Recruter un stagiaire: quelles sont les règles concernant la rémunération ?

Les employeurs qui accueillent un stagiaire sont tenus de respecter la réglementation afin de lui permettre d’effectuer ses tâches dans les meilleures conditions, aussi bien concernant les missions qui lui sont assignées que concernant ses conditions de travail. Mais quelles sont les obligations de l’employeur sur les volets financiers de cette réglementation (gratification, prise en charge de frais divers, etc.) ? Explications.

La convention de stage

Le stage en milieu professionnel donne obligatoirement lieu à la signature d’une convention de stage entre l’employeur, l’étudiant (futur stagiaire) et l’organisme de formation dont dépend le stagiaire. Cette convention permet, notamment, de fixer les règles obligatoires ou facultatives, relatives au déroulement du stage. Au même titre que l’énoncé des missions assignées au stagiaire, les dates de début et de fin du stage, ou les horaires de travail, les informations relatives aux conditions financières doivent être mentionnées dans cette convention. Plus précisément, cette dernière doit détailler les éléments suivants :

  • le taux horaire de la gratification, calculé sur la base de la présence effective du stagiaire, ainsi que les modalités du versement
  • les avantages éventuels auxquels le stagiaire a droit (accès à la restauration, prise en charge d’une partie des frais de transport, remboursement de frais divers, etc.)

À savoir

Les règles énoncées ci-dessous et dans le reste de cet article concernent uniquement les stages d’élèves et étudiants effectués dans le cadre d’un stage d’initiation, de formation initiale ou de complément de formation professionnelle initiale. Pour les autres types de stages, comme ceux effectués dans le cadre de la formation professionnelle continue et faisant l’objet d’un contrat de travail, d’autres règles s’appliquent.

Lire aussi : Tout savoir sur la taxe d’apprentissage

La gratification est obligatoire au-delà de deux mois de stage

Le versement d’une gratification au stagiaire est obligatoire dès lors qu’il est accueilli par l’entreprise plus de 2 mois : soit l’équivalent de 44 jours à 7 heures par jour, ou encore à partir de la 309heure, au cours de la même année scolaire ou universitaire, même si sa présence n’est pas continue.

En dessous de cette durée, la gratification est facultative.

Calculez la gratification de votre stagiaire

Afin d’aider les employeurs à calculer le montant de gratification qu’ils doivent octroyer à leurs stagiaires, service-public.fr a développé un simulateur :

Accéder au simulateur de calcul de la gratification minimale d’un stagiaire

À minima, il est indispensable de respecter les règles et principes suivants :

  • Comptabilisation du temps de présence : la gratification est calculée en fonction du nombre d’heures de présence effective du stagiaire. La rémunération des congés est facultative, de même en ce qui concerne le congé pour cause de grossesse, de paternité, d’adoption, ou de toute raison d’absence prévue par la convention de stage.
  • Montant minimum légal : le montant de la gratification doit figurer dans la convention de stage et est apprécié au moment de la signature. Le montant minimum légal de gratification est de 3,90 euros par heure de stage, soit 15 % du plafond de la Sécurité sociale. Le stage n’étant pas un contrat de travail, il n’est pas possible de verser une gratification supérieure à ce montant minimum légal dans le secteur public. Dans le secteur privé, il est possible de verser une gratification supérieure à ce montant minimum légal, si cela est prévu par une convention de branche ou par un accord professionnel étendu.
  • Modalités de versement : la gratification est mensuelle et doit être versée à la fin de chaque mois et non pas en fin de stage. Elle est due dès le premier jour de stage et non pas à partir du seuil des deux mois de stage.
  • Prise en compte des charges sociales : si la rémunération versée ne dépasse pas le montant minimum légal, elle est exonérée de charges sociales pour l’organisme d’accueil et pour le stagiaire. En revanche, dans les cas ou la gratification est supérieure à ce minimum légal, la rémunération est alors soumise à cotisations et contributions sociales au-delà du seuil de franchise, calculées sur la fraction excédentaire (différence entre le montant réellement versé et la franchise de cotisations). Le stagiaire n’ayant pas le statut de salarié, il garde son statut d’étudiant en ce qui concerne les prestations de sécurité sociale et les contributions suivantes ne sont donc pas dues au titre de l’assurance chômage et de la retraite complémentaire.

