Grands conditionnements: 1er juillet 2012

A compter du 1er juillet 2012, les modalités de calcul de la marge de dispensation des grands conditionnements sont modifiées.

Pour mémoire, le mode de calcul de la marge des spécialités se présentant sous la forme de conditionnements trimestriels a été modifié. La décision du 11 juin parue au Journal Officiel du 19 juin dernier modifie le montant des tarifs forfaitaires de responsabilité (TFR) pour ces spécialités, dans le cas où ces dernières font partie d’un groupe générique soumis à TFR.

Cette modification entrera en vigueur à compter du 1er juillet prochain. Les unités livrées par les établissements de fabrication doivent être revêtues de vignettes conformes aux nouveaux TFR à compter de cette date.

Elle sera désormais égale à 90 % de trois fois la marge de dispensation des spécialités pharmaceutiques correspondant à un mois de traitement, le niveau de cette dernière étant calculée en application du barème de marge.

Tous les grands conditionnements vont avoir un prix public fortement majoré pour le 1er juillet 2012. Les anciens stocks risquent de vous pénaliser. A partir du 1er juillet, quand vous délivrez un grand conditionnement,  la Sécu acceptera l’ancien (moins cher) et le nouveau (plus cher) prix.

Les grossistes-répartiteurs et les pharmaciens d’officine pourront continuer à commercialiser et délivrer les unités qu’ils détiennent en stock et qui comportent des vignettes mentionnant le prix public résultant des dispositions de l’arrêté du 4 août 1987, dans sa rédaction antérieure, jusqu’au 1er  septembre 2012.

La base de données pour vérifier les prix à partir du 2 juillet 2012:  http://www.codage.ext.cnamts.fr/codif/bdm/index.php?p_site

Commission Paritaire Locale (CPL) du 26 juin 2012

Les pharmaciens présents lors de la CPL:

Pour le Syndicat Général des Pharmaciens des Bouches du Rhône (affilié FSPF): Valérie de Lécluse (secrétaire Générale), David Aidan (conseiller) , Thierry Desruelles (Vice-Président), CharlesFauré (Président), Cyril Savournin (conseiller) et Antoine Andréani (conseiller),

pour l’USPO: Robert Paul

pour l’UNPF: Pierre Richaud et Mme Moreno

 

