Deux amendements déposés contre la vente des tests de grossesse dans n’importe quel gourbi. (cliquez sur les images)

Grâce à l’action de vos syndicalistes FSPF dans toute la France et particulièrement sur le département 13,  nous avons pu obtenir le dépôt de 2 amendements.

Etant donné que les députés qui les ont déposé appartiennent à l’opposition gouvernementale et à moins d’un miracle par une prière à la Vierge (qui, au demeurant, n’a pas utilisé de test de grossesse), il y a peu de chances d’obtenir gain de cause mais cela permet de voir que nous travaillons dans un sens démocratique.

 

 

Voici le courrier que j’a envoyé à de nombreux députés du Sud:

 

Madame le Député,

 

Vous êtes une élue de la République alors, avant de voter l’amendement pour la vente hors pharmacie des tests de grossesse dans le cadre de la loi de consommation, lisez ceci et posez vous la question de savoir s’il n’est pas utile de laisser la vente, la motivation, la compétence et les conseils pouvant y être associés aux pharmaciens titulaires, adjoints (bac+6) et préparateurs en pharmacie (bac +2) de nos pharmacies.

Plus qu’une perte de monopole, cet amendement est une injure à notre travail quotidien.

 

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Quand faut-il faire le test de grossesse ? Il vous faudra attendre une dizaine de jours environ après la fécondation, ou bien quelques jours après le retour présumé des règles (au minimum trois jours). C’est à ce moment précis que le taux de hCG est assez élevé pour être détecté par un test de grossesse urinaire. 

Après avoir déterminé le jour idéal, il est souvent recommandé de réaliser le test le matin. C’est au moment du réveil que les urines sont les plus concentrées et présentent un taux élevé de hCG ; à condition de ne pas avoir trop bu la veille…Cependant, les tests de grossesse peuvent être réalisés à d’autres moments de la journée, du moment qu’on ne bois pas trop afin de ne pas diluer le taux de Beta hCG. 

La plupart des tests sont fiables à 99 %, et ce, dès le premier jour de retard de règles. Cependant, même si leur marge d’erreur est infime, les résultats peuvent être faussement négatifs ou positifs. En cas de doute, il faut recommencer le test quelques jours après.

Le test de grossesse peut indiquer un résultat faussement positif :
–   si on a préalablement utiliser certains types de médicaments neuroleptiques
–   si du sang est présent dans l’ urine.

Ces erreurs de résultats ne sont toutefois pas fréquentes. On peut effectuer un nouveau test trois jours plus tard et surtout demander à son médecin traitant la prescription d’une prise de sang.

Enfin et le plus important, le test de grossesse peut indiquer un résultat faussement négatif :
–   si la personne présente des signes infectieux urinaires (cas fréquent chez les femmes enceintes).
–   si on réalise le test après avoir absorbé une grande quantité d’eau
–   si la femme présente un début de grossesse extra utérine (Elle représente 1 à 2% des grossesses et reste   la première cause de mortalité du premier trimestre de la grossesse aux Etats-Unis).

Les résultats d’un test de grossesse urinaire doivent être confirmés par une prise de sang.

Une simple notice ne peut répondre à toutes ces questions.

 

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Ou ira s’adresser la jeune fille mineure si son test de grossesse est positif?

Le  chef de rayon du Leclerc le plus proche?

Le gérant de station-service?

Le médecin de famille dont le coût pour la personne (ou pour la société) sera de 23 euros ?

NON, elle ira prendre conseil gratuitement auprès d’un membre de l’équipe officinale d’une pharmacie (ou son infirmière scolaire) afin d’obtenir la délivrance d’une contraception d’urgence avec tous les conseils liés à la prise de ce médicament et d’être orienté vers un CPEF (Centre de planification et d’éducation familiale).

Est-ce que LECLERC forme aussi son personnel? Quelles formations propose Michel-Edouard Leclerc à ses salariés ?