Lire aussi : Estimez le coût d’une embauche d’un salarié

Le stagiaire peut bénéficier d’autres droits et avantages financiers au même titre que les salariés

Même si le stagiaire n’a pas le statut de salarié, il doit bénéficier, au même titre que les salariés de l’organisme d’accueil, de certaines prestations comme l’accès aux offres du comité d’entreprise. Il en est de même pour l’accès au restaurant d’entreprise ou concernant l’octroi de titres restaurants : le stagiaire doit en bénéficier aux mêmes conditions que les salariés.

Par ailleurs, concernant les frais de transport engagés par le stagiaire pour se rendre sur le lieu de son stage, le remboursement pour moitié de ces frais est une obligation pour l’employeur. Là encore, les mêmes conditions que celles applicables aux salariés de l’entreprise s’appliquent également au stagiaire.  

À savoir

Le remboursement de ces frais divers ne fait pas partie de la gratification mensuelle, mais doit être payé en plus.

source Bercy Infos

Réduction des délais d’écoulement des stocks en cas de baisses de prix Une mesure inacceptable !

A compter du 1er octobre prochain, la période transitoire durant laquelle les pharmaciens pourront, en cas de modification du prix d’un médicament remboursable, continuer à le vendre à son ancien prix, sera abaissée de 50 à 38 jours pour la métropole. 

Dans le contexte sanitaire que connaît actuellement notre pays, et alors que les pharmaciens d’officine contribuent activement à la lutte contre la Covid-19, cette mesure purement comptable est inacceptable

Cette réduction des délais d’écoulement des stocks va en effet engendrer une perte sèche pour l’économie officinale de plus de 44 millions d’euros, soit en moyenne 2 000 € par officine. Cette diminution des ressources va encore affaiblir le réseau officinal, qui subit déjà depuis plusieurs années des pertes de rémunération liées aux baisses de prix à répétition sur les médicaments. 

Cette mesure entraînera également une gestion en flux tendu des médicaments à l’officine, alors même que les pharmaciens d’officine subissent de fréquentes tensions d’approvisionnement. La continuité du traitement des patients risque ainsi d’être mise en péril

Est-ce le moyen de récompenser les pharmaciens qui sont en première ligne dans la lutte contre la Covid-19 depuis le début de la crise ? Est-ce le signe d’un énième PLFSS dévastateur pour notre profession ? 

La FSPF qui avait alerté le ministère de la Santé sur les conséquences de cette mesure, a déjà été entendue pour les DOM, pour lesquels le ministère envisageait de réduire les délais d’écoulement à 60 jours. Grâce à son intervention, le délai de 90 jours sera maintenu au-delà du 1er octobre 2020. 

De façon générale, la FSPF demande aujourd’hui aux Pouvoirs publics de revenir sur cette mesure venue du monde d’avant, en maintenant les délais d’écoulement antérieurs sur l’ensemble du territoire !

Confraternellement, 

Philippe BESSET

Président de la FSPF

Résultat du sondage sur la sérialisation du 24/07/2020

Nous remercions les confrères qui ont répondu au sondage. 90 titulaires ont répondu au sondage ce qui nous permet d’établir un profil crédible sur la situation actuelle vis à vis de la sérialisation.

A la question, “êtes vous prêts?” 90% des confrères ne le sont absolument pas.

Pour la question “combien ça va vous coûter” 34% des confrères pensent que le coût est significatif, 21% des confrères pensent que le coût est important et 32% très important.

