Merci de nous informer (syndiqués ou non) si vous avez une fermeture estivale annuelle.

FERMETURE ANNUELLE

Comme toutes les années nous transmettrons au Conseil Régional de l’Ordre des Pharmaciens ainsi qu’à l’ARS les dates de fermetures de vos officines.

Merci de nous renvoyer par mail à l’adresse ci-dessous avant le 28 juin 2013 vos dates de fermetures.

Pharmaciens.syndicat@wanadoo.fr

– L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué

29/04/2013 – [MED] – L’ANSM publie un nouveau point sur l’évolution de l’utilisation des pilules estroprogestatives – Communiqué
Dans le cadre de son plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés (COC), l’ANSM publie une mise à jour des données disponibles sur l’évolution des pratiques liées à l’utilisation des COC en France. Elle livre également des informations sur l’utilisation des autres moyens de contraception (hors préservatifs). L’Agence actualise aujourd’hui l’ensemble de ces données avec une période d’observation étendue à quatre mois : de décembre 2012 à mars 2013. Des analyses complémentaires sont proposées par tranches d’âge et, pour les COC par dosage en estrogènes.

Les analyses ont porté sur les données de vente de l’ensemble des pilules estroprogestatives (1ère, 2ème, 3ème et 4ème génération), les contraceptifs estroprogestatifs non oraux (patchs, implants, anneaux contraceptifs estroprogestatifs) et les dispositifs intra utérins (stérilets). Les préservatifs sont exclus.
Les données de vente sont issues d’un panel de 3004 officines (Celtipharm).

De décembre 2012 à mars 2013 les ventes globales de contraceptifs (hors préservatifs) ont diminué de 1,9 % par rapport à la même période de l’année précédente et de 2,9 % si l’anti-acnéique Diane 35 est pris en compte dans la contraception globale. Pour les COC seuls, la diminution globale est de 2,7 %. Cette baisse n’est pas plus importante chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.

Les recommandations de l’Agence ont été très bien intégrées par les professionnels de santé puisque la vente des pilules de 3ème et de 4ème génération a baissé de 26 % sur les 4 mois (décembre 2012 à mars 2013) et de 37 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. Cette forte baisse est observée dans toutes les tranches d’âge, la diminution la plus importante étant observée chez les 15-19 ans.

L’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération semble se stabiliser au cours du temps, avec plus de 22 % en mars 2013 comparativement à mars 2012. L’augmentation la plus importante (+ 32 %) est observée chez les 15-19 ans. La hausse est exclusivement due à l’augmentation des ventes de COC de 1ère et 2ème génération les plus faiblement dosées en estrogènes (15 à 20 µg d’éthinylestradiol).

Les ventes d’estroprogestatifs non oraux (dispositifs transdermiques et anneaux vaginaux) ont diminué de 11 % en mars 2013 par rapport à mars 2012, cette diminution concerne toutes les tranches d’âge. En revanche, l’augmentation des ventes d’autres dispositifs (implants, dispositifs intra-utérins), amorcée en décembre 2012 se poursuit (+ 28 % en mars 2013 par rapport à mars 2012). Les dispositifs non imprégnés de progestatifs connaissent la plus forte augmentation : + 42 % en mars 2013 par rapport à mars 2012.

Ces données confirment la diminution importante de l’utilisation des COC de 3ème et 4ème génération et, dans le même temps, l’augmentation importante de l’utilisation des COC de 1ère et 2ème génération. Cette augmentation est exclusivement liée à la hausse des COC faiblement dosées en estrogènes, ce qui va dans le sens d’une minimisation des risques liés aux COC.

Contacts : presse@ansm.sante.fr
Axelle de Franssu – 01 55 87 30 33 – Séverine Voisin – 01 55 87 30 22

Dernière minute-EXCLUSIF: le compte-rendu de la réunion Marisol T. et Philippe G.