 

Est-ce que le personnel de la GMS doit suivre le DPC (formation continue obligatoire pour les professions de santé)? 

Pensez vous que le peu de personnel embauché dans la GMS soit qualifié pour la vente de ces tests ?

 

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Compétence et formation : Voici quelques exemples de ce que reçoivent très régulièrement nos confrères du 13 et PACA et notre page facebook pour le public jeune sur la contraception des adolescents (partenariat du Conseil Général et du Rectorat en cours)

 

https://www.facebook.com/contraception.dado.9

 

https://pharmaciens13.info/2013/06/obligations-a-respecter-lors-de-la-delivrance-de-la-contraception-durgence-aux-mineurs/

 

https://pharmaciens13.info/2013/06/modalites-de-la-prescription-delivrance-et-prise-en-charge-des-contraceptifs-pour-les-mineures-de-plus-de-15-ans-procedure-cpam/

 

https://pharmaciens13.info/2013/07/important-pass-sante-du-conseil-regional-paca/

 

http://urps-pharmaciens-paca.fr/pass-sante-paca/

 

Pour toutes ces raisons, nous vous demandons de voter contre cet amendement lors du passage en deuxième lecture à l’Assemblée Nationale.

 

Avec nos respectueux hommages, nous vous prions d’agréer, Madame la Députée, l’expression de notre considération distinguée.

 

 

Le Conseil d’Administration du Syndicat Général des Pharmaciens des Bouches du Rhône

P.L

 

 

 

 

 

 

Message de la Mutuelle des Affaires Sociales (MGAS)

Reprise d’une partie de la population MGAS par SP Santé

Madame, Monsieur,

A compter du 1er janvier 2014, la Mutuelle Générale des Affaires Sociales (MGAS-31) déléguera la gestion des prestations complémentaires santé (RC) de 15 600 de ses adhérents à l’opérateur SP santé :
– 11 900 adhérents gérés en RC seul,
– 3 700 adhérents gérés en RO+RC, pour lesquels la gestion du régime obligatoire (RO) restera assurée par MFP Services.

MFP Services clôturera ainsi les droits RC pour l’ensemble de ces adhérents au 31 décembre 2013. La carte mutuelle 2014 permettra de les distinguer, au vu du logo « SP Santé » et du numéro de télétransmission. Un exemple de la carte mutuelle est consultable en suivant ce lien.

Les flux électroniques, pour la part RC devront donc être transmis, à compter du 1er janvier 2014 à l’opérateur « SP Santé » sous le n° de télétransmission 75049595. Ces adhérents continueront de bénéficier du tiers-payant conventionnel.

La mutuelle les informera sur la nécessité de vous présenter la nouvelle carte papier et, pour les adhérents RO+RC, de mettre à jour leur carte Vitale.

Nous vous remercions donc d’avance de vous assurer de la mise à jour des cartes Vitale concernant cette dernière population, les droits RC ne devant plus y être portés.

Les factures, réclamations ou toutes autres pièces papiers, pour des soins postérieurs au 1er janvier 2014, seront à transmettre à SP Santé.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à ces informations, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

Martine CHARLES
Responsable pôle Assurance maladie complémentaire

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Arnaque: attention, elle est très bien faite!

En ce moment, certains confrères reçoivent « Association Santé et Soin » par la Poste.

C’est une arnaque : Il suffirait de signer et de mettre le tampon et de poster avec l’enveloppe T (et oui) et vous seriez redevable de 1057 euros HT pour une inscription à un site de référencement internet qui ne sert à rien.

P.L

 

VIGNETTE PHARMACEUTIQUE

VIGNETTE PHARMACEUTIQUE 

Report au 1er juillet 2014 de l’abrogation de l’arrêté du 21 février 1996

 relatif aux caractéristiques de la vignette pharmaceutique

*****

Un arrêté du 29 novembre 2013, publié au Journal Officiel du 5 décembre 2013 modifie l’arrêté du 14 juin 2013, publié au Journal Officiel du 22 juin 2013, aux termes duquel la vignette pharmaceutique, dont les caractéristiques sont définies par l’arrêté du 21 février 1996, devait être supprimée à compter du 1er janvier 2014.

