Communication importante

REJET CPAM AVEC MOTIF DEPASSEMENT PRIX

De nombreux rejets arrivent en ce moment car la CNAM n’a pas mis à jour sa base de données prix. Cela concerne TOUTES les caisses, pas que la CPAM. Pour l’instant NE RETRAITER PAS VOS FACTURES. Il faut attendre la totale mise à jour et normalement les dossiers seront réglés automatiquement courant semaine prochaine. (lire la lettre de la FSPF….)

DECLIC SUR AEROSOL

Nous avons reçu un DECLIC sur la facturation des aérosols. Attention , cela annonce des contrôles !!!!!!

Pas de facturation aérosol sans des médicaments spécifiques associés ET remboursés ET prescrits par un médecin spécialiste si nécessaire.

SMART RX

Les anciens Alliadis Periphar et autres ont eu le bonheur de passer gratuitement en SMART RX. Encore heureux que ce soit gratuit !! Quelle panique !! trop de bugs, mauvaise gestion des problèmes, ralentissement de nos informatiques, service hot line débordé et incapable de répondre.

En résumé, n’écoutez surtout pas certains petits malins qui vous laissent à penser que votre matériel informatique est vieux et qu’il faut le changer pour que le programme SMART RX puisse fonctionner. La société SMART RX doit d’abord et rapidement dépanner tous ses clients, réparer ses multiples bugs (caisse, internet ) et nous assurer un fonctionnement journalier optimal …….. plus un minimum d’excuses et d’explications . Chacun fera son bilan ensuite.

Bonne année 2018 ………… qui commence bien !!!

Valérie de Lécluse

“Visiodroits” et DLD (“demande les droits”)

L’avenant « VISIODROITS » à la convention conclue par la FSPF et SP SANTE (à laquelle adhère GMF), conclu le 10 décembre 2013, prévoit que « dès lors que le pharmacien opère dans une officine équipée du dispositif de droits en ligne (pharmacien équipé), et que le patient présente une attestation portant la mention et le renvoi spécifiques » à VISIODROITS, la garantie de paiement dite « numérique » se substitue à la garantie de paiement scripturale. 

Ainsi, dès lors qu’un pharmacien a utilisé le système d’acquisition de droits en ligne avec un des organismes complémentaires membres de Santé-Pharma pendant 1 mois, la garantie de paiement n’est plus basée sur les droits figurant sur l’attestation papier SP-Santé, mais sur les droits accessibles via VISIODROITS.

1. Déclenchement de la « DLD » (Demande Les Droits)
Pour tous les organismes adoptant Visiodroits, la requête « Demande-Les-Droits » est déclenchée par le logiciel de gestion du PS dès lors que la date de fin de la période des droits d’un adhérent est dépassée. Elle peut également être déclenchée à tout moment à la demande du PS. La lecture des droits sur le fichier des patients est réalisée avant la facturation du patient.
La requête est destinée à recevoir la nouvelle période de droits ainsi que le tableau individuel des prestations associées et un N° d’accréditation attribué par l’AMC, qui devra être reporté dans la FSE en tant que justificatif de la bonne acquisition des droits numériques.

congres 2017

RPPS: quelques rappels.

RPPS avenant 9Lors de la signature de l’avenant 9 de la convention fin décembre 2015, il a été mis en place les nouvelles modalités de calcul de la ROSP génériques que je vous conseille de lire attentivement mais aussi une rémunération de la communication du RPPS des médecins hospitaliers.

Cette rémunération est de 0.15 euros par RPPS transmis pour la tranche de 0 à 1000/an puis de 0.12 euros pour la tranche de 1001/2000 puis encore dégressif par tranche de 1000 supplémentaires jusqu’à atteindre 0.05 euros pour la tranche de prescriptions hospitalières supérieure à 4000/an.

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Certification des logiciels d’aide à la dispensation (LAD)

Gaertner 2Cher Confrère,

Au terme de quatre années de travail et de concertation avec l’ensemble des représentants de la pharmacie d’officine, la Haute Autorité de Santé (HAS) a publié le premier référentiel de certification des logiciels d’aide à la dispensation (LAD).

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Premier problème rencontré sur la base de données du CEPS*** (Comité Economique des Produits de Santé)

Les informations sur les prix et les taux de remboursement appliqués à chaque médicament sont désormais intégrées aux logiciels de gestion des officines, actualisés à partir du référentiel CEPS, unique référence. Elles s’affichent à partir du code CIP13, contenu dans le Datamatrix ou figurant en clair sur les conditionnements des médicaments.

