Manifestations pour les retraites des libéraux du 16/09/2019.

Actuellement, le taux d’effort  moyen du pharmacien libéral tourne autour de 17% :; il est certes plus élevé pour les “petits revenus” , 25 %, mais il offre la perspective d’une retraite à 2000 € pour une carrière complète ( 35 ans) .

Le régime unique prévoit 28 %de cotisations ( taux actuel d’effort des cadres, pour une retraite escomptée de 1400 € pour 42 ans de cotisations  …., et comme il prévoit un plafond à 120 k€ ( 3  fois le plafond de la sécu ) ,  il n’y aura plus de place pour une retraite complémentaire comme vous l’avez actuellement (voir plus haut).

donc ça risque fort de couter beaucoup plus cher pour gagner beaucoup moins ;

Au passage l’Etat compte bien tenter de siphonner toutes nos réserves, pour réduire d’environ 20 milliard d’€ les cotisations qu’il verse chaque année pour la retraite des fonctionnaires, car il verse aujourd’hui des subventions d’équilibre très conséquentes pour faire “fonctionner” ses régimes spéciaux .

Les libéraux ont constitué les 2/3 des 120 milliard d’€ de réserves des caisses de retraites en France. lesquelles pensions de retraite représentent 14% du PIB soit 330 milliard d’€/an

Les libéraux versent déjà de l’argent au régime général ( la péréquation ) et surcotisent pour la partie répartition, histoire d’anticiper les vaches maigres démographiques ;  ça a commencé en 2019, on commence à toucher aux réserves accumulées depuis 20 ans. si non ne change rien, elles seront épuisées en 2037. mais attention, la retraite par répartition ne représente que la moitié de ce que reçoivent les pharmaciens allocataires ; l’autre moitié est issue de la capitalisation, façon contrat d’assurance vie en euros avec effet cliquet =revalorisation annuelle de 2% environ, ce qui n’est plus le cas des salariés, dont les pensions ont été quasi gelées depuis l’arrivée de Mr Macron.

Il y a des négociations en cours, donc l’union sacrée UNAPL CNPL et tous les syndicats affiliés attend encore un peu. mais si ça sent le roussi, ça bougera vite

et pour l’instant, ça sent plutôt le recul des échéances.

ce n’est pas parce qu’on ne fait pas beaucoup de bruit qu’il ne se passe rien

Thierry DESRUELLES

Administrateur CAVP et Administrateur du Syndicat Général des Pharmaciens des Bouches du Rhône

Prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu Entrée en vigueur du dispositif au 1er janvier 2019

Le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu des salariés entrera en vigueur le 1er janvier 2019. A cette date, les entreprises seront chargées de collecter l’impôt sur le revenu de leurs salariés en appliquant les taux communiqués par l’administration fiscale, puis de reverser le montant de cet impôt. La communication du taux d’imposition de chaque salarié par l’administration fiscale, la déclaration du montant de l’impôt ainsi que son paiement par l’entreprise s’effectueront exclusivement au moyen de la déclaration sociale nominative (DSN).

Quand le prélèvement à la source deviendra-t-il obligatoire ?

Comme indiqué par le Premier ministre le 4 septembre, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu des salariés s’appliquera obligatoirement aux revenus versés à compter du 1er janvier 2019.

Quel sera votre rôle ?

En qualité de collecteur de l’impôt sur le revenu, les pharmacies d’officine devront, chaque mois et pour chaque salarié, respecter les étapes suivantes :

  • appliquer au salaire net imposable le taux d’imposition communiqué par l’administration fiscale ;
  • retrancher le montant de l’impôt sur le revenu ainsi calculé, du salaire net à verser ;
  • déclarer le montant de l’impôt sur le revenu retenu à la source ;
  • reverser à l’administration fiscale le montant de l’impôt sur le revenu.

En pratique, qui opère le prélèvement à la source ?

La déclaration du montant de l’impôt ainsi que le reversement de l’impôt par vos soins se font exclusivement via la déclaration sociale nominative (DSN).

