Les fausses prescriptions (avec fautes d’orthographe mais pas toujours) au détriment de la collectivité hexagonale continuent à circuler et les délinquants se recrutent via Snapchat®.
Les trafics s’implantent à partir de pays hors Union Européenne et recrutent des concitoyens dénués de scrupules qui pensent récupérer un peu d’argent.
Les fausses prescriptions alimentant un trafic de médicaments très chers vont certainement augmentées avant der disparaitre avec les prescriptions numérisées et sécurisées et il est indispensable d’être attentif car le risque d’indus et l’impossibilité pour votre syndicat de défendre les cas de délivrance manifestement laxistes s’est déjà produit et ont amenés à des redressements de sommes exorbitantes. Il est impératif de sensibiliser les équipes officinales ou de mettre en place une procédures particulière pour la délivrance de médicaments coûteux (prescriptions d’hôpitaux parisiens, double vérification, appel du service prescripteur, présence de la carte vitale, connaissance du patient et de sa pathologie…).
Les cas de pharmaciens qui ont eu de gros redressements avec pénalités financières correspondaient à des confrères laxistes et dont les méthodes de travail pouvaient être remises en cause.
Un exemple de fausse prescription tirée de Snapchat® et présentée auprès d’une pharmacie sur Marseille par un patient connu du pharmacien titulaire:
P.L