Les logiciels de dispensation sont quotidiennement mis à jour. Cette base nationale, composée de fichiers correspondant à chaque présentation de médicament remboursable, est gérée par le CEPS. Elle est mise à la disposition des éditeurs de bases de médicaments (BDM), de logiciels de gestion des officines (LGO), du Club CIP (fichiers des industriels) et de la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS).

Un premier problème vient de survenir sur certains médicaments.

 

Voici l’explication aimablement fournie vendredi dernier par Pharmagest:

–  Vous êtes nombreux à nous contacter concernant des modifications de prix sur des produits génériques occasionnant des parts à payer pour les assurés.
Ces phénomènes déroutants s’expliquent par le fait que certains génériques ont vu leur base  de remboursement changer au 1er Octobre 2014 (Parution au Journal officiel du 29 Aout 2014 NOR : AFSS1418456S).

En fonction du délai d’écoulement prévu de 50 jours, la mise en application des nouveaux tarifs en officine est donc intervenue le 20 Novembre.

Sur certains produits nous avons constaté un  écart de deux semaines entre la date de mise à jour du prix remboursé et la date de mise à jour du prix de vente. A titre d’exemple, pour les génériques du Leeloo® 01.MG la date d’opposabilité du TFR  est fixée au 20/11 et celle du prix de vente est fixée au 04/12/2014).

En attendant que ces mises à jour de prix soient effectives, votre logiciel va logiquement vous proposer de percevoir la différence entre le prix de vente et le prix de remboursement. Vous avez toutefois la possibilité d’aligner le prix de vente sur le prix de remboursement soit à la ligne de tarification soit sur la fiche produit. Cela ne devrait pas occasionner de rejet.

Pour rappel, depuis le 1er juillet 2014 et la suppression de la vignette, votre logiciel tient compte  des données de la base CEPS (Base de donnée opposable). Cette base détient les prix et leurs dates d’application des produits réglementés.

_  Mise en garde concernant le SPASFON-LYOC

A compter du 1er octobre, le TFR du Spasfon-Lyoc (CIP 3400931863014) et de ses génériques est passé officiellement à 2,13€.
La base opposable CEPS a positionné par erreur un TFR à 1,95€.
Une rectification doit être apportée prochainement sur la base CEPS.

Sachant que le délai d’écoulement est de 50 jours, ce produit peut être vendu avec un TFR de 2,32€, correspondant au prix de vente actuel, jusqu’à la mi-novembre.

Pour ce faire, nous vous proposons de modifier le TFR de la fiche produit :

Nous remercions Pharmagest pour ces précieuses informations.
P.L

*** Le comité économique des produits de santé (CEPS), organisme interministériel placé sous l’autorité conjointe des ministres chargés de la santé, de la sécurité sociale et de l’économie, est principalement chargé par la loi de fixer les prix des médicaments et les tarifs des dispositifs médicaux à usage individuel pris en charge par l’assurance maladie obligatoire.

Suppression de la vignette pharmaceutique, des précisions importantes:

Pour les médicaments remboursables, À partir du 1er juillet 2014, lorsque nous lirons le code Datamatrix (où que nous appelerons manuellement un produit) le prix et le taux de prise en charge seront ceux de la fiche produit et non plus ceux de la vignette.

Nous devons nous équiper de lecteurs Datamatrix sur chaque poste de vente (ou les postes ou l’équipe officinale a besoin de lire ce type de code).

A noter : seul un logiciel agréé Sesam Vitale 1.40 addendum 4 et plus, permet la gestion des codes CIP13.

Aujourd’hui un certain nombre de robots / automates ne gèrent pas la lecture des codes Datamatrix. Leur mise en conformité s’avèrera rapidement nécessaire pour pouvoir gérer la suppression de la vignette.

En cas de changement de prix les pharmaciens disposeront d’un délai pendant lequel ils pourront continuer à vendre les médicaments remboursables à l’ancien prix.

 

En cas de baisse de prix :

À compter de la date d’effet J (date de changement du prix d’achat), le laboratoire devra facturer le nouveau prix au grossiste.

A J+20, le grossiste devra facturer le nouveau prix au pharmacien (ce prix n’étant pas présent dans le fichier CEPS, ce dernier est calculé par Clickadoc selon la formule de calcul fournie par le CEPS).