Objet : Rendez-vous avec Marisol TOURAINE, ministre de la Santé 

Rédacteur : Pierre FERNANDEZ

Participants à la réunion :

Marisol TOURAINE (ministre de la Santé), Bruno MAQUART (directeur adjoint de cabinet), Vincent BEAUGRAND conseiller chargé des soins de premiers recours au sein du pôle organisation territoriale des soins), Philippe GAERTNER (FSPF), Philippe BESSET (FSPF), Pierre FERNANDEZ (FSPF)

Problématique / Ordre du Jour :

– tour d’horizon des sujets de préoccupation des pharmaciens d’officine ;

– perspectives d’évolution de la profession.

Documents de référence :

– convention nationale pharmaceutique ;

– ordonnance et décret relatifs au commerce électronique de médicaments.

 

Marisol TOURAINE a tout d’abord rappelé que, alors que le système de santé est en pleine reconfiguration, elle appréciait, à sa juste mesure, l’implication des pharmaciens d’officine dans la maîtrise des dépenses de santé. Elle a tout particulièrement souligné le rôle positif joué par la profession en matière de délivrance de médicaments génériques, en 2012 et ce, en dépit de dysfonctionnements variables d’une CPAM à l’autre. Citant en exemple le dispositif « tiers payant contre générique », elle a exprimé ses remerciements à la profession. De même, elle a insisté

sur le fait que le dossier pharmaceutique était une réalisation plus que satisfaisante si elle en jugeait, par comparaison, par les atermoiements du DMP. Elle considère qu’il conviendrait d’allonger la durée de conservation des données recueillies dans le cadre du DP afin de la porter à une durée supérieure à quatre mois.

Revenant sur l’encadrement du commerce électronique de médicaments, avec plus particulièrement la fixation par deux textes publiés fin 2012 du régime juridique de la vente sur internet, la ministre a rappelé que les mesures ainsi prises étaient le minimum minimorum juridique que les pouvoirs publics étaient tenus de respecter eu égard aux contraintes de la législation communautaire.

Le président GAERTNER a, à nouveau, invité la ministre à demander à ses homologues européens une modification de la directive du 8 juin 2011.

Marisol TOURAINE a insisté sur la nécessité, dans un contexte de crise économique, de renforcer le rôle de conseil du pharmacien en tant que professionnel de santé, spécialiste du médicament, dans le cadre d’un circuit sécurisé de distribution des médicaments. Citant l’exemple de la pilule contraceptive, elle a mis en avant le rôle de relais des messages sanitaires que le pharmacien peut jouer.

Après une brève présentation de la FSPF et de son fonctionnement, le président GAERTNER a rappelé que la Fédération avait démontré sa capacité à formuler des propositions audacieuses. Ce fut par exemple le cas à la veille des élections présidentielles, en matière de promotion des médicaments génériques. Il a ensuite rappelé les trois principes fondamentaux sur lesquels la Pharmacie d’officine repose :

– le monopole de distribution au détail des médicaments ;

– la répartition démogéographique des officines ;

– l’indivisibilité de la propriété du fonds officinal et de son exploitation.

 

La discussion s’est ensuite organisée autour de quatre grands axes :

1/ le rôle de la Pharmacie d’officine ;

2/ les négociations conventionnelles en cours ;

3/ les EHPAD ;

4/ les perspectives d’évolution pour la profession.

 

1/ Le rôle de la pharmacie d’officine

Le président GAERTNER a insisté sur le nombre croissant de fermetures d’officines (une officine tous les trois jours).

Cette tendance est la résultante de plusieurs facteurs : la désertification médicale, la création de maisons de santé pluridisciplinaires, l’économie générale dégradée sur fond, dans certains territoires, d’hyper-concurrence entre officines.

Le président GAERTNER a demandé la création d’outils fiscaux destinés à encourager les rachats d’officine aux fins de fermeture. Visiblement surprise par le nombre de fermetures d’officines, la ministre s’est dite disposée à adresser un courrier au ministre de l’Economie et des Finances pour que ces outils soient étudiés en vue de leur mise en oeuvre. Le président GAERTNER a rappelé la nécessité de définir des typologies de territoires préalablement à toute création d’une incitation fiscale de l’Etat.

