibre à cause de son armure et tomba à l’eau.

Alors qu’il se noyait, il lança la fleur vers sa dame en criant « Ne m’oubliez pas ! »

Cette phrase pour désigner la fleur est d’ailleurs restée en allemand (das Vergissmeinnicht — le mot vient de l’ancien allemand vergiss mein nicht, on dit aujourd’hui vergiss mich nicht), en anglais (forget-me-not), en espagnol (no-me-olvides), en italien (nontiscordardime), en polonais (niezapominajki) et dans beaucoup d’autres langues (danois, néerlandais, roumain, etc.).

Le myosotis est aussi devenu le symbole de la Société Alzheimer.

Il symbolise la perte de mémoire, l’un des symptômes de la maladie d’Alzheimer, et nous invite à ne pas oublier les personnes atteintes de cette maladie et leurs aidants.


Vous pourrez découvrir plein de choses sur les plantes et écrites de fort belle manière dans le livre de notre confrère retraité Michel Bernardot: « Sentiers Botaniques »: une idée de cadeau de Noël, non?

Dans ces vingt-huit chroniques, l’auteur, avec une verve acidulée, nous conte, parmi tant d’autres, l’histoire de la balsamie, les supposées vertus alexitères d’une liane américaine appelée condurango ou celles, maléfiques, des poissons africains utilisés dans les ordalies…

Là, les secrets de l’alkékenge ou chambre d’amour, ici, le gaïac et ses légendes sud-américaines. Demandez le programme ! Vous saurez tout sur les teintures héroïques et les tisanes émollientes. Tout sur le coca ou la kola. Les présents des Rois mages, la myrrhe, l’oliban. La vie des plantes et l’avis du botaniste. Érotisme à poison ou exotisme à foison.

le lien ci-dessous:

sentiers botaniques de Michel Bernardot

 

 

 

 

 

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