A J+50, tous les prix publics seront opposables (devront être modifiés) quel que soit le conditionnement et des rejets automatiques de factures non conformes seront générés.

A J+50, la création ou modification d’un TFR devra être effective quel que soit le conditionnement et des rejets automatiques de factures non conformes seront générés.

 

En cas de hausse de prix :

Le nouveau PPTTC (prix public TTC) sera applicable immédiatement (date d’opposabilité = date d’effet J+0) mais avec une publication au JO anticipé de 10 jours.

Pour l’inscription des nouveaux médicaments :

L’inscription au remboursement des nouveaux médicaments sera effective à J+4 après publication au JO (délai nécessaire pour que la mise à jour du référentiel CEPS atteigne l’ensemble des officines ; ceci n’exclut pas que les laboratoires approvisionnent les grossistes et officines en stock de médicament).

Les changements de marge et de taux :

Ils seront applicables à la date d’effet stipulée dans l’arrêté publié au JO qui les fixe.

 

Période transitoire dans la gestion des rejets AMO:  

Il est proposé qu’aucun rejet de facture ne soit effectué par les caisses durant une période d’au moins 3 mois après le 1er juillet 2014, afin que cette période soit mise à profit pour réaliser cette transition au travers de la mise en oeuvre de contrôles et des signalements préfigurant les situations de rejets ultérieurs.

Attention : à partir du 1er juillet, le prix figurant sur la vignette ne devra plus être pris en compte ; seuls les prix actualisés à partir du référentiel national CEPS devront être considérés.

 

Etiquetage:

La suppression de la vignette pose la question de l’affichage des prix en cas de libre accès aux médicaments remboursés. La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) rappelle que la vignette disparaissant, le pharmacien est obligé d’informer ses clients sur les tarifs. L’arrêté du 26 mars 2003 qui fixe les conditions d’information du consommateur sur les prix des médicaments non-remboursables dans les officines de pharmacies sera abrogé et remplacé par un arrêté, en cours de finalisation, précisant les conditions pour les médicaments remboursables.

3 suggestions concernant les supports d’informations envisagés :

ü      L’étiquetage des médicaments concernés

ü      L’accès à un catalogue sur support papier ou électronique (borne de prix)

ü      La mise à disposition d’une interface d’accès à Internet, permettant notamment l’accès au site gouvernemental d’information sur les médicaments : www.medicaments.gouv.fr

 

Plusieurs possibilités d’étiquetages sont possibles pour les pharmaciens :

 

ü      Etiquetage papier (possibilité d’éditer des étiquettes de prix)

ü      L’étiquetage électronique (les étiquettes électroniques permettant de mettre à jour automatiquement les prix)

ü      La borne de prix en libre-accès (borne qui permet de scanner un produit pour en connaitre le prix comme dans la GMS).

Les 2 premiers sont totalement irréalisables en raison du coût et du temps passé à l’étiquettage.

Une quatrième solution est envisagée par la FSPF:

Donner libre accès à la consultation “internet” du site www.medicaments.gouv.fr sur un des postes de comptoir aux personnes qui le désirent.

 

Nous avons rappelé la position de notre syndicat aux dirigeants de la FSPF:

La législation sur l’étiquetage des prix est extrêmement contraignante en pharmacie en raison des innombrables références à gérer pour un commerce de proximité.
Il serait bon de rappeler que, s’il est vrai que nous sommes un commerce, nous devons être le seul commerce qui détient des produits stockés en dehors de la préhension des clients généralement à l’intérieur de tiroirs ou d’automates.
Notre conseil d’administration du 13 comprendrait mal que nous soyons contraints à des investissements ou des heures de travail de personnel (diplômé) consacrés à l’étiquetage au dépend de notre mission de dispensation et de conseil.
Il faut refuser l’obligation de l’écran connecté dans l’espace de vente: ça devient ridicule pour des produits dont le prix est imposé et est consultable sur internet!!! 
De toute manière, le public a accès à la base de données sur internet: c’est LIBRE ET CONSULTABLE A TOUT MOMENT.
Il faut aussi tenir compte que les produits concernés ont un prix imposé pat les Pouvoirs Publics (à la différence de l’OTC ou des médicaments non soumis à remboursement) et que nos logiciels auront ce prix intégré. 
Nous espérons que notre singularité commerciale sera prise en compte par les fonctionnaires parisiens.
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NDLR: Nous remercions la société Pharmagest de nous avoir apporté des informations complémentaires.
Les Pharmaciens du Sud

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