Changements de prix. Pensez à écouler vos stocks.

CHANGEMENTS DE PRIX

Date d’application Produits concernés Date Journal Officiel
01/06/2013 Iperten 10mg  et 20mg comprimés 16/01/2013

​Les produits aux anciens prix peuvent être écoulés jusqu’au 01juillet 2013.

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Date d’application Produits concernés Date Journal Officiel
01/06/2013 Cacit Cacit vitamine D3  et  Zoxan LP 8mg 11/12/2012

​Les produits aux anciens prix peuvent être écoulés jusqu’au 01 07 2013.

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Date d’application Produits concernés Date Journal Officiel
01/06/2013 Nutropinaq et Umatrope 29/01/2013

​Les produits aux anciens prix peuvent être écoulés jusqu’au 01 juillet 2013.

– L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué

29/04/2013 – [MED] – L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué
Dans le cadre de son plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés (COC), l’ANSM publie une mise à jour des données disponibles sur l’évolution des pratiques liées à l’utilisation des COC en France. Elle livre également des informations sur l’utilisation des autres moyens de contraception (hors préservatifs). L’Agence actualise aujourd’hui l’ensemble de ces données avec une période d’observation étendue à quatre mois : de décembre 2012 à mars 2013. Des analyses complémentaires sont proposées par tranches d’âge et, pour les COC par dosage en estrogènes.

Les analyses ont porté sur les données de vente de l’ensemble des pilules estroprogestatives (1ère, 2ème, 3ème et 4ème génération), les contraceptifs estroprogestatifs non oraux (patchs, implants, anneaux contraceptifs estroprogestatifs) et les dispositifs intra utérins (stérilets). Les préservatifs sont exclus.
Les données de vente sont issues d’un panel de 3004 officines (Celtipharm).

De décembre 2012 à mars 2013 les ventes globales de contraceptifs (hors préservatifs) ont diminué de 1,9 % par rapport à la même période de l’année précédente et de 2,9 % si l’anti-acnéique Diane 35 est pris en compte dans la contraception globale. Pour les COC seuls, la diminution globale est de 2,7 %. Cette baisse n’est pas plus importante chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.

Les recommandations de l’Agence ont été très bien intégrées par les professionnels de santé puisque la vente des pilules de 3ème et de 4ème génération a baissé de 26 % sur les 4 mois (décembre 2012 à mars 2013) et de 37 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. Cette forte baisse est observée dans toutes les tranches d’âge, la diminution la plus importante étant observée chez les 15-19 ans.

L’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération semble se stabiliser au cours du temps, avec plus de 22 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. L’augmentation la plus importante (+ 32 %) est observée chez les 15-19 ans. La hausse est exclusivement due à l’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération les plus faiblement dosées en estrogènes (15 à 20 µg d’éthinylestradiol).

Les ventes d’estroprogestatifs non oraux (dispositifs transdermiques et anneaux vaginaux) ont diminué de 11 % en mars 2013 par rapport à mars 2012, cette diminution concerne toutes les tranches d’âge. En revanche, l’augmentation des ventes d’autres dispositifs (implants, dispositifs intra-utérins), amorcée en décembre 2012 se poursuit (+ 28 % en mars 2013 par rapport à mars 2012). Les dispositifs non imprégnés de progestatifs connaissent la plus forte augmentation : + 42 % en mars 2013 par rapport à mars 2012.

Ces données confirment la diminution importante de l’utilisation des COC de 3ème et 4ème génération et, dans le même temps, l’augmentation importante de l’utilisation des COC de 1ère et 2ème génération. Cette augmentation est exclusivement liée à la hausse des COC faiblement dosées en estrogènes, ce qui va dans le sens d’une minimisation des risques liés aux COC.

Contacts : presse@ansm.sante.fr
Axelle de Franssu – 01 55 87 30 33 – Séverine Voisin – 01 55 87 30 22

Médicaments à triangle noir

Un nouveau système vient d’être mis en place dans toute l’Union Européenne (UE) afin de formaliser l’identification des médicaments faisant l’objet d’une surveillance renforcée que certains Etats Membres (France, Royaume-Uni) avaient précédemment initiée.
Les médicaments sous surveillance renforcée sont désormais signalés par la présence d’un triangle noir inversé dans la notice et le résumé des caractéristiques du produit (RCP – informations destinées aux professionnels de la santé). L’utilisation de ce triangle noir s’imposera aux firmes commercialisant des médicaments dans tous les États Membres de l’UE à partir de l’automne 2013 et sera accompagnée d’une courte phrase explicative :
 Ce médicament fait l’objet d’une surveillance renforcée.
Tous les médicaments sont surveillés dès leur mise sur le marché. Leur inscription sur la liste des médicaments sous surveillance renforcée sig nifie qu’ils sont surveillés de manière plus étroite que les autres. Sur les 103 médicaments figurant dans la première liste publiée par l’Agence européenne du médicament (EMA) le 25 avril 2013, le motif principal d’inscription est le fait de contenir une nouvelle substance active ou un nouveau produit biologique (n = 73). Vient ensuite la nécessité de mettre en place une étude post-autorisation (n = 37), puis le statut de l’autorisation de mise sur le marché (AMM délivrée à titre exceptionnel ou conditionnel : n = 27 cas). En aucun cas, il ne s’agit de médicaments dangereux et il ne faut pas interrompre un traitement sans demander l’avis de son médecin ou de son pharmacien.
Triangle noir des médicaments sous surveillance
Cette liste ayant pour vocation d’être évolutive et de prendre en compte l’ensemble des médicaments disponibles dans l’UE. Elle sera progressivement complétée par des produits identifiés au niveau national comme devant faire l’objet d’une surveillance particulière et sera actualisée tous les mois. Elle est disponible sur les sites Internet de l’ANSM et de l’EMA.

source ANSM

Médicaments dérivés du sang

Transcription au registre spécial

Registre spécial : les conditions à respecter !

Lors de la délivrance d’un médicament dérivé du sang, le pharmacien d’officine doit les transcrire aussitôt sur un registre spécial côté et paraphé par le maire ou le commissaire de police.

Le Code de la santé publique prévoit que cette délivrance peut être enregistrée par tout système approuvé par le Ministère de la santé. A ce jour aucun système ne l’ayant été, seule la transcription sur un registre spécial non informatique est possible.

Les informations suivantes doivent figurer sur le registre spécial :

  • nom et adresse du prescripteur ;
  • nom, adresse et date de naissance du patient ;
  • date de délivrance ;
  • dénomination du médicament ;
  • quantité délivrée ;
  • les informations figurant sur l’étiquette de traçabilité détachable du  conditionnement extérieur.

L’étiquette doit être collée sur le registre spécial.

Les transcriptions comportent pour chaque médicament délivré un numéro d’ordre chronologique différent.

SANG « Médicaments dérivés du sang »

Code CIP/ACL Dénomination commerciale
3400932892198 GAMMATETANOS 250UI/2ml SOL INJ SER IM 2ml B/1 SANG Froid
3400936397194 RHOPHYLAC 300µg/2ml SOL INJ SER 2ml B/1 SANG Froid
3400936397026 RHOPHYLAC 200µg/2ml SOL INJ SER 2ml B/1

source:  www.meddispar.fr

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