En matière de sécurité du médicament, le président GAERTNER a mis en exergue le risque accru de contrefaçons qu’il convient de contrer ainsi que le développement, dans un contexte médiatique de plus en plus tendu, de la pharmacovigilance.

Revenant sur l’encadrement juridique de la vente des médicaments sur internet, la ministre a expliqué que la France, sans être isolée, se démarquait des autres pays européens. Dans le domaine des dispositifs médicaux, par exemple, la France plaide pour la mise en oeuvre d’un dispositif de contrôle a priori alors que la plupart des Etats membres s’expriment de préférence pour un contrôle a posteriori de la mise sur le marché de ces produits.

 

2/ Les négociations conventionnelles

Le président GAERTNER a procédé à un rappel du contexte conventionnel soulignant l’impact positif de l’avenant sur les ACO qui matérialise, selon lui, une évolution majeure pour la profession. La ministre s’est inquiétée de savoir dans quelle mesure l’ensemble des officines françaises pourraient potentiellement participer à l’accompagnement thérapeutique des patients sous ACO dès lors qu’il convient, à cette fin, de disposer d’un espace de confidentialité.

Le président GAERTNER lui a répondu que l’accompagnement de cette catégorie de patients représentait, selon les estimations de la profession et de l’Assurance maladie, environ 35 personnes par officine. A défaut d’un espace de confidentialité spécifique, le bureau du pharmacien est toujours disponible pour ce type d’entretien. Dans ces conditions, on peut raisonnablement considérer que 80 % des pharmacies peuvent satisfaire à cette exigence de confidentialité.

En ce qui concerne l’évolution de la rémunération des pharmaciens d’officine, le président GAERTNER a rappelé que dès 2008, la FSPF s’était engagée de façon volontariste en faveur d’un passage à une rémunération associant une part d’honoraires à la marge commerciale.

Le report des négociations conventionnelles a été très mal perçu par la profession alors même que les pharmaciens d’officine ont rempli leur part du contrat en matière de substitution de génériques.

Le président GAERTNER a ajouté qu’en 2012 et 2013 les médicaments avaient connu ou allaient connaître des baisses de prix pour un montant total de 2 milliards d’euros. Conjuguée à une diminution des volumes, cette baisse des prix conduit à une perte de marge substantielle.

La ministre a déclaré avoir confirmé à la CNAMTS les orientations qu’elle a exprimées lors de la journée de l’Ordre, début novembre. Elle s’est ouvertement interrogée sur l’origine des blocages du calendrier de négociation. Le président GAERTNER a réclamé la communication de ce calendrier avec une échéance de fin de négociation à trois mois. Il a rappelé qu’en cas d’évolution du mode de rémunération, il conviendrait de prendre en considération la situation particulière des DOM.

 

3/ Les EHPAD

Le président GAERTNER a expliqué que 4000 officines approvisionnaient ces établissements et supportaient toute mesure tarifaire mise en oeuvre.

Il a reconnu que les dispositions de la LFSS 2013 excluant toute perspective de forfaitisation de prise en charge des médicaments en EHPAD étaient positives. Il a toutefois nuancé cette déclaration par le fait que le risque était réel d’une montée en charge des PUI dans le cadre notamment de coopérations entre établissements.

Dans le domaine connexe de la PDA, le président GAERTNER a insisté sur la nécessité de traiter simultanément l’encadrement juridique de cette composante de l’acte de dispensation avec sa rémunération. Il a reconnu que la PDA n’avait pas vocation à être généralisée mais qu’elle était indiquée particulièrement pour les personnes dépendantes à domicile, le cas échéant sur prescription médicale. La lutte contre les effets iatrogènes des médicaments chez les personnes âgées ne peut, selon lui, donner des résultats positifs que si le médecin coordonnateur et le pharmacien

référent travaillent main dans la main.