Pour les inconvénients, voici les réponses:

perte de tempsLes retours de produits par le patient car erreur de dosageLenteur et blocageMon lgo est déjà une catastrophe j imagine le pireGestion des gros volumes de délivrancePerte massive de temps et le manque de toute ergonomieGestion au comptoirPerte de temps, problème des produits que les gens ne veulent plus, erreur de délivranceAyant un automate, il va falloir faire tomber les produits puis les rescanner ( pb avec la SSII ou avec le fabricant de l’automate Technilab): perte de temps importante. Que faire pour les: « finalement, donnez moi des gélules plutôt »?Temps, argentlongueur à la délivrance par passage boite à boite, scanner chaque boite reçue même en direct.le retour d’un produit “cramé” auprès du grossiste ou du fournisseur au bout de 10 joursProblème de scannersConnectivité internet, perte de temps comptoir = perte de productivitéimpossibilite de rattrapage d’erreur de commandeutilisation d’un automateMatériel non adéquat, équipe non formée, manque d’infos…Lourdeur des taches incompatible avec un automate.Le manque de tempsPERTE DE TEMPSLenteur et complexification si erreur de délivrance et/ou remise en stock.ENORME perte de temps et peut être perte d’argent (en plus ça doit nous couter de l’argent, c’est aberrant !!!) GROS risque d’altercation verbale (ou plus) avec le patient si on ne peut plus lui changer la forme galénique cp, gel, sachet… une fois les boites scannées alors que les boites sont encore sur le comptoir, on va se faire INSULTER et perdre des patients l’insécurité au comptoir avec la sérialisation va augmenter Comment faire si coupure internet??? On nous en demande toujours plus et la sérialisation sera le PLUS de TROP A croire que le pharmacien a toujours du temps de libre pour effectuer du travail supplémentaire Je suis épuisé !!!! debit internet minable sur la commune, quand on recoit une commande avec dix mille boites de doliprane on va toutes les scanner une par une ?et le coup de l equipement et le temps perdu … dossier tarifié et finalement patient ne veut pas une boite on fait quoi ? Marre de cette législation de …Perte de tempsprobleme de connexion internet qui fait que je n’utilise quasiment pas le dp a l’heure actuellePerte de temps et argentChronophage et dépendant d’une bonne connexion internetle surcoût de tempsErreur de commande grossiste va générer un coût supplémentaireLa fluidité du réseau, le matériel va t il suivre, ralentir le processus de réception Et de délivrance.Encore de la complexité inutilepanne internet, panne informatique, bugs, dépannage médicament avec confrère..le coût et le temps de dispensation qui va être rallongé et la gestion des retoursperte de temps insupportable au comptoir, situation ubuesque du produit indélivrable, problème du retour/échange gélule/comprimé, réceptions de commandes directe avec grosses quantités – réception en bloc impossible, pas question d’enregistrer à l’unité , même chose au comptoir( lamaline, ixprim, paracetamol)perte de temps. même proche de marseille soucis internetscanner ttes les boitespb connection, boite non reconnue, retour sur erreur tardive, ou changement d’avis sur forme du patient à postérioriPerte de boites suite à mauvaises manipulations , perte de temps en tarification ( robot ),temps perdu/ soucis de connection internetchronopharge, inadapté à la dispensationcomplexeVeux pas le fairerejet de code entre autresbugs, gestion des promis, chronophageIrréalisableconnection adslCorrection des erreurs de délivranceManque de temps et de moyen humainProblème internet connexionRéactivation des médicamentsperte de temps , blocage sur vente , problème sur les retours , que faire des boites rejetées, panne internet …dysfonctionnements diversLE SCAN PAR ERREUR DE BOITES DE MEDICAMENTSPerte de marchandise, impossibilité de se dépanner dans une autre pharmacie.mise en place compliquée, lenteur pour servir les gens et reception des commandes. Chronophage, complexiteralentissement de l’ordinateurRalentissement (perte de temps) – Contraintes de gestion TP supplémentairesun problème avec les médicaments avancés, le dépannage entre officine, l’énorme perte de temps, les qr codes qui ne passent pas (exemple noir sur noir ou en couleur), le surcourt demandé par l’éditeur de logicielChronophage Problèmes de connexionimpossible de les appréhender, nous ne savons rien de la sérialisation.GESTION DES PROMISralentissement de la delivranceperte de temps, d’argent…non realisable en pratiqueles data matrix illisiblesperte de temps futur, perte de temps pour sa mise en place, pas du tout accompagné pour la mise en place de quelque-chose qu’on ne veut pas. Bug informatique comme le DP ?