Le taux de substitution du département est de 65,7% fin mai 2012
100 officines sont durablement en dessous des 60% depuis plusieurs mois 
350 sont entre 60 et 70%
204 entre 70 et 80%
30 entre 80 et 85%
et le prix d’excellence pour 3 d’entre nous à plus de 85% (ces 3 là sont en dehors de Marseille)
Dans ces conditions, il sera difficile d’obtenir les primes prévues par la nouvelle convention ou d’améliorer nos marges d’exploitation par une augmentation des remises supplémentaires.
Notre syndicat a affirmé notre volonté de vouloir faire progresser ces taux (conf. nouvel avenant génériques et nouvelle convention) mais les pharmaciens ont “usé leurs cartouches” et nous sommes dans l’attente d’une participation forte de leur part pour continuer à travailler dans leur sens.
La caisse a alors expliqué que la convention donnait le cadrage pour un travail en commun et qu’ils avaient préparé une communication DECLIC médecins, pharmaciens et SMS aux assurés sociaux.
Notre syndicat a exposé les affiches et lettres établies par la CPAM 06. Le refus du TP sur les mentions NS dans les Alpes-Maritimes les a beaucoup déstabilisé mais au final ils ne sont pas contre (En 15 jours, les confrères du 06 ont atteint une moyenne de 88% de substitution!!!).
La CPAM 13 avait préparé une affiche verte (comme Nice) que nous recevrons en plusieurs exemplaires “si vous ne prenez pas les génériques, vous devez payer vos médicaments”.
Cette affiche a été actée mais toute la campagne est à monter dans le sens de Nice. Ils vont appeler la caisse de Nice et nous représente une copie lors de la commission technique le jeudi 5 juillet matin.
Le principe serait le suivant  :
– une campagne presse fr3, journaux provence marseillaise minute pour annoncer un début tp contre générique le 1er sept
– Une période moratoire jusqu’au 30 septembre avec signalement et pas rejet puis on rentre dans le dur avec ciblage des 100 pharmacies sous les 60%.
Pour tenir les objectifs (trop?) ambitieux de l’avenant génériques 2012, NOUS ALLONS RENTRER DANS UN TP CONTRE GENERIQUES.
NOTRE CONSEIL: Penser à déstocker les princeps, prévoir les stocks de génériques (les TFR ne sont pas concernés mais l’intèrét économique ne vous dispense pas de continuer à les tenir et les substituer). Demander à vos SSII de passer le plus rapidement possible en norme 1.40 et ne pas hésiter à utiliser le “topage NS” qui se trouve sur cette norme informatique.
ATTENTION: Pour passer en norme 1.40, il est conseillé de ne pas avoir trop de rejets factures sur l’ancienne norme car le passage à la nouvelle norme vous obligera à refaire le dossier (sous réserve des informations que nous avons pu obtenir)
IMPORTANT: Pour ceux qui n’ont pas encore renvoyé les 2 feuilles d’acceptation de la nouvelle convention signées, n’oubliez pas de les renvoyer à la CPAM car il ne reste plus qu’un mois. Passé ce délai, vous ne serez plus conventionné et, en conséquence, plus de remboursement possible!!!
Nous remercions Valérie de Lécluse qui, par son professionnalisme et sa maîtrise des dossiers (petite pique: ce n’est pas le cas des autres syndicats) m’a permis de vous retranscrire ce petit résumé de la CPL.
P.L

Rappel: Les excipients à effet notoire

Qu’appelle-t-on excipient à effet notoire ?

Les excipients sont des éléments sans activité thérapeutique qui entrent dans la composition d’un médicament ou qui sont utilisés pour sa fabrication. L’excipienta pour fonction d’améliorer l’aspect ou le goût, d’assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l’administration du médicament. Il sert aussi à acheminer le principe actif vers son site d’action et à contrôler son absorption par l’organisme. L’excipient devrait être bien toléré. Néanmoins, certains peuvent entraîner des intolérances individuelles : il s’agit des excipients à effet notoire, comme le lactose ou l’huile d’arachide, par exemple. La présence de cesexcipients à effet notoire détermine certaines précautions d’emploi propres à tel ou tel médicament générique, en fonction des effets indésirables qu’ils peuvent provoquer.