En pratique, c’est donc votre cabinet comptable qui réalisera ces opérations, comme c’est déjà le cas pour le paiement des cotisations sociales.

Pour les officines adhérentes au service du Titre emploi service entreprise (TESE), le prélèvement à la source s’effectuera au moyen du dispositif du TESE.

Comment connaître le taux d’imposition à appliquer ?

Le taux d’imposition applicable à chaque salarié est communiqué directement à l’employeur (ou son comptable) par l’administration fiscale via le circuit retour de la déclaration sociale nominative (DSN). L’employeur est tenu au secret professionnelconcernant le taux d’imposition de ses salariés.

En cas de réclamation ou demande de modification de son taux d’imposition, le salarié doit s’adresser à l’administration fiscale. L’employeur n’est pas compétent pour opérer des modifications du taux d’imposition sur demande du salarié.

Lorsque le salarié opte pour le taux non personnalisé (= taux neutre), l’administration fiscale ne communique aucun taux d’imposition à l’employeur. Ce dernier a alors l’obligation d’appliquer au salarié concerné le taux, défini par la loi de finances[1], qui ne tient pas compte de sa situation de famille (marié, pacsé, avec enfant…) ni des autres revenus qu’il perçoit en contrepartie de son travail. Dans une telle hypothèse, il revient ensuite au salarié, chaque mois, de régulariser lui-même sa situation auprès de l’administration fiscale pour payer son reliquat éventuel d’impôt sur le revenu ou percevoir le remboursement d’un trop-versé.

Précisons que le taux non personnalisé sera également appliqué si l’administration fiscale n’est pas en mesure de communiquer un taux à l’employeur, par exemple en cas de nouvelle embauche ou de début d’activité professionnelle d’un salarié.

Quelle sera votre responsabilité ?

De la même façon que vous êtes responsable du paiement des cotisations sociales à l’URSSAF, vous serez responsable vis-à-vis de l’administration fiscale en cas d’erreur ou d’absence de reversement de l’impôt sur le revenu de vos salariés.

Des sanctions peuvent être prises à votre encontre :

  • en cas d’erreur dans le montant de l’impôt (erreur portant sur l’assiette de l’impôt ou bien sur le taux d’imposition) : amende administrative de 5 % du montant non versé avec un minimum de 250 euros ;
  • en cas de défaut de dépôt de la DSN : amende administrative de 10 % de l’impôt non déclaré avec un minimum de 250 euros ;
  • en cas de défaut de dépôt de la DSN et de règlement de l’impôt : amende administrative de 80 % de l’impôt non payé et, en cas de condamnation pénale, amende de 9 000 euros et emprisonnement de cinq ans si le retard excède un mois

Toutefois, sur intervention de l’U2P, organisation patronale représentative dans le champ interprofessionnel, le ministre de l’Action et des Comptes publics a annoncé que pour les petites entreprises, aucune pénalité ne serait appliquée en 2019 (sauf fraude manifeste) et qu’à compter de 2020, le minimum de l’amende administrative serait réduit à 50 euros[2].

Quand et comment reverser l’impôt à l’Etat ?

Comme pour le paiement des cotisations sociales, le reversement de l’impôt sur le revenu à l’administration fiscale s’effectuera par prélèvement, au moyen de la DSN.

Préalablement, le pharmacien titulaire doit déclarer dans son espace personnel sur « impots.gouv.fr » les références du compte bancaire qui fera l’objet des prélèvements, puis adresser à son établissement bancaire un mandat SEPA autorisant l’administration fiscale à opérer ces prélèvements (pour en savoir plus, cliquez sur le lien suivant : procédure pour mandat SEPA et autorisation télé règlement).