L’arrêté du 21 février 1996 sera finalement abrogé à compter du 1er juillet 2014. En d’autres termes, en l’état actuel des textes, la vignette pharmaceutique n’existera plus à compter du 1er juillet 2014.

Pour rappel, la disparition de la vignette pharmaceutique avait été recommandée par l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) dans le cadre de son rapport intitulé « La suppression de la vignette pharmaceutique : Evaluation des modalités de mise en œuvre », rendu public au mois de juillet 2012.

En pratique la vignette est prorogée jusqu’au 1er juillet 2014.

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CONDITIONS D’ACCESSIBILITE DES OFFICINES AUX PERSONNES HANDICAPEES

CONDITIONS D’ACCESSIBILITE DES OFFICINES

AUX PERSONNES HANDICAPEES

 

Accompagnement

des professionnels de santé

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Le 1er janvier 2015, les officines, en tant qu’établissements recevant du public (ERP), devront être accessibles aux personnes handicapées, quel que soit le type de handicap : auditif, cognitif, moteur, psychique et visuel. Afin de réaliser un état des lieux des pharmacies adhérentes, nous avons diffusé, en avril, un questionnaire[1] qui a suscité plus de 2 500 réponses. Nous vous remercions de l’appui que vous nous avez apporté.

 

Les résultats recueillis montrent que les pharmaciens d’officine adhérents se sont d’ores et déjà engagés dans la mise en accessibilité de leur officine :

 

  • 67 % des officines n’ont plus de marches pour y pénétrer ;
  • 76 % se sont équipées des portes automatiques ;
  • 50 % ont aménagé des toilettes pour la clientèle accessibles aux handicapés ;
  • 58 % disposent de places de parking handicapés à proximité ;
  • 91 % comprennent des espaces de vente où la circulation est possible en fauteuil roulant ;
  • 28 % ont installé un comptoir adapté.

 

Cependant, nous ne pouvons ignorer que certaines officines ne pourront, dans les temps impartis, satisfaire aux obligations d’accessibilité, issues de la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées.

 

En effet, compte tenu de la complexité de la réglementation et des coûts de la mise aux normes :

 

  • 19 % des officines ne pourront pas faire l’objet de travaux et être accessibles sans marche ;
  • 20 % ne pourront pas installer de portes automatiques assez larges ;
  • 15 % devront réaliser des travaux de plus de 50 000 € dont 5 % pour plus de 100 000 €.

 

Afin d’informer au mieux les professionnels de santé, qu’ils soient locataires ou propriétaires de leur locaux professionnels, le ministère des Affaires sociales et de la Santé et le ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie ont réalisé un guide[2] qui vous permettra de prendre connaissance des obligations tenant à l’aménagement de votre local, en fonction de sa catégorie.

 

Vous y trouverez une présentation synthétique des principales dispositions réglementaires et législatives établies pour faciliter les déplacements des personnes handicapées et leur accès aux prestations, ainsi que des éléments d’information d’ordre administratif portant notamment sur les conditions d’obtention d’une dérogation.

 

Ce guide, particulièrement clair, vous informe de vos obligations de conformité et vous indique les interlocuteurs pertinents sur ces questions techniques. Nous souhaitons néanmoins attirer votre attention sur certains points du guide, que vous trouverez ci-annexés, sous forme d’une présentation sommaire.

 

Enfin, veuillez trouver, ci-joint, le communiqué de presse de l’Union Nationale des Professions Libérales (UNAPL) du 4 octobre 2013 annonçant la signature de la convention de partenariat portant sur l’accessibilité des locaux professionnels aux personnes handicapées avec l’Union Nationale des Syndicats Français d’Architectes (UNSFA).