Les excipients à effet notoire et leurs effets indésirables

Excipient Contre-indications et effets indésirables
Acide borique et sels Contre-indiqué chez les enfants de moins de 3 ans
Acide benzoïque et benzoate Irritations de la peau, des muqueuses et des yeux (application locale), risque de jaunisse chez lenouveau-né (injections)
Acide sorbique et sels Urticaire (application locale)
Alcool benzylique Contre-indiqué chez les enfants de moins de 3 ans
Amidon de blé Réactions allergiques chez les personnes allergiques au blé ou intolérantes au gluten (maladie cœliaque)
Aspartam Contre-indiqué chez les personnes souffrant dephénylcétonurie
Broponol Eczéma (application locale), troubles digestifs et diarrhées (voie orale)
Butylhydroxyanisole Eczéma, irritation de la peau, des muqueuses ou des yeux (application locale)
Butylhydroxytoluène Eczéma, irritation de la peau, des muqueuses ou des yeux (application locale)
Chlorure de benzalkonium Irritation, eczéma, difficultés à respirer ; lentilles de contact endommagées
Composés organomercuriels Irritation de la peau, eczéma, troubles oculaires
Éthanol (alcool) Toxicité de l’alcool. Contre-indiqué chez les femmes enceintes, les enfants de moins de 12 ans, les personnes alcooliques ou épileptiques, les personnes atteintes de maladies du foie. Attention lors de conduite de véhicule ou d’utilisation de machines.
Irritation de la peau (application locale)
Formaldéhyde Eczéma (application locale), troubles digestifs (voieorale)
Fructose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Galactose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Contre-indiqué chez les personnes souffrant degalactosémie
Glucose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Glycérol Troubles digestifs
Huile d’arachide Réactions allergiques
Déconseillée chez l’enfant de moins de 3 ans
Huile de ricin et dérivés Troubles digestifs
Eczéma (application locale)
Bouffée de chaleur, difficultés à respirer, chute de tension (injections)
Déconseillée chez l’enfant de moins de 3 ans
Huile de soja et dérivés Réactions allergiques
Huile de sésame Réactions allergiques
Lactose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Lanoline (graisse de laine) Eczéma
Maltitol (sirop de) Voir Fructose
Mannitol Troubles digestifs
Paraformaldéhyde Eczéma (application locale), troubles digestifs (voieorale)
Parahydroxybenzoates et leurs sels Irritation de la peau, urticaire, difficultés à respirer
Polyéthylèneglycol (Macrogol) Troubles digestifs
Phénylalanine Contre-indiqué chez les personnes souffrant dephénylcétonurie
Potassium Douleur au point d’injection, phlébite
Risque de complication lors d’insuffisance rénale
Apport de potassium à prendre en considération chez les personnes qui suivent un régime pauvre enpotassium
Propylèneglycol, sels et esters Eczéma
Saccharose Voir Fructose et Glucose
Sodium Apport de sodium à prendre en considération chez les personnes qui suivent un régime pauvre en sodium
Sucre inverti Voir Fructose et Glucose
Sulfites(métabisulfites) Réactions allergiques
Tartrazine et colorants azoïques Réactions allergiques
Xylitol Troubles digestifs

Source : Répertoire des groupes génériques – ANSM (Agence Nationale de Sécurité des Médicaments)

Rappel: les registres et ordonnanciers obligatoires (à relire pour les Pharmaciens Titulaires et Adjoints)

L’ordonnancier unique pour les listes I, II et stupéfiants

Toute délivrance d’un médicament, autre qu’une préparation, relevant de la réglementation des substances vénéneuses doit être transcrite sur un registre ou enregistrée informatiquement (article R. 5132-9 du Code de la santé publique).

 

  • Contenu
    Chaque transcription ou enregistrement comporte un numéro d’ordre différent et chronologique ainsi que les mentions suivantes :
    – le nom et l’adresse du prescripteur ou de l’auteur de la commande ;
    – le nom et l’adresse du malade, ou le nom et l’adresse du détenteur du ou des animaux, ou la mention « usage professionnel » ;
    – la date de délivrance ;
    – la dénomination ou la formule du médicament ou de la préparation ;
    – les quantités délivrées ;
    – le nom de l’établissement (ou du service de santé) et le nom du prescripteur s’il s’agit d’un médicament à prescription hospitalière ;
    – la spécialité du prescripteur s’il s’agit d’un médicament dont la prescription est réservée à certains médecins spécialistes.

    Si le médicament est soumis à la réglementation des stupéfiants; il est également nécessaire d’indiquer :
    – le nom et l’adresse du porteur de l’ordonnance lorsque celui-ci n’est pas le malade ;
    – les références de la pièce d’identité si le porteur de l’ordonnance est inconnu du pharmacien.

 

  • Forme 
    Ce registre peut exister sous la forme papier classique ou sous une forme informatisée répondant aux conditions suivantes :
    – modification des données impossible après validation de l’enregistrement ;
    – édition immédiate à la demande de toute autorité de contrôle ;
    – nom et adresse de l’officine sur chaque page éditée ;
    – support informatique garantissant la pérennité et l’intégrité des enregistrements ;
    – enregistrement dupliqué sur deux supports distincts : un pour la consultation, un conservé en réserve.