 

4/ Les perspectives d’évolution pour la profession

Le président GAERTNER a souligné, dans le prolongement des propositions faites en leur temps par Monsieur MAQUART dans le rapport de l’IGAS consacré à la pharmacie d’officine, le renforcement du rôle du pharmacien qui pourrait dans un certain nombre de cas procéder à la vaccination.

Le président GAERTNER a enfin suggéré que les pharmaciens prennent part à la télémédecine, leurs officines constituant un espace de santé accessible sans rendez-vous avec, en son sein, un professionnel de santé pouvant valablement être l’interlocuteur d’un médecin à distance.

En conclusion, la ministre a déclaré aller dans le même sens que la profession. Les professionnels de santé doivent être identifiés comme tels, chacun dans sa diversité. Le modèle antérieur a vécu et doit évoluer.

En matière de politique du médicament, elle a relevé que les prix étaient plus élevés que dans un certain nombre de pays européens, si on les rapporte au service médical rendu. Il n’y a pas de raison, selon elle, de payer cher un médicament largement « amorti ». La ministre a, à plusieurs reprises au cours de cet entretien, montré un agacement à peine voilé à l’égard des prises de position de certains acteurs de la grande distribution qui revendiquent, de façon régulière, la possibilité de vendre des médicaments non remboursables dans ses supermarchés sous le contrôle d’un pharmacien, et désormais via internet.

Classification des contraceptifs oraux estroprogestatifs (princeps) en fonction du progestatif

A communiquer à l’équipe officinale:

    Classification des contraceptifs oraux estroprogestatifs (princeps) en fonction du progestatif

1ère génération
Noréthistérone : TRIELLA

2ème génération
Désogestrel: CYCLEANE, DESOBEL
Lévonorgestrel : ADEPAL, AMARANCE, DAILY, EVANECIA, LEELOO, LOVAVULO, LUDEAL, MINIDRIL, OPTILOVA, PACILIA, TRINORDIOL, ZIKIALE
Norgestrel : STEDIRIL

3ème génération
Désogestrel : CYCLEANE, DESOBEL, MERCILON, VARNOLINE, VARNOLINE CONTINU
Gestodène : CARLIN, EDENELLE, EFEZIAL, FELIXITA, HARMONET, MELIANE, MELODIA, MINESSE, MINULET, MONEVA, OPTINESSE, PHAEVA, SYLVIANE, TRI-MINULET
Norgestimate : CILEST, EFFIPREV, TRICILEST

4ème génération
Chlormadinone : BELARA
Diénogest : QLAIRA,
Drospirénone : BELANETTE, CONVULINE, DROSPIBEL, JASMINE, JASMINELLE, RIMENDIA, YAZ
Nomégestrol : ZOELY

Communiqué ANSM sur les accidents de la route et les antidepresseurs.

Extrait du communiqué ANSM du 29 août 2012:

“La prise d’antidépresseurs entraîne une augmentation significative du risque d’être responsable d’un accident de la route.
Ce risque est accru à certaines étapes clés du traitement, telles que les périodes d’initiation ou de modification du traitement (changement de posologie, de molécule…)
Les patients doivent donc être informés du risque que présente cette classe de médicaments sur leurs capacités de conduite, notamment lorsque le traitement est initié ou modifié. Le pictogramme orange, présent en France sur la boîte de tous les médicaments antidépresseurs, participe à la mise en garde des usagers et devrait favoriser le dialogue avec les professionnels de santé, que ce soit au moment de la prescription, de l’administration ou de la délivrance.”

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Ici:   http://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Consommation-d-antidepresseurs-et-risque-d-accident-de-la-route-une-vigilance-particuliere-est-requise-lors-de-l-initiation-ou-de-la-modification-du-traitement-Communique

Rappel: Les excipients à effet notoire

Qu’appelle-t-on excipient à effet notoire ?