 

L’objectif de cette convention, signée le 3 octobre sous le haut parrainage de Madame Marie-Arlette CARLOTTI, Ministre déléguée aux personnes handicapées, et en présence de Madame PROST-COLETTA, Déléguée ministérielle à l’Accessibilité, est de proposer notamment aux entreprises libérales, adhérentes des syndicats membres de l’UNAPL, une assistance à leur mise en conformité, par la réalisation de diagnostics d’accessibilité et, le cas échéant, la conception et le suivi des travaux de mise en conformité.

 

Croyez, Cher Président, en l’assurance de mes sentiments confraternels les meilleurs.

 

 

Philippe GAERTNER

Président

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Pièces jointes :

H Communiqué_Accessibilité des locaux professionnels aux personnes handicapées_l’UNAPL signe une convention avec l’UNSFA_4 octobre 2013

H Accessibilité officines_guide

 

 

 

 


 

ACCESSIBILITE DES OFFICINES

AUX PERSONNES HANDICAPEES

 

Présentation sommaire

 

 

 

A titre liminaire, nous souhaitons vous indiquer que, hormis les ERP de 1ère à 4ème catégories créés à compter du 1er janvier 2007 dont l’accessibilité doit être immédiate, les échéances auxquelles votre établissement doit être accessible aux personnes handicapées diffèrent notamment selon sa date de création. Ainsi, doivent être accessibles :

 

–        immédiatement et sans délais : tout ERP actuellement construit ou créé par changement de destination[3];

 

–        depuis le 1er janvier 2011 : les nouveaux ERP de 5ème catégorie accueillant une profession libérale créés entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2010 par changement de destination à partir de locaux d’habitation ;

 

–         avant le 1er janvier 2015 : les ERP existants au 1er janvier 2007.

 

Exemples, pour les ERP de 5ème catégorie :

 

–        votre officine a fait l’objet d’un transfert entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2010 dans un local d’habitation (avec « changement de destination »), elle devait être rendue accessible aux personnes handicapées au plus tard le 1er janvier 2011 ;

–        votre officine a été construite après le 1er janvier 2007, elle devait être rendue accessible immédiatement ;

–        votre officine est en cours de construction, a fait l’objet d’un transfert dans un local d’habitation après le 1er janvier 2011, ou a fait l’objet d’un transfert dans un local autre que d’habitation après le 1er janvier 2007, elle devait ou doit être rendue accessible immédiatement ;

–        quelle que soit la date, votre officine a fait l’objet d’un regroupement ou d’un transfert vers un local constituant déjà un ERP, ainsi sans changement de destination du local ni création d’un nouvel ERP, elle doit être rendue accessible au plus tard le 1er janvier 2015 ;

–        votre officine a été construite ou a fait l’objet d’un transfert vers un local d’habitation ou tout autre bâtiment avant 2007, elle doit être rendue accessible au plus tard le 1er janvier 2015.

 

En suivant la logique du guide « Réussir l’accessibilité» attachée à la chaîne de déplacement, (à savoir : arriver, entrer, être pris en charge, etc.), nous souhaitons attirer particulièrement votre attention sur certains points de ce guide, notamment :

 

  • Définir dans quelle catégorie d’ERP se situe votre officine : les établissements recevant du public sont classés en 5 catégories (en fonction du nombre de personnes accueillies).

Les obligations d’accessibilité au 1er janvier 2015 diffèrent selon la catégorie de l’ERP. Les locaux des professionnels de santé, dont les officines, sont pour leur grande majorité des ERP classés en 5ème catégorie, recevant moins de 100 personnes. Cependant, les locaux des professionnels de santé implantés dans un centre commercial ou une galerie sont classés dans la même catégorie d’ERP que celle du centre commercial, généralement en 1ère catégorie (pouvant accueillir plus de 1 500 personnes). Par exemple dans un ERP 5, vous devez avoir au moins une accessibilité partielle dans l’espace de vente de la porte d’entrée à un poste de vente. Pour un ERP 1, toute la surface de l’officine doit être accessible, espace de vente et « back office ».