    S’agissant du registre papier, les mentions doivent être transcrites à l’encre, sans blanc, ni surcharge. L’obligation de faire coter et parapher le registre par le maire ou le commissaire de police a été supprimée.

 

  • Personnes habilitées à remplir ce registre
    Les pharmaciens, titulaires, adjoints ou remplaçants, les préparateurs ainsi que les étudiants en pharmacie dès leur inscription en 3ème année.

 

  • Durée de conservation
    10 ans (article R. 5132-10 du Code de la santé publique).
  • Sanction
    3 750 euros d’amende et 2 ans d’emprisonnement

 

Le registre des préparations magistrales et officinales

Toute réalisation ou délivrance d’une préparation magistrale ou officinale doit être immédiatement transcrite sur un livre-registre ou enregistrée informatiquement (article R. 5125-45 du Code de la santé publique).

 

  • Contenu
    Chaque transcription ou enregistrement comporte un numéro d’ordre différent et chronologique ainsi que les mentions suivantes :
    – la date de réalisation ou de délivrance de la préparation ;
    – les nom et adresse du prescripteur pour les préparations magistrales ;
    – les nom et adresse du patient ;
    – dans le cas d’une préparation magistrale vétérinaire : les nom, prénom, adresse du détenteur des animaux, l’identification des animaux (espèce, âge, sexe, numéro d’identification) ;
    – la composition qualitative et quantitative de la préparation magistrale avec indication du numéro de lot de chaque matière première et du nom du fournisseur ;
    – le numéro d’ordre de réalisation de la préparation officinale ;
    – la quantité réalisée ou délivrée avec indication de la masse, du volume et du nombre d’unités de prise pour les formes unitaires ;
    – l’identification de la personne ayant réalisé la préparation.

    En cas d’utilisation de stupéfiants, les sorties doivent être inscrites sur le registre des stupéfiants.

 

  • Forme
    Ce registre peut exister sous la forme papier classique ou sous une forme informatisée répondant aux conditions suivantes :
    – modification des données impossible après validation de l’enregistrement ;
    – édition immédiate à la demande de toute autorité de contrôle ;
    – nom et adresse de l’officine sur chaque page éditée ;
    – support informatique garantissant la pérennité et l’intégrité des enregistrements ;
    – enregistrement dupliqué sur deux supports distincts : un pour la consultation, un conservé en réserve.

    A noter, l’obligation de faire coter et parapher le registre papier par le maire ou le commissaire de police a été supprimée.

 

  • Personnes habilitées à remplir ce registre
    Les pharmaciens, titulaires, adjoints ou remplaçants, les préparateurs ainsi que les étudiants en pharmacie dès leur inscription en 3ème année.

 

  • Durée de conservation
    La nouvelle réglementation ne le précise pas.
  • Sanction 
    Aucune sanction n’est prévue 

 

Le registre spécial des stupéfiants

Ce registre est indispensable pour la comptabilité et la traçabilité des stupéfiants (article R. 5132-36 du Code de la santé publique).

 

  • Contenu
    Toutes les entrées et les sorties de stupéfiants à l’officine sont consignées dans un registre spécial, immédiatement après chaque opération. Une balance des entrées et des sorties est ensuite portée au registre une fois par mois, et l’inventaire du stock est effectué une fois par an.

    Pour les entrées, sont indiquées :
    – pour le vrac : la désignation et la quantité de stupéfiants reçus ;
    – pour les spécialités : leur désignation et les quantités reçues en unité de prise.

    Pour les sorties, sont indiquées :
    – pour les préparations magistrales et officinales : la désignation et la quantité de stupéfiants utilisés ;
    – pour les spécialités pharmaceutiques : leur désignation et les quantités délivrées en unités de prise.

    La balance mensuelle est portée au registre à l’encre, sans blanc, ni surcharge s’il est tenu sous forme papier. En cas de registre informatisé, la balance doit être éditée. 