La fréquence de reversement pourra être différente en fonction de l’effectif de l’officine :

  • le 8 du mois pour les officines de moins de 50 salariés ayant une date limite de dépôt de la DSN au 5 du mois ;
  • au plus tard le 15 du premier mois du trimestre suivant celui au cours duquel ont eu lieu les retenues, pour les entreprises de moins de 11 salariés qui ont opté pour le versement trimestriel des cotisations sociales. Cette option ne concerne que la fréquence du paiement, la déclaration des cotisations sociales et du montant de l’impôt sur le revenu retenu à la source devant être réalisées mensuellement dans tous les cas. Ces entreprises peuvent également choisir de reverser mensuellement l’impôt sur le revenu de leurs salariés.

Quelles incidences sur la présentation du bulletin de salaire ?

Le bulletin de salaire devra obligatoirement comporter les mentions suivantes :

  • l’assiette du prélèvement à la source, autrement dit le revenu net imposable ;
  • le taux d’imposition appliqué ;
  • le montant de l’impôt sur le revenu prélevé ;
  • le montant du salaire net qu’aurait perçu le salarié en l’absence de prélèvement à la source ;
  • le montant du salaire net effectivement versé au salarié, déduction faite du prélèvement à la source.

Focus sur quelques cas particuliers

  • Quel taux d’imposition utiliser pour une nouvelle embauche ?

Lors de l’arrivée d’un nouveau salarié dans les effectifs, l’employeur ne connaît pas son taux d’imposition dans la mesure où aucune donnée n’a été échangée à son sujet avec l’administration fiscale via la DSN.

L’employeur devra tout de même procéder au prélèvement à la source en utilisant le taux non personnalisé (taux neutre). Précisons qu’une fois que l’employeur aura été informé du taux personnalisé du salarié par l’administration fiscale, aucune régularisation du prélèvement à la source réalisé au moyen du taux neutre ne sera nécessaire.

A compter de décembre 2018, un service permettra aux entreprises de demander à l’administration fiscale la communication du taux d’imposition du salarié en dehors du rythme mensuel des déclarations DSN, c’est-à-dire notamment, avant le versement du premier salaire. Ce service intitulé « TOPaze » sera accessible sur Net-Entreprises.

  • En cas d’arrêt de travail d’un salarié ?

Il revient à l’organisme qui verse les revenus de remplacement au salarié de procéder au prélèvement du montant de l’impôt sur le revenu.

Ainsi, lorsque la sécurité sociale verse les indemnités journalières directement au salarié, elle reversera à l’administration fiscale le montant de l’impôt sur le revenu, directement prélevé sur les indemnités servies.

En revanche, lorsque les indemnités journalières de la sécurité sociale vous sont versées par subrogation, il vous appartient de prélever le montant de l’impôt sur le revenu et de le reverser à l’Etat. Toutefois, seules les indemnités journalières versées au cours des deux premiers mois de l’arrêt de travail sont soumises au prélèvement à la source : au-delà des deux premiers mois, les indemnités journalières de la sécurité sociale subrogées ne font plus l’objet du prélèvement à la source.

Hormis le cas où le contrat de travail est rompu, les indemnités complémentaires versées par le régime de prévoyance sont, quant à elles, toujours versées à l’employeur. C’est donc ce dernier qui doit opérer le prélèvement à la source et reverser le montant de l’impôt à l’administration fiscale.

ATTENTION : les indemnités complémentaires de prévoyance sont soumises au prélèvement à la source pendant la totalité de l’arrêt de travail, et pas seulement pendant les deux premiers mois de l’arrêt de travail.

Pour en savoir plus sur ce sujet, nous vous invitons à cliquer sur le lien suivant : PAS et IJSS subrogées.

  • Apprentis et stagiaires :

Dans le cas d’un contrat d’apprentissage ou de stage, la rémunération versée à un apprenti ou un stagiaire est exonérée d’impôt sur le revenu en deçà d’un seuil annuel correspondant au montant du SMIC annuel.

La limite d’exonération ne donne pas lieu à proratisation, ni pour les salaires versés aux apprentis, ni pour les gratifications versées aux stagiaires.

