L’aide de 600 euros pour les employeurs d’apprentis (soutien régional à la qualité des Maîtres d’apprentissage) est liée à une petite formation obligatoire.

 Les aides du Conseil Régional destinées à soutenir les employeurs d’apprentis :

–    Soutien Régional à l’Effort de Formation d’un Apprenti (1000 €/an/apprenti) sous réserve de l’assiduité de l’apprenti au CFA  auquel s’ajoute le

–    Soutien Régional à la Qualité de l’Apprentissage en Entreprise de moins de 21 salariés (600 €/an/apprentisi vous avez suivi la formation de « Maître d’Apprentissage Qualifié » sinon vous ne pouvez pas l’obtenir!!!

 

 Le CFA organise la formation de « Maître d’Apprentissage Qualifié ». Cette formation, offerte pour les pharmacies ayant versé leur participation Entreprise  au CFA, concerne les maîtres d’apprentissage mentionnés sur les contrats signés à partir du 4 juillet 2012. Le titre de Maître d’Apprentissage Qualifié est valable pendant 5 ans.

Pour info, n’hésitez pas à contacter : Mme COULOMB au 04 91 84 00 00

Scannérisation des ordonnances (SCOR, extrait du cahier des charges)

Type de pièces justificatives en fonction du type de
sécurisation de la FSE
A10-3.1 Cas d’une FSE sécurisée SESAM Vitale ou SESAM sans Vitale
Le PS doit transmettre les pièces justificatives numérisées suivante :
La prescription (normale ou d’exception) et le ticket Vitale (uniquement
pour les pharmaciens) ou,
Le bordereau de transport ou l’attestation de transport ou la prescription
de transport.
A10-3.2 En cas de FSE dégradée :
Le PS doit transmettre les pièces justificatives numérisées suivante :
La prescription (normale ou d’exception) et le ticket Vitale (uniquement
pour les pharmaciens) et,
L’image de la feuille de soin complétée et signée par l’assuré (CERFA).
A10-3.3 En cas de recyclage de facture
Le PS doit transmettre les pièces justificatives numérisées suivante :
L’identifiant de la prescription initiale ou l’ordonnance initiale,
L’image de la feuille de soin complétée et signée par l’assuré (CERFA)
où la signatur

– L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué

29/04/2013 – [MED] – L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué
Dans le cadre de son plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés (COC), l’ANSM publie une mise à jour des données disponibles sur l’évolution des pratiques liées à l’utilisation des COC en France. Elle livre également des informations sur l’utilisation des autres moyens de contraception (hors préservatifs). L’Agence actualise aujourd’hui l’ensemble de ces données avec une période d’observation étendue à quatre mois : de décembre 2012 à mars 2013. Des analyses complémentaires sont proposées par tranches d’âge et, pour les COC par dosage en estrogènes.

Les analyses ont porté sur les données de vente de l’ensemble des pilules estroprogestatives (1ère, 2ème, 3ème et 4ème génération), les contraceptifs estroprogestatifs non oraux (patchs, implants, anneaux contraceptifs estroprogestatifs) et les dispositifs intra utérins (stérilets). Les préservatifs sont exclus.
Les données de vente sont issues d’un panel de 3004 officines (Celtipharm).

De décembre 2012 à mars 2013 les ventes globales de contraceptifs (hors préservatifs) ont diminué de 1,9 % par rapport à la même période de l’année précédente et de 2,9 % si l’anti-acnéique Diane 35 est pris en compte dans la contraception globale. Pour les COC seuls, la diminution globale est de 2,7 %. Cette baisse n’est pas plus importante chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.

Les recommandations de l’Agence ont été très bien intégrées par les professionnels de santé puisque la vente des pilules de 3ème et de 4ème génération a baissé de 26 % sur les 4 mois (décembre 2012 à mars 2013) et de 37 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. Cette forte baisse est observée dans toutes les tranches d’âge, la diminution la plus importante étant observée chez les 15-19 ans.

L’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération semble se stabiliser au cours du temps, avec plus de 22 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. L’augmentation la plus importante (+ 32 %) est observée chez les 15-19 ans. La hausse est exclusivement due à l’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération les plus faiblement dosées en estrogènes (15 à 20 µg d’éthinylestradiol).

Les ventes d’estroprogestatifs non oraux (dispositifs transdermiques et anneaux vaginaux) ont diminué de 11 % en mars 2013 par rapport à mars 2012, cette diminution concerne toutes les tranches d’âge. En revanche, l’augmentation des ventes d’autres dispositifs (implants, dispositifs intra-utérins), amorcée en décembre 2012 se poursuit (+ 28 % en mars 2013 par rapport à mars 2012). Les dispositifs non imprégnés de progestatifs connaissent la plus forte augmentation : + 42 % en mars 2013 par rapport à mars 2012.

Ces données confirment la diminution importante de l’utilisation des COC de 3ème et 4ème génération et, dans le même temps, l’augmentation importante de l’utilisation des COC de 1ère et 2ème génération. Cette augmentation est exclusivement liée à la hausse des COC faiblement dosées en estrogènes, ce qui va dans le sens d’une minimisation des risques liés aux COC.

