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13H45

Ne manquez pas l’actualité phare de la semaine, tous les vendredis à 13h45 en
live, présentée par Philippe Besset, Président de la FSPF :

https://www.voxpharma.fr/fspf. Vous avez la possibilité de poser toutes vos
questions en direct via le chat. Chaque jeudi, une « FSPF Info Pour tous »
vous informera du programme traité le lendemain. Si vous ne recevez pas
d‘information à ce sujet, c’est que le live n‘aura pas lieu.

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Accompagnement pharmaceutiques des patients chroniques

La convention nationale pharmaceutique définit les missions des pharmaciens d’officine pour l’accompagnement de patients chroniques :

– patients sous anticoagulants oraux (AVK et AOD) ;

– patients asthmatiques avec un traitement de fond par corticoïde inhalé ;

– patients sous anticancéreux oraux ;

– personnes âgées polymédiquées.

La circulaire du 1er octobre 2020 est mise à jour pour tenir compte :

– d’une part, de la définition des modalités de mise en place du bilan de médication pour les patients résidant en EHPAD ;

– d’autre part, de l’évolution des modalités de facturation de certains accompagnements.

Elle détaille, pour chaque accompagnement pharmaceutique, son contenu, sa rémunération et les modalités de facturation applicables.

Pour nos adhérents qui ont leurs codes d’accès FSPF, c’est ICI.

Signalement pour mésusage et trafic d’Ozempic

Madame, Monsieur,

Nous avons été alertés par les services de l’Office central de lutte contre les atteintes et à la santé publique (OCLAESP) d’une recrudescence d’obtentions illicites, à l’aide de fausses prescriptions, de produits utilisés en diabétologie dont le médicament OZEMPIC® (sémaglutide).
Ce médicament est présenté sur les réseaux sociaux comme un remède miracle pour perdre du poids.
Parallèlement, l’accroissement de la demande mondiale d’OZEMPIC® est à l’origine de tensions d’approvisionnement. D’autres molécules de la même classe thérapeutique font également l’objet de trafics : dulaglutide (TRULICITY), liraglutide (VICTOZA, SAXENDA, XULTOPHY).

L’OCLAESP vous invite à la plus grande vigilance et à mener les actions suivantes en cas de suspicion de fausse ordonnance de ces médicaments :

1. Collecter le plus d’éléments possibles permettant d’identifier et de retrouver la personne qui s’est présentée au comptoir, notamment :
– Faire une copie des documents présentés (ordonnance, attestation assurance maladie).
– Conserver les images de vidéosurveillance en les archivant immédiatement.
– Conserver un éventuel numéro de téléphone portable qui aurait été communiqué.

2. Déposer plainte auprès du commissariat ou de la gendarmerie du secteur :
– Communiquer à ce service tous les éléments d’ambiance (patient inconnu de la pharmacie, personne seule ou accompagnée, attitude…) et les informations disponibles.
– Indiquer à ce service de contacter l’OCLAESP qui assure un suivi de ces affaires et apporte un appui aux unités, par mail gap.dsa.oclaesp@gendarmerie.interieur.gouv.fr.

3. Déclarer les ordonnances suspectes (falsification, ajout d’un médicament, fautes d’orthographe, anomalies, etc.)  auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) dont vous dépendez, y compris celles émanant d’une plateforme ou application de téléconsultation ou refuser une délivrance en cas de doute ou de prescription hors AMM.
 Dans ce cas et si possible, le médecin à l’origine de la prescription doit être contacté.

En cas de détection de fausses ordonnances, nous vous remercions d’en informer votre Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM).

Sachant pouvoir compter sur votre vigilance,

Cordialement,
Votre correspondant de l’Assurance Maladie

Négociations salariales : les organisations syndicales de salariés refusent la revalorisation de 2 % du point de salaire

  • Lors de la commission paritaire nationale de la Pharmacie d’officine (CPPNI) qui s’est réunie hier, la FSPF et l’USPO, soucieuses de valoriser le travail des équipes officinales ont proposé, dans le contexte inflationniste et d’augmentation annoncée du SMIC à effet du 1er mai, une revalorisation salariale de 2 %.

Alors qu’en année glissante, l’inflation a atteint 5,7 % et pèse sur le réseau officinal, les deux chambres patronales ont fait preuve d’esprit de responsabilité en appliquant, sur la même période, deux accords salariaux conduisant à une augmentation cumulée des rémunérations conventionnelles de 6,09 %. En intégrant la proposition faite hier par les chambres patronales, le montant cumulé des augmentations pourrait atteindre 8,21 % en année glissante, soit un gain de 2,51 % en termes de pouvoir d’achat.

Or, les organisations syndicales représentatives des salariés ont balayé d’un revers de la main cette nouvelle proposition de revalorisation et exigé des augmentations intenables pour le réseau officinal.

Déconnectées de la réalité de la situation économique de la majorité des pharmacies d’officine, ces revendications interviennent alors que, depuis le second semestre 2022, les ressources nécessaires au fonctionnement du réseau officinal ont retrouvé leur niveau antérieur à la crise sanitaire.