Ainsi, les sommes versées doivent donc être soumises au prélèvement à la source lorsque celles-ci sont imposables, c’est-à-dire lorsqu’elles dépassent le seuil d’exonération.

Si vous êtes en mesure de suivre le cumul des revenus versés à un individu dans le cadre du contrat d’apprentissage ou de stage, vous n’avez toutefois pas connaissance des autres revenus éventuellement versés pour la même année fiscale à votre apprenti ou stagiaire. Dès lors vous devez apprécier si votre apprenti ou votre stagiaire doit faire l’objet du prélèvement à la source au regard des seules sommes que vous lui versez, sans tenir compte des revenus que l’apprenti ou le stagiaire peut percevoir par ailleurs.

Pour en savoir plus sur ce sujet, nous vous invitons à cliquer sur le lien suivant : PAS pour apprentis et stagiaires.

  • CDD de courte durée :

Dans l’hypothèse d’un CDD de courte durée (remplacements, aides en officine…) pour lequel vous ne bénéficiez pas de l’information relative aux taux d’imposition à appliquer, l’application du taux neutre pourrait conduire, si le salarié n’a pas de revenus réguliers au cours de l’année, à un sur-prélèvement fiscal.

C’est pourquoi l’administration fiscale a prévu l’application d’un abattement pour les CDD dont la durée initiale (= hors renouvellement) n’excède pas deux mois et pour les CDD à terme imprécis dont la durée minimale n’excède pas deux mois.

Dans ces deux cas seulement, et à condition que vous n’ayez pas été informé par l’administration fiscale du taux d’imposition à appliquer, l’assiette du prélèvement à la source sera calculée sur la base du salaire net imposable diminué d’un abattement forfaitaire égal à la moitié du montant net imposable d’un SMIC mensuel[3]. Une fois l’assiette déterminée, vous calculerez le montant du prélèvement à la source en appliquant le taux neutre correspondant à cette assiette réduite. 

Précisons que cet abattement n’est jamais proratisé, y compris pour les CDD d’une durée inférieure à un mois. Il peut donc conduire à la détermination d’une assiette nulle, et donc à l’absence de prélèvement à la source.

L’application de l’abattement cesse dès lors que l’administration fiscale communique à l’employeur le taux d’imposition propre au salarié.

Pour en savoir plus sur ce sujet, nous vous invitons à cliquer sur le lien suivant : PAS et CDD moins de deux mois.

Et si j’ai d’autres questions ?

Vous trouverez, ci-joint, deux brochures éditées par le ministère de l’action et des comptes publics à destination des employeurs.

Si vous souhaitez en savoir plus, nous vous invitons à consulter les sites internet suivants :

Pour vous :

  • informations générales à destination des entreprises :

https://www.economie.gouv.fr/prelevement-a-la-source/collecteur-entreprise

  • foire aux questions à destination des entreprises :

https://www.economie.gouv.fr/prelevement-a-la-source/faq-collecteur

Pour vous et votre cabinet comptable :

  • foire aux questions sur les aspects opérationnels du prélèvement à la source (mandats SEPA pour permettre les prélèvements par l’administration fiscale, cas de salariés en CDD de courte durée, trop-versé de salaire, erreur dans la DSN…) :

Base de connaissances DSN prélèvement à la source.

[1] Les logiciels de paie comprendront l’information du barème des taux non personnalisés.

[2] Source : communiqué de presse U2P n° 18.09.26 du 21 septembre 2018.

[3] A titre indicatif : 615 euros pour 2018.

ANNEXES à télécharger en pdf:

circ_2018-64a-prelevement_source_ir_fspf

circ_2018-64b-prelevement_source_ir

circ_2018-64c-prelevement_source_ir (1)

 

Reversement du prélèvement à la source pour les TPE (- de 20 salariés)

Dès 2019, les entreprises de moins de 20 salariés pourront gratuitement passer par l’Urssaf pour la prise en charge de la déclaration et du reversement du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu de leurs salariés.