Les ERP de 1ère à 4ème catégories doivent réaliser un diagnostic d’accessibilité, afin d’analyser l’établissement au regard de ses obligations d’accessibilité et d’établir, à titre indicatif, une estimation du coût des travaux nécessaires.

 

  • Les places de stationnement : si une aire de stationnement ouverte au public est rattachée à votre local, celle-ci doit comporter une ou plusieurs places de stationnement adaptées pour les personnes handicapées et réservées à leur usage. Si vous ne disposez pas d’une telle aire, vous pouvez, utilement, demander au maire de votre commune la réservation de places auprès de votre local, ce dernier devant prendre un arrêté.

 

  • Le cheminement extérieur ou intérieur : le cheminement doit être libre de tout obstacle, depuis la voie publique jusqu’au lieu de prise en charge. Ainsi, il faudra veiller au respect des pentes, des places de manœuvre et des paliers de repos. L’aménagement intérieur doit également prendre en compte les règles dimensionnelles, notamment au niveau du comptoir, des portes, poignées, escaliers, éclairage, etc.

 

  • Les sanitaires : s’ils sont ouverts au public, au moins un sanitaire doit être accessible aux patients handicapés, aux normes réglementaires définies.

Pour savoir si vous devez disposer de sanitaires pour le public, il vous faut consulter le règlement sanitaire départemental, disponible auprès de la préfecture de département ou de l’Agence Régionale de Santé.

 

  • Les dérogations possibles : trois motifs sont prévus par la loi : impossibilité technique, préservation du patrimoine architectural, ou disproportion manifeste entre la mise aux normes et ses conséquences financières pour l’établissement. Ces dérogations peuvent porter sur une ou plusieurs prescriptions techniques d’accessibilité. Pour les ERP existants, les dérogations sont accordées par le Préfet sur avis conforme de la commission consultative départementale de sécurité et d’accessibilité.

 

  • La responsabilité des travaux envisagés : nous vous invitons à vérifier si les travaux d’accessibilité envisagés nécessitent l’obtention d’un permis de construire, et, dans le cas où votre officine est située dans une copropriété, à vous assurer du respect des textes fixant le statut de la copropriété, à qui il revient de décider et de fixer, par le biais d’un vote au cours d’une Assemblée Générale, les conditions de la réalisation de ces travaux.

Si vous êtes locataire de votre officine, il convient de se reporter au bail pour identifier les responsabilités respectives de chacun, notamment les modalités de prise en charge et de réalisation des travaux envisagés.

 

  • Les risques encourus en cas de non respect de la loi :

–        fermeture de la structure qui ne respecte pas les délais de la mise en conformité ;

–        amende de 75 000 euros et de cinq ans d’emprisonnement pour discrimination en raison du handicap de la personne ;

–        remboursement complet des éventuelles subventions publiques ;

–        amende de 45 000 € pour les entrepreneurs, les architectes ou toute personne ayant la responsabilité des locaux ;

–        interdiction possible d’exercer ;

–        6 mois d’emprisonnement et 75 000 € d’amende en cas de récidive.



[1] Cf. circulaire-présidents n° 2013-95 du 29 avril 2013 relative à l’enquête de la FSPF sur les « conditions d’accessibilité des officines aux personnes handicapées ».

[2] Préparé par la délégation ministérielle à l’accessibilité, avec l’appui de la direction générale de l’offre de soins (DGOS) et de la direction générale de la cohésion sociale (DGCS), avec la contribution des ordres professionnels et représentants de professionnels de santé.

[3] Il s’agit plus précisément des ERP créés par changement de destination à partir de locaux autres que d’habitation après le 1er janvier 2007 et des ERP créés par changement de destination à partir de locaux d’habitation pour accueillir des professions libérales après le 1er janvier 2011.

source FSPF

 

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