NICORANDIL : arrêt du traitement nécessaire en cas d’ulcération
L’Afssaps recommande aux professionnels de santé d’informer les patients traités par nicorandil du risque d’ulcérations associées à la prise de ce traitement antiangoreux et de l’importance de signaler l’apparition de cet effet indésirable connu de la molécule.Elle préconise également l’arrêt définitif du traitement après la survenue d’ulcérations, quelle que soit la localisation de la lésion, sur avis du médecin prescripteur. De nouvelles localisations d’ulcérations ont en effet été notifiées par rapport aux zones de survenue jusqu’ici connues : au niveau de la muqueuse digestive, de la peau, des zones péristomiales, de l’appareil génital et, plus rarement, de la cornéeLe conseil du syndicat: Mettre un commentaire bloquant sur les fiches produits de votre logiciel pour que tout le personnel qualifié soit informé.