En 2019, année d’entrée en application du prélèvement à la source, le montant de l’impôt sur le revenu sera déduit chaque mois sur le bulletin de paie ou la pension de retraite. Ainsi, le paiement de l’impôt sera étalé sur douze mois et le décalage d’un an pour son paiement sera supprimé.

Pour aider les entreprises à mettre en place la réforme, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics vient d’indiquer que les TPE (Très petites entreprises), c’est-à-dire celles de moins de 20 salariés, pourront recourir au système « Titre emploi service entreprise » (Tese) qui « fonctionne déjà pour les cotisations Urssaf ».

Via la plateforme Internet letese.urssaf.fr, les TPE pourront laisser à l’Urssaf le soin de prendre également en charge « la déclaration et le reversement du prélèvement à la source, gratuitement à la place de ces entreprises, à partir de janvier », a souligné le ministre dans une interview au Courrier Picard. Environ un million d’entreprises sont concernées.

À partir des éléments reçus par l’administration fiscale, le centre Tese calculera directement le montant à prélever sur le revenu d’activité. Il communiquera ensuite au chef d’entreprise le montant du salaire net après imposition qu’il doit verser au salarié. En tant qu’employeur, il sera prélevé par l’Urssaf du montant de la retenue à la source (si le salarié est imposable) en même temps que des cotisations sociales.

Les documents administratifs (bulletins de paie, décompte de cotisations, attestations fiscales) afficheront les montants ainsi retenus.

NON AU CHOC DE COMPLEXITÉ !

Bonjour,
Le prélèvement de l’impôt sur le revenu à la source va entrer en vigueur au 1er janvier 2019. En plaçant les chefs d’entreprise dans le rôle de collecteurs d’impôts, cette mesure va complexifier votre quotidien… tout en détériorant les relations avec vos salariés.
Qui va payer pour la mise à jour des systèmes de comptabilité ? Qui va faire face aux changements de taux d’imposition ? Qui va devoir répondre aux questions des salariés sur les évolutions de leur fiche de paie ? Vous !
Cette réforme ne tient absolument pas compte de la spécificité des artisans, commerçants de proximité et professionnels libéraux qui n’ont ni DRH, ni fiscaliste, ni service juridique à leur disposition. Comment sommes-nous censés assumer cette nouvelle charge administrative ? Sans compter qu’avec l’instauration de cette réforme, c’est bien plus que de l’argent et du temps passé qui nous est demandé : c’est aussi d’endosser une responsabilité qui n’est pas la nôtre.
Face à cette menace, l’Union des Entreprises de Proximité – U2P – se mobilise pour défendre les intérêts des 2 300 000 entreprises de proximité. Nous avons obtenu la suppression des sanctions qui étaient prévues contre les employeurs qui auraient commis des erreurs dans la collecte de l’impôt. Dans le projet initial, la peine pouvait aller jusqu’à un an de prison et 15 000 euros d’amende !
Mais cela ne suffit pas.
Nous réclamons que le projet soit simplifié de manière drastique, et surtout que l’Etat prévoie des compensations financières pour les entreprises.
Pour aller plus loin, participez à la campagne de mobilisation que nous avons lancée :
« Gérer les feuilles d’impôts, c’est pas mon boulot ! ».

AIDEZ NOUS A FAIRE PRESSION SUR LE GOUVERNEMENT EN SIGNANT LA PETITION ICI

Nous sommes avant tout chefs d’entreprise. Que l’Etat nous laisse travailler ! S’il veut se décharger sur nous de la collecte de l’impôt sur le revenu, il doit nous indemniser pour le travail supplémentaire que cela va générer.
Le kit de la campagne est à disposition en libre téléchargement sur le site de l’U2P
C’est grâce à vous et à votre mobilisation sans faille que nous arriverons à faire entendre nos revendications et à préserver nos entreprises !
Amicalement,
Alain GRISET
Président de l’U2P – Union des Entreprises de Proximité
Les Pharmaciens du Sud

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