Dans ce contexte, il est donc purement et simplement impossible pour les chambres patronales d’accéder à ces demandes. Rappelons que, la convention nationale pharmaceutique du 9 mars 2022 prévoit une négociation économique avec l’Assurance maladie avant la fin de l’année et la FSPF a insisté auprès du ministre de la Santé et de la Prévention qu’elle a rencontré le 23 mars dernier, sur l’urgence d’une ouverture des négociations afin de donner au réseau officinal les moyens nécessaires à son bon fonctionnement.

Les organisations syndicales de salariés ont quitté la séance en indiquant qu’elles suspendaient, jusqu’à nouvel ordre, leur participation aux négociations de branche. Cette posture pénalise fortement les collaborateurs des pharmacies d’officine qui auraient pu légitimement bénéficier d’une revalorisation salariale immédiate de 400€ net par an en moyenne. Sans renoncer à leurs revendications, il était possible d’accepter cette augmentation immédiate et, ensemble, de se battre pour obtenir un « Ségur de la pharmacie ».

La FSPF ne peut que regretter cette situation, qui a également pour effet le blocage de dossiers nécessitant des décisions urgentes, dans l’intérêt des salariés (HDS de branche, prévoyance, refonte de la classification des emplois de la Pharmacie d’officine…) et en appelle au sens des responsabilités des organisations syndicales représentatives des salariés.

Pharmaciens : modalités de délivrance et de facturation des médicaments nécessaires à un patient placé en garde à vue

Consultez les modalités de délivrance et de facturation qui s’appliquent pour un patient placé en garde à vue, ainsi que les coordonnées des DDETS vous permettant de vous faire rembourser le cas échéant.

Garde à vue – généralités :

Le code de procédure pénale prévoit plusieurs régimes juridiques de garde à vue selon l’âge de la personne gardée à vue (majeure ou mineure) et selon la nature des infractions reprochées.

En droit commun, la mesure de garde à vue est limitée à une durée maximale de 24 heures, renouvelable pour une nouvelle période de 24 heures au plus sur autorisation expresse du procureur de la République.

Pour les affaires les plus graves (exemple : trafic de drogue), la garde à vue peut être prolongée pour atteindre une durée totale de 72 heures (voire 96 ou 144 heures, en cas de risque terroriste).

Une obligation pour le pharmacien :

Toute personne placée en garde à vue a le droit à bénéficier d’un examen médical (article 63-3 du code de procédure pénale – article L413-8 du code de la justice pénale des mineurs). Dans ce cadre, le gardé à vue peut, si nécessaire, bénéficier d’une prescription de médicaments.

Une officine pourra alors être réquisitionnée par un Officier de police judiciaire (OPJ) pour délivrer les médicaments nécessaires au patient pendant sa garde à vue.

Il est rappelé que le fait, sans motif légitime, de refuser ou de négliger de répondre à une réquisition émanant d’un magistrat ou d’une autorité de police judiciaire agissant dans l’exercice de ses fonctions, est passible de sanctions (R.642-1 du code pénal).

 Un refus de la pharmacie d’officine est aussi lourd de conséquence pour les services de police. Il peut conduire au transfert du gardé à vue aux urgences du CHU pour se voir délivrer le traitement après une nouvelle consultation médicale.

Modalités de délivrance :

La réglementation pharmaceutique s’applique concernant la validité de l’ordonnance et les règles de dispensation.

Modalités de facturation :

Concernant la facturation :

  1. le gardé à vue dispose d’une carte vitale et d’une carte mutuelle à jour : l’OPJ fournit l’adresse du patient au pharmacien, et une facturation classique est réalisée (tiers payant) ;
  2. le pharmacien fait l’avance des frais : en application de l’article L. 251-1 du code de l’action sociale et des familles, les frais pharmaceutiques nécessaires aux personnes placées en garde à vue peuvent être pris en charge par l’Aide médicale de l’État (AME), via la DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités) (ex-DDCS : Direction départementale de la cohésion sociale) – Décret n° 2009-1026 du 25 août 2009 (article 1).

Ces frais ne sont pas pris en charge par le Ministère de la justice ou l’ARS.

Pour se faire rembourser, le pharmacien d’officine doit prendre contact avec le service de la DDETS compétent en matière d’AME. Ce service lui communiquera la liste des pièces à fournir pour obtenir le remboursement.

Il s’agit généralement des documents suivants (à confirmer en appelant le service concerné (consultez les coordonnées ci-dessous) :

Concernant le mode de remboursement, il est commun à l’ensemble des départements : virement assuré sur deux périodes dans l’année (en mars et en octobre).

 A TELECHARGER: Procédure de demande de remboursement de médicaments suite à une réquisition judiciaire pour gardés à vue


DDETS 13

Coordonnées postales:

55 boulevard Périer 13415 Marseille cedex 20. Tél : 04 91 57 96 00

DDETS 84                        

Coordonnées postales :


Services de l’État en Vaucluse
Direction Départementale de l’Emploi, du Travail et des Solidarités
84905 AVIGNON CEDEX 9

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