Les confrères reçoivent des demandes d’inscription fort onéreuses à des annuaires qui ne sont même pas consultés par ceux qui les ont crées.
Méfiez-vous!
Un service gratuit des syndicats des pharmaciens FSPF des Bouches du Rhône et du Vaucluse
Les confrères reçoivent des demandes d’inscription fort onéreuses à des annuaires qui ne sont même pas consultés par ceux qui les ont crées.
Méfiez-vous!
En détournant la célèbre phrase d’Hamlet, something is rotten in the state of Denmark, je voudrais vous faire part de l’expérience de l’épouse d’un de nos confrères après son passage aux urgences de l’Hôpital de La Timone, un des plus grands hôpitaux PUBLICS de France et Centre Hospitalier Universitaire.
Lors de sa venue aux urgences, le personnel médical lui a imposé une orthèse de cheville et une paire de cannes sans lui demander son avis.
Quelque temps après, elle reçut un courrier de la société BASTIDE accompagné d’une facture.
Le courrier demandait si elle possédait une mutuelle et la facture n’était meme pas détaillée et parlait de “livraison”.
L’hôpital PUBLIC avait fourni du matériel d’une société privée dans ces murs, avait fourni l’adresse de la patiente sans demander son accord à une société privée afin que cette société puisse réclamer le remboursement complémentaire. L’hôpital de La Timone se permet d’imposer une société privée en faisant fi des 760 pharmacies du département et des quelques société de matériel médical proches de leurs patients sans demander l’accord écrit du patient. Comment accepter qu’un hôpital public accepte de favoriser dans de telles proportions une société privée? Sans oublier que chez nous, la patiente aurait obtenu le tiers payant intégral!!!
Y a t’il une convention occulte liant Bastide et La Timone? y a t’il des avantages occultes auprès du personnel médical? En quoi, s’il y a une convention tout à fait officielle, cela serait vraiment légal? En quoi justifier un besoin de santé publique? Toutes ces questions ont fait l’objet d’un courrier adressé à l’URPS PACA et à la FSPF pour savoir s’il y a une action possible à mener.
Ce sont ces méthodes, hélas, quelquefois aussi employés illégalement par certains confrères peu déontologiques amis ils sont généralement sanctionnés par notre Ordre Régional.
Philippe LANCE
Président
La Commission Européenne organisait, le 18 mai dernier à Bruxelles, une conférence sur la réforme de la réglementation des professions. Autant dire qu’elle revêtait un caractère très stratégique pour l’UNAPL puisqu’il s’agissait de faire le point sur le travail de révision des réglementations nationales accomplies depuis deux ans par les états membres, et de recenser et leurs propositions en matière de réforme. L’UNAPL a mis en garde la Commission contre les dérives de la déréglementation. A noter que 12 états-membres, sous la pression de Bruxelles ont déjà procédé à des réformes significatives conduisant à la déréglementation des professions.
Le Gouvernement va transposer dans le droit français, par le biais d’une ordonnance, la directive européenne relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles. Le problème, c’est qu’il va bien au-delà de ce que la directive impose et ouvre la porte à l’accès partiel aux professions de santé.
Cette situation témoigne de l’habitude du Gouvernement à sur-transposer les textes européens. L’UNAPL réaffirme « son opposition la plus totale au mouvement engagé tant par le Gouvernement à travers la loi Sapin II, que par les instances Européennes, visant à supprimer l’exigence de qualification à l’installation dans certaines professions ». L’UNAPL est intervenue auprès du gouvernement et a été reçue vendredi 27 mai au ministère de la Santé.
Les organisations patronales alertent des conséquences sur l’économie
Depuis plusieurs semaines la France connaît des mouvements sociaux. L’UPA, l’UNAPL, l’UDES, la FNSEA, le MEDEF et la CGPME ont alerté, dans un communiqué commun, des conséquences des grèves dans les transports et des difficultés d’approvisionnement en carburant sur l’activité économique. Certaines entreprises tournent au ralenti et les plus fragiles sont menacées. Les six organisations patronales ont appelé l’Etat à veiller au respect du Droit et à prendre les mesures permettant de garantir l’intérêt général, la liberté de travailler et de circuler librement.
Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche 3 000 femmes et cause 1 000 décès.
En 2015, dans les Bouches-du-Rhône, seulement 57,53 % des femmes ciblées avaient réalisé un dépistage dans les trois ans.
Le rôle de nos équipes officinales est essentiel pour informer de la nécessité d’une réalisation régulière de ce dépistage par un plus grand nombre de femmes.
POPULATION CONCERNEE : les femmes de 25 à 65 ans, vaccinées ou non contre les HPV.
FRÉQUENCE : tous les 3 ans (après 2 frottis normaux effectués à 1 an d’intervalle).
40 % des femmes ne réalisent pas ou pas assez régulièrement de frottis.
Il s’agit des femmes :
Nos moyens d’action :
Le frottis peut aussi être fait, sur prescription, dans certains laboratoires d’analyses de biologie médicale et d’anatomopathologie.
Des informations sur le dépistage du cancer du col de l’utérus sont disponibles sur :
Pour l’ensemble des spécialités reprises dans le tableau qui suit, le taux de remboursement sera fixé à 30 %
à compter du 1er juin prochain.
CIP | Présentation |
3400932946921 | HYPERIUM 1 mg (rilménidine), comprimés (B/30) |
3400937225731 | HYPERIUM 1 mg (rilménidine), comprimés (B/90) |
3400949930449 | RILMENIDINE ACTAVIS 1 mg, comprimés (B/30) |
3400949930678 | RILMENIDINE ACTAVIS 1 mg, comprimés (B/90) |
3400938960891 | RILMENIDINE ALTER 1 mg, comprimés (B/30) |
3400938961034 | RILMENIDINE ALTER 1 mg, comprimés (B/90) |
3400937500784 | RILMENIDINE ARROW 1 mg, comprimés (B/30) |
3400937500906 | RILMENIDINE ARROW 1 mg, comprimés (B/90) |
3400932947461 | RILMENIDINE BIOGARAN 1 mg, comprimés (B/30) |
3400937808088 | RILMENIDINE BIOGARAN 1 mg, comprimés (B/90) |
Vols d’ordonnances utilisées pour du Subutex® et du Stilnox® par M Aboubacar Abdou et Mme Oumouri Karossi Amina
Les médecins volés sont le Docteur Georges Roland L’ollivier dans le 15ème et le Docteur Samuel Oudineche dans le 14ème.
La FSPF, en réunion mercredi avec l’Assurance maladie, s’est faite le porte-parole des dysfonctionnements que vous rencontrez dans l’application de la nouvelle nomenclature PERFADOM. Elle a pointé le manque d’anticipation des services ministériels et de l’Assurance maladie dans la gestion de ce dossier.
Grâce à votre collaboration, les problèmes recensés ont été exposés, pièces à l’appui. Nous vous en remercions et restons à votre écoute en cas de difficultés nouvelles.
Nous avons obtenu qu’une circulaire soit diffusée, dans les prochains jours, par la CNAMTS à son réseau et mise en ligne sur ameli.fr afin d’être accessible à l’ensemble des professionnels de santé.
L’Assurance maladie s’est engagée à ce que cette circulaire apporte des réponses concrètes aux questions que vous vous posez.
Pendant cette période transitoire, la FSPF a obtenu une tolérance dans l’utilisation des codes de la nouvelle nomenclature, en attendant que les conditions de prescription et de facturation applicables à l’ensemble des acteurssoient précisées dans la circulaire.