Les excipients sont des éléments sans activité thérapeutique qui entrent dans la composition d’un médicament ou qui sont utilisés pour sa fabrication. L’excipienta pour fonction d’améliorer l’aspect ou le goût, d’assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l’administration du médicament. Il sert aussi à acheminer le principe actif vers son site d’action et à contrôler son absorption par l’organisme. L’excipient devrait être bien toléré. Néanmoins, certains peuvent entraîner des intolérances individuelles : il s’agit des excipients à effet notoire, comme le lactose ou l’huile d’arachide, par exemple. La présence de cesexcipients à effet notoire détermine certaines précautions d’emploi propres à tel ou tel médicament générique, en fonction des effets indésirables qu’ils peuvent provoquer.

Les excipients à effet notoire et leurs effets indésirables

Excipient Contre-indications et effets indésirables
Acide borique et sels Contre-indiqué chez les enfants de moins de 3 ans
Acide benzoïque et benzoate Irritations de la peau, des muqueuses et des yeux (application locale), risque de jaunisse chez lenouveau-né (injections)
Acide sorbique et sels Urticaire (application locale)
Alcool benzylique Contre-indiqué chez les enfants de moins de 3 ans
Amidon de blé Réactions allergiques chez les personnes allergiques au blé ou intolérantes au gluten (maladie cœliaque)
Aspartam Contre-indiqué chez les personnes souffrant dephénylcétonurie
Broponol Eczéma (application locale), troubles digestifs et diarrhées (voie orale)
Butylhydroxyanisole Eczéma, irritation de la peau, des muqueuses ou des yeux (application locale)
Butylhydroxytoluène Eczéma, irritation de la peau, des muqueuses ou des yeux (application locale)
Chlorure de benzalkonium Irritation, eczéma, difficultés à respirer ; lentilles de contact endommagées
Composés organomercuriels Irritation de la peau, eczéma, troubles oculaires
Éthanol (alcool) Toxicité de l’alcool. Contre-indiqué chez les femmes enceintes, les enfants de moins de 12 ans, les personnes alcooliques ou épileptiques, les personnes atteintes de maladies du foie. Attention lors de conduite de véhicule ou d’utilisation de machines.
Irritation de la peau (application locale)
Formaldéhyde Eczéma (application locale), troubles digestifs (voieorale)
Fructose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Galactose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Contre-indiqué chez les personnes souffrant degalactosémie
Glucose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Glycérol Troubles digestifs
Huile d’arachide Réactions allergiques
Déconseillée chez l’enfant de moins de 3 ans
Huile de ricin et dérivés Troubles digestifs
Eczéma (application locale)
Bouffée de chaleur, difficultés à respirer, chute de tension (injections)
Déconseillée chez l’enfant de moins de 3 ans
Huile de soja et dérivés Réactions allergiques
Huile de sésame Réactions allergiques
Lactose Troubles digestifs (en cas d’intolérance).
Apport calorique
Lanoline (graisse de laine) Eczéma
Maltitol (sirop de) Voir Fructose
Mannitol Troubles digestifs
Paraformaldéhyde Eczéma (application locale), troubles digestifs (voieorale)
Parahydroxybenzoates et leurs sels Irritation de la peau, urticaire, difficultés à respirer
Polyéthylèneglycol (Macrogol) Troubles digestifs
Phénylalanine Contre-indiqué chez les personnes souffrant dephénylcétonurie
Potassium Douleur au point d’injection, phlébite
Risque de complication lors d’insuffisance rénale
Apport de potassium à prendre en considération chez les personnes qui suivent un régime pauvre enpotassium
Propylèneglycol, sels et esters Eczéma
Saccharose Voir Fructose et Glucose
Sodium Apport de sodium à prendre en considération chez les personnes qui suivent un régime pauvre en sodium
Sucre inverti Voir Fructose et Glucose
Sulfites(métabisulfites) Réactions allergiques
Tartrazine et colorants azoïques Réactions allergiques
Xylitol Troubles digestifs

Source : Répertoire des groupes génériques – ANSM (Agence Nationale de Sécurité des Médicaments)

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