Pour les questions concernant la rapidité du réseau, des scanners, l’ancienneté du matériel et l’efficacité des SSII, très peu de réponses très positives (5%) mais beaucoup de réponses pessimistes et très pessimistes (70%). Nous sommes surpris et inquiets par le nombre de confrères très pessimistes sur la qualité du réseau. Pour l’efficacité des SSII, nous sommes moins surpris des réponses car le cahier des charges imposé depuis des années par les Pouvoirs Publics entraîne forcément des couches de programmes qui alourdissent certainement les logiciels métier de façon désordonnée.

En résumé, la situation sur la sérialisation semble, à juste raison si vous lisez les paragraphes colorés ci-dessous, inquiétante pour les titulaires.

Un sondage a été effectué en janvier 2020 auprès des pharmaciens berlinois après 6 mois d’utilisation de Securpharm, l’organisme s’occupant de la sérialisation et environ un tiers des personnes interrogées (31%) pensent que «Securpharm a eu un impact négatif considérable sur leur vie quotidienne», tandis qu’un peu moins de la moitié (44%) déclarent au moins «une légère détérioration». Les autres ne voient pas ou seulement un léger changement (23%) ou même une amélioration (2%). 

Pour les pharmaciens de la capitale allemande,  plus de la moitié des sondés évaluent les surcoûts entre 300 et 2000 euros. Selon l’AK Berlin, 23 collègues ont cité «des dépenses nettement plus élevées voire extrêmement élevées (plus de 10 000 euros)». Cependant, ceux-ci n’ont pas été ventilés davantage dans l’enquête et, selon la chambre professionnelle, sont bien supérieurs aux coûts supplémentaires officiellement connus à ce jour.

source DAZ.online

P.L

HONORAIRES ET PRESTATIONS DES PHARMACIENS – Nouveaux taux de prise en charge

A compter du 1er septembre 2020, les honoraires par ordonnance de médicaments remboursables (HDR), les honoraires de dispensation liés à l’âge du patient (HDA) et les honoraires liés à la dispensation de médicaments spécifiques (HDE) seront pris en charge à 65 % par l’assurance maladie obligatoire (au lieu de 70 %). 

L’acte vaccinal et la réalisation des TROD angine continueront d’être pris en charge à 70 % par l’assurance maladie obligatoire.

Les entretiens pharmaceutiques pour les patients sous AOD ou AVK, sous anticancéreux oraux ou asthmatiques ainsi que les bilans de médication seront également pris en charge à 70 %.

Confraternellement,

Christophe KOPERSKI

Président de la Commission FSPF ” Convention et systèmes d’information”

Aide à l’embauche des jeunes de moins de 26 ans

Une aide de 4 000 € maximum est instaurée pour l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans. Le contrat doit être un CDD d’une durée de 3 mois minimum ou un CDI. La rémunération du jeune salarié doit être inférieure ou égale à 2 fois le Smic. Chaque recrutement qui remplit les conditions requises donne droit à cette aide. Ce dispositif concerne les contrats conclus entre le 1er août 2020 et le 31 janvier 2021.

Employeurs concernés

Tous les employeurs du secteur privé, les entreprises et les associations, sont concernés par cette aide.