    L’inventaire annuel se fait par pesées et décomptes. Il est porté au registre à l’encre, sans blanc, ni rature ou surcharge s’il est tenu sous forme papier. En cas de registre informatisé, aucune modification des données ne doit être possible après validation de l’enregistrement. 

 

  • Forme
    Le registre des stupéfiants peut exister sous la forme papier classique ou sous une forme informatisée répondant aux conditions suivantes :
    – modification des données impossible après validation de l’enregistrement ;
    – édition immédiate à la demande de toute autorité de contrôle ;
    – nom et adresse de l’officine sur chaque page éditée ;
    – support informatique garantissant la pérennité et l’intégrité des enregistrements ;
    – enregistrement dupliqué sur deux supports distincts : un pour la consultation, un conservé en réserve.

 

A noter, l’obligation de faire coter et parapher le registre papier par le maire ou le commissaire de police a été supprimée.

 

  • Personnes habilitées à remplir ce registre
    Uniquement le pharmacien titulaire (articles R. 5132-36 et R. 5132-76 du Code de la santé publique).

 

  • Durée de conservation
    Le registre, les enregistrements informatiques et leurs éditions, par période maximale d’un mois, sont conservés 10 ans à compter de leur dernière mention. 
  • Sanction
    3 750 euros d’amende et 2 ans d’emprisonnement 

 

Le registre des médicaments dérivés du sang

Toute délivrance d’un médicament dérivé du sang doit aussitôt être transcrite sur un registre spécial ou enregistrée informatiquement (article R. 5121-186 du Code de la santé publique).

 

  • Contenu
    Doivent figurer :
    – le nom et l’adresse du prescripteur ;
    – la spécialité du prescripteur si le médicament est classé dans la catégorie des médicaments à prescription réservée à certains spécialistes ;
    – le nom de l’établissement de santé si le médicament est classé dans la catégorie des médicaments à prescription hospitalière ;
    – le nom, l’adresse et la date de naissance du patient ;
    – la date de délivrance ;
    – la dénomination ou la formule du médicament ;
    – les quantités délivrées ;
    – les informations figurant sur l’étiquette détachable du conditionnement extérieur (en cas de transcription sur un registre « papier », cette étiquette y est apposée) ;
    – un numéro d’ordre différent pour chaque médicament délivré.

 

  • Forme
    Si vous optez pour un registre papier, celui-ci doit être coté et paraphé par le maire ou par le commissaire de police. Vous pouvez aussi préférer un enregistrement informatique.

 

  • Personnes habilitées à remplir ce registre
    Uniquement les pharmaciens, titulaires ou adjoints (article R. 5121-186 du Code de la santé publique).

 

  • Durée de conservation
    40 ans (article R. 5121-195 du Code de la santé publique).
  • Sanction
    3 750 euros d’amende ainsi qu’une peine complémentaire de fermeture temporaire ou définitive. 

 

Le registre des matières premières

La tenue d’un tel registre est énoncée dans le « Guide des bonnes pratiques de préparation ». 

Tout acte pharmaceutique devant être conforme aux règles de bonnes pratiques, les matières premières seront enregistrées dès leur réception et mises en quarantaine pour contrôle de conformité. Une identification appropriée (étiquette) signale le statut de la matière première : « en attente de contrôle », « acceptée », « refusée ».

 

 

Les enregistrements et les contrôles à réception comportent :
– la dénomination du produit inscrit sur le bon de livraison et sur les récipients ;
– la date de réception ;
– la dénomination du fournisseur et si possible la dénomination du fabricant d’origine ;
– le numéro de lot du fabricant ou du fournisseur ou son numéro de référence ;
– la quantité totale et le nombre de récipients reçus ;
– tout autre commentaire pertinent (par exemple l’état des récipients) ;
– le certificat d’analyse

Les Pharmaciens du Sud

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