RAPPEL: LES AIDES FINANCIÈRES (et les pénalités financières) À LA TÉLÉTRANSMISSION

Si votre officine télétransmet des feuilles de soins électroniques (FSE) en Sesam-Vitale, vous bénéficiez d’une aide financière à la télétransmission, prévue par la convention nationale des pharmaciens titulaires d’officine (JO du 25 juillet 2006) et par la convention nationale des pharmaciens mutualistes (JO du 14 août 1999). Elle est versée par l’Assurance Maladie. Le versement a lieu au mois de mars de chaque année, au titre des FSE réalisées l’année précédente.

Montant de l’aide à la télétransmission pour les pharmaciens d’officine

L’aide à la télétransmission s’élève à 0,064 € par FSE.

Taux de FSE transmises en SESAM -Vitale 0,064 € par FSE si Taux <95 % – 0,07 € par FSE si Taux >=95 % 2023 (au titre de l’année 2022)

En cas d’absence ou de non fonctionnement de la carte Vitale du patient, vous pouvez réaliser un flux Sesam-Vitale dit dégradé (facture électronique sans signature par la carte Vitale du patient).

Nous incitons nos adhérents à télécharger et à lire notre “Fiches pratiques sur la convention nationale pharmaceutique 2022 – ebook”.

RAPPEL: Produits de contraste : liste des spécialités déremboursées et demeurant remboursables au 1er avril 2024


Le déremboursement des produits de contraste en officine au 1er avril 2024 a fait l’objet de quatre arrêtés du 28 février 2024 publiés au Journal officiel du 5 mars 2024, qui fixent la liste des spécialités déremboursées.

Pour rappel, afin de permettre aux pharmaciens d’officine d’anticiper l’entrée en vigueur de cette mesure, la FSPF avait expressément demandé au ministère de la Santé de communiquer la liste définitive des produits de contraste concernés par la fin du remboursement en officine au plus tard le 15 février 2024. Ce n’est que le 5 mars 2024 que les spécialités déremboursées ont fait l’objet d’une publication au Journal officiel.

La FSPF déplore cette publication tardive, quelques semaines seulement avant la radiation des produits de contraste concernés, nouvelle illustration de la gestion hasardeuse de l’écoulement des stocks par les pouvoirs publics.

Pour vous aider dans la mise en œuvre de cette mesure, nous avons conçu :

– Un tableau regroupant les 286 produits de contraste déremboursés au 1er avril 2024.

– Un tableau regroupant les 34 produits de contraste demeurant remboursables à partir du 1er avril 2024, suivant la liste publiée par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.

Comme indiqué dans notre communication du 9 février 2024, nous vous recommandons de :

– Procéder à une mise à zéro de vos stocks de produits de contraste figurant sur la liste des produits déremboursés ;

– Limiter vos approvisionnements aux stricts besoins des patients, en passant commande des produits de contraste prescrits, au fil de l’eau, auprès de votre grossiste-répartiteur.

S’agissant de la reprise des produits déremboursés par les grossistes-répartiteurs, la FSPF se rapproche de la Chambre Syndicale de la Répartition Pharmaceutique afin qu’elle demande à ses adhérents d’accepter les retours des produits de contraste par les pharmaciens d’officine, dans la mesure où les grossistes-répartiteurs ont obtenu l’assurance d’une reprise de leurs stocks par les fabricants.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter :


– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°1) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°2) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°3) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°4) ;
– Ordre national des pharmaciens – Produits de contraste : fin du remboursement en ville le 1er avril.

Vous vous investissez dans la vaccination. Savez vous que vous avez l’obligation de traiter les déchets perforants qui en sont issus ?

ATTENTION: CONTROLES ARS POSSIBLES

La FSPF vous accompagne dans cette démarche. Dans la droite ligne des engagements pris en faveur de l’écologie par la convention nationale pharmaceutique du 9 mars 2022, la Fédération a décidé de référencer l’éco-organisme DASTRI afin d’optimiser la collecte des déchets perforants issus de l’activité de vaccination des pharmacies d’officine.

DASTRI, en quelques mots

Eco-organisme agréé par les pouvoirs publics depuis 2012, DASTRI est en charge de collecter auprès des pharmacies d’officine les déchets d’activités de soins à risques infectieux perforants des patients en auto-traitement (DASRI PAT) ainsi que des utilisateurs d’autotests de diagnostic des maladies infectieuses transmissibles.

Désormais, DASTRI vous offre la possibilité de lui confier également vos DASRI PRO perforants issus de la vaccination (seringues usagées).

La solution DASTRI en bref

Vous déposez les seringues usagées utilisées dans le cadre de votre activité de vaccination dans les boîtes jaunes fournies par DASTRI. Dans un souci de traçabilité, vous apposez sur chaque boîte la mention
« vaccins » afin de les distinguer des DASRI PAT. Toutes les boites sont stockées sans distinction dans les cartons de 50 litres dans l’attente du passage de l’opérateur de collecte.

Attention : Les flacons de vaccins vides doivent être jetés dans les cartons des MNU (Cyclamed).

Pour en savoir plus….

  • Consultez la circulaire consacrée à ce dispositif en cliquant ici.
  • Consultez l’espace dédié « pharmacie » sur le site de DASTRI ici
  • Consulter la foire aux questions sur le site de DASTRI ici.
  • Regarder le replay sur la présentation du partenariat entre DASTRI et la FSPF ici.
  • Consultez ou téléchargez les fiches pratiques spécialement élaborées pour vous  :

Fiche 1 – Comment gérer mes DASRI PRO et bénéficier du partenariat 

Fiche 2 – Quelle responsabilité pour le pharmacien ?

Comment bénéficier de la solution de collecte proposée par la FSPF en 3 étapes

  • Souscrivez à l’offre en ligne pour l’année 2023 et recevez votre reçu de paiement. DASTRI vous adressera ultérieurement votre facture acquittée.
  • Triez, stockez et remettez vos déchets lors du ramassage de l’opérateur de collecte.
  • Déclarez vos volumes en fin d’année à DASTRI et recevez votre attestation.

Pour toutes questions

1. Concernant le paiement => contactez la FSPF

2. Concernant votre facture ou le service => contactez DASTRI

Puis-je bénéficier de cette solution ?

JE SOUSCRIS

Ce dispositif est accessible à tous les pharmaciens d’officine, adhérents ou non à la FSPF. Vous pouvez y  souscrire ou faire appel à tout autre opