Ce rapport est très favorable à l’implantation d’une PUI (Pharmacie à Usage Intérieur) au détriment des officines.
Nous conseillons aux confrères qui possèdent une clientèle d’ EPHAD de lire les passages concernant le médicament et de ne pas hésiter à nous transmettre leurs réflexions.
Chimiste français né le 30 septembre 1802 à Montpellier et mort le 30 avril 1876 à Paris. Issu d’une modeste famille de vignerons, Balard fait ses études supérieures à l’université de sa ville natale. Il y suit les enseignements de pharmacie – il obtient son doctorat en 1826 – et parallèlement ceux de physique et de chimie. Durant ses études, il devient préparateur du titulaire de la chaire de chimie, avant d’obtenir ce poste en 1834. Il est ensuite nommé professeur de chimie à la Sorbonne à Paris, puis professeur au Collège de France en 1851. En 1844, Balard avait été élu membre de l’Académie des sciences.
C’est son intérêt pour la chimie des composés marins qui va le conduire à la grande réalisation de sa vie, la découverte du brome. Il s’intéresse très tôt à l’iode – élément découvert en 1811 par Bernard Courtois (1777-1838) – et il en étudie, à l’aide d’une méthode efficace qu’il a mise au point, la présence et la proportion dans des plantes marines de la mer Méditerranée et de l’océan Atlantique. Au cours de ces recherches, il isole en 1825, dans les eaux des salines, près de Montpellier, un composé liquide rouge sombre à l’odeur désagréable (brome vient du grec brômos, puanteur) ; il montre vite que ce composé constitue un nouvel élément chimique, analogue au chlore et à l’iode, déjà connus. L’annonce, le 3 juillet 1826 à l’Académie des sciences, de la découverte du jeune pharmacien fait sensation. En fait, la découverte de ce nouvel élément fut particulièrement importante et appréciée par la communauté chimique d’alors parce qu’elle mettait en évidence l’existence d’une « famille » de composés – les «halogènes », comme allait les nommer dès 1826 Jöns Jacob Berzelius (1779-1848) –, ayant des propriétés physiques très différentes, mais un ensemble de propriétés chimiques similaires.
En fait, le nouveau composé avait déja été isolé, mais les chimistes n’avaient pas compris la nature élémentaire du liquide rouge qu’ils avaient obtenu. Ainsi, Justus Liebig (1803-1873) lui avait attribué la structure d’un chlorure d’iode et n’avait pas poursuivi son étude.
Balard va effectuer une étude approfondie des propriétés du brome et de certains de ses composés. Il étudie également la nature des propriétés décolorantes du chlore – l’« eau de Javel » –, ce qui le conduit à la découverte de l’acide hypochloreux et du monoxyde de chlore.
Certains chimistes de l’époque, à l’esprit frondeur, ironisaient sur les résultats jugés peu nombreux que Balard avait obtenus après l’isolement du brome en prétendant que « Balard avait été inventé par le brome »….
source Universalis
NDLR: C’est injuste de se moquer de notre confrère car, en 1844, il a aussi synthétisé le nitrite d’amyl, bon d’accord, c’est 20 ans plus tard que ce composé a été utilisé pour en lever les spasmes coronariens. Et 130 ans plus tard, les milieux homosexuels trouvèrent une utilisation plus ludique mais autrement plus dangereuses en inventant les fameux « poppers ».
— la durée du ou des stages effectués par un même stagiaire dans une même entreprise ne peut excéder six mois par année d’enseignement ;
— un délai de carence doit être respecté en cas de succession de stagiaires sur un même poste ;
— la gratification mensuelle minimum doit également être versée lorsqu’un même stagiaire effectue, en une ou plusieurs fois, une durée de stage supérieure à deux mois consécutifs ou non dans la même entreprise au cours de l’année scolaire ou universitaire ;
— l’employeur doit tenir à jour la liste des conventions de stages conclues sur un registre autre que le registre unique du personnel ; (En général, lors d’un contrôle URSSAF, le vérificateur demande les conventions de stage)
— la prise en compte de la durée du stage dans la période d’essai ne concerne que les embauches réalisées dans les trois mois suivant l’issue du stage ;
— lorsque l’embauche est effectuée dans un emploi en correspondance avec les activités qui avaient été confiées au stagiaire, la durée du stage est déduite intégralement de la période d’essai ;
— lorsque le stagiaire est embauché à l’issue d’un stage d’une durée supérieure à deux mois, la durée de ce stage est prise en compte pour l’ouverture et le calcul des droits liés à l’ancienneté.
Les sommes versées aux stagiaires ne donnent pas lieu à assujettissement dans la limite de 12,5% du plafond horaire de la sécurité sociale par heure de stage effectuée.
Tous les stages sont soumis aux mêmes règles, qu’ils soient ou non obligatoires.
Lorsque la gratification mensuelle du stagiaire est au plus égale à la franchise de cotisations, aucune cotisation et aucune contribution de sécurité sociale ne sont dues, ni par l’entreprise d’accueil, ni par le stagiaire (la CSG et la CRDS ne sont pas dues dans ce cas). Exemple :
La franchise est égale à 436,05 euros par mois en 2012 dans le cas où la durée de présence du stagiaire est égale à la durée légale du travail.
S’agissant des gratifications supérieures à ce seuil, les cotisations et contributions patronales et salariales de sécurité sociale sont calculées sur le différentiel entre le montant de la gratification et la franchise. Exemple :
Pour une durée de présence du stagiaire égale à la durée légale du travail : Montant de la gratification – 436,05 euros = Assiette des cotisations.
Ce seuil de 436,05 euros est apprécié au moment de la signature de la convention de stage compte tenu de la gratification, des avantages en nature et en espèces et du temps de présence mensuel prévu au cours du stage.
Pour nos stagiaires de 6ème année: Le montant brut de la gratification mensuelle versée aux étudiants de sixième année accomplissant leur stage de six mois de pratique professionnelle à temps plein est donc fixé, au 1er janvier 2012, à 507,10 euros.
507,10 – 436,05 = 71,05 € qui sont soumis à cotisations.
____________Les points qui ont été contrôlés:______________
— Registre Unique du Personnel
— Document Unique d’Evaluation des Risques
— Installations électriques: « Il vous appartient de faire évaluer, dans les meilleurs délais, vos installations électriques. La vérification périodique est OBLIGATOIRE et il faudra me communiquer un rapport établi par l’organisme vérificateur agréé.
— Extincteurs: Procéder régulièrement au contrôle des extincteurs qui doivent être d’accès et de manipulation facile.
— Affichages obligatoires: planning des employés, des jours de congé, égalité des rémunérations hommes et femmes, lutte contre les discriminations, lutte contre le harcèlement moral et sexuel, interdiction de fumer…
— Vérification des installations obligatoires: Vestiaires, préparatoire, toilettes.
L’Inspection du Travail a particulièrement insisté auprès du confrère contrôlé à propos de l’installation électrique et de sa vérification régulière par une entreprise agréé.
Nous informons nos adhérents (et uniquement nos adhérents) qu’il a été négocié un prix auprès d’une société de contrôle agréé. Si vous êtes contrôlés par l’Inspecteur du Travail et qu’il vous oblige à effectuer cete vérification de l’installation électrique de l’officine, n’hésitez pas à téléphoner à Sophie au 04 91 15 72 61 qui vous communiquera les coordonnés de la société de contrôle.
Nous remercions vivement notre confrère Thierry VIGNY qui s’est occupé de négocier le partenariat.