Contacts : presse@ansm.sante.fr
Axelle de Franssu – 01 55 87 30 33 – Séverine Voisin – 01 55 87 30 22

CONDITION D’ACCESSIBILITE DES OFFICINES AUX PERSONNES HANDICAPEES

La FSPF lance une enquête

____

 

La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a renforcé l’obligation d’aménagement des établissements recevant du public (ERP), afin de permettre l’accès et la circulation de toutes les personnes handicapées, quel que soit leur type de handicap (physique, sensoriel, cognitif, mental ou psychique).

A compter du 1er janvier 2015, les ERP devront être en mesure d’accueillir des personnes en situation de handicap : les locaux dans lesquels exercent les professionnels de santé sont donc concernés.

Compte tenu des difficultés économiques que connaissent un grand nombre d’officines, nous avons l’intention d’alerter les Pouvoirs publics et de demander, en tant que de besoin, la mise en place de mesures dérogatoires. Afin d’étayer notre demande, nous souhaiterions disposer de données factuelles nous permettant de mieux appréhender l’étendue des difficultés rencontrées sur le terrain. C’est la raison pour laquelle nous avons élaboré un court questionnaire à destination des pharmaciens d’officine.

Vous pouvez accéder à ce court questionnaire en cliquant sur le lien suivant :   Sondage FSPf accessibilité personnes handicapées

Ce questionnaire est adressé par courriel à l’ensemble des adhérents des syndicats départementaux affiliés à la FSPF. Si vous l’avez déjà reçu, il importe de n’y répondre qu’une seule fois, en qualité de pharmacien adhérent.

Ce questionnaire doit-être rempli en ligne et validé avant le 12 mai 2012 afin de nous mettre à même de l’exploiter.

Nous vous remercions par avance pour votre collaboration active. Un taux de réponse significatif est nécessaire pour que la FSPF puisse valablement faire état auprès des Pouvoirs publics des difficultés éventuellement soulevées par la mise en œuvre de la réforme de l’accessibilité des ERP aux personnes handicapées.

 

 

Jocelyne WITTEVRONGEL

Vice-présidente

Acide picrique ou 2,4,6 tri­ni­tro­phé­nol (Suite et fin?)

Des confrères détenant de l’acide picrique s’inquiètent de mon article précédent donc voici quelques précisions:

Du point de vue toxi­co­lo­gi­que, l’acide picri­que pur ou mouillé à 33 % est cor­ro­sif pour la peau ainsi que pour les yeux. Par inges­tion, il peut être mortel et par expo­si­tion per­ma­nente à ses pous­siè­res, il conduit à des intoxi­ca­tions graves. Par contre, en solu­tion diluée (sous 1,2 %) vendue en phar­ma­cie pour usage externe, il ne pré­sente pas de danger sauf par inges­tion.

Les dan­gers les plus impor­tants sont le fait de la négli­gence des uti­li­sa­teurs dans les labo­ra­toi­res ou les pharmacies qui lais­sent plu­sieurs années dans les pla­cards ou sur les étagères les fla­cons d’acide picri­que qui ont déjà été ouverts. L’acide peut alors sécher et la pâte humide donner nais­sance à des cris­taux. Il importe alors d’exa­mi­ner soi­gneu­se­ment le flacon sans le tou­cher, de cons­ta­ter visuel­le­ment si des cris­taux sont obser­va­bles.   (250 grammes d’acide picrique cristallisé correspond à 1 kg de TNT!!!)

Dans ce cas, il faut contac­ter les ser­vi­ces spé­ciaux d’élimination des explo­sifs (Préfecture) et ins­tal­ler un péri­mè­tre de sécu­rité autour du labo­ra­toire. Il convient donc d’avoir un suivi régu­lier des stocks d’acide picri­que (à 33 % d’eau) et tous les 3 mois véri­fier la teneur en eau et au besoin en ajou­ter et les garder dans un endroit à humi­dité cons­tante si pos­si­ble.

P.L

Un lien utile: Académie Orléans Tours destruction acide picrique

Extrait d’un article de journal…belge:

De l’acide picrique neutralisé à Bruxelles

jeudi 30.08.2007, 17:09
Le service d’enlèvement et de destruction des engins explosifs (SEDEE) d’Heverlee est intervenu ce matin au parc Josaphat, à Schaerbeek, pour faire sauter un bocal contenant de l’acide picrique à l’état cristallisé. La police a expliqué que le récipient a été découvert mercredi après-midi dans les sous-sols d’une pharmacie. Les pompiers, une fois sur place, ont estimé au vu de l’état avancé de la cristallisation de l’acide picrique que le risque d’explosion en cas de manipulation du bocal n’était pas négligeable. Le bocal a, par la suite, été transféré par le SEDEE vers le parc Josaphat situé non loin de la pharmacie. Le parc a été évacué par la police, le temps pour le SEDEE de faire exploser le produit.

Les Pharmaciens du Sud

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