Conditions pour recevoir l’aide

  • Le salarié de moins de 26 ans doit être recruté en CDD ou en CDI à partir du 1er août 2020. Le CDD doit être d’une durée de 3 mois minimum.
  • Le salarié doit avoir moins de 26 ans à la date de la conclusion du contrat.
  • Le contrat doit être conclu entre le 1er août 2020 et le 31 janvier 2021.
  • La rémunération de ce jeune doit être inférieure ou égale à 2 fois le Smic.
  • L’employeur ne doit pas déjà disposer d’une aide de l’État pour ce salarié. Par exemple, une aide à l’insertion.
  • Le poste concerné par l’embauche ne doit pas avoir fait l’objet en 2020 d’un licenciement économique.

Montant et versement de l’aide

L’aide est d’un montant maximum de 4 000 € par salarié de moins de 26 ans.

Le montant est calculé proportionnellement au temps de travail et à la durée de ce contrat. Il ne prend pas en compte les périodes d’activité partielle, ni les absences non rémunérées.

L’aide est versée par tranche de 1 000 € maximum chaque trimestre, pendant 1 an maximum.

  À noter : dans le cas où l’employeur licencie le jeune entre le 3e et le 4e mois après son embauche, il recevra une aide proportionnelle au temps de travail effectué.

Durée du dispositif

Ce dispositif est valable jusqu’au 31 janvier 2021.

Il concerne les contrats conclus entre le 1er août 2020 et le 31 janvier 2021.

Cependant, les demandes pour obtenir l’aide peuvent être déposées pendant 4 mois après cette date, soit jusqu’au 31 mai 2021.

Comment obtenir l’aide ?

L’employeur a un délai de 4 mois à partir de la date de l’embauche pour déposer sa demande d’aide.

Il doit déposer sa demande d’aide sur une plateforme en ligne de l’État, normalement l’ Agence de services et de paiement (ASP), qui ouvrira le 1er octobre 2020.

Les demandes d’aide pourront donc être déposées sur cette plateforme du 1er octobre 2020 jusqu’au 31 mai 2021.

source: Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

Jusqu’à 8 000 euros la première année pour un salarié majeur embauché en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021

En application de la mesure annoncée dans le cadre du plan national « un jeune, une solution », les décrets d’application de l’aide à l’embauche de salariés en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation ont été publiés cette semaine au Journal Officiel. 

Les contrats d’apprentissage ou de professionnalisation conclus entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021 pour préparer un diplôme ou un titre à finalité professionnel équivalent au plus au niveau 7 du cadre national des certificats professionnelles (= ancien niveau I de la nomenclature de l’Education nationale), font l’objet d’une aide financière pouvant atteindre un montant de 5 000 euros pour un salarié mineur et 8 000 euros pour un salarié majeur, sous réserve d’être âgé de moins de 30 ans à la date de conclusion du contrat. 

La préparation du brevet professionnel de préparateur en pharmacie, de niveau 4 (= ancien niveau IV), est donc éligible au bénéfice de cette aide. 

L’aide est versée au titre de la première année d’exécution du contrat seulement. S’agissant des contrats d’apprentissage, elle se substitue à l’aide unique à l’apprentissage versée au titre de la première année d’exécution du contrat (4 125 euros). L’aide unique à l’apprentissage reste applicable, dans les conditions et selon les montants habituels, pour la seconde et troisième année d’apprentissage (respectivement 2 000 euros et 1 200 euros). 

Cette aide est gérée et versée par l’Agence de services et de paiement (ASP) selon le même schéma que l’aide unique à l’apprentissage : l’employeur n’a pour seule formalité à accomplir que celle de transmettre le contrat d’apprentissage ou de professionnalisation à l’opérateur de compétences des entreprises de proximité (OPCO-EP). 

 Pour l’embauche d’un même salarié, cette aide ne se confond pas, pas plus qu’elle ne se cumule, avec l’aide à l’embauche de jeunes âgés de moins de 26 ans en CDI ou CDD d’au moins trois mois, autre volet du plan « un jeune, une solution », présentée dans notre circulaire accessible ici.

Pour en savoir plus, lire la circulaire FSPF en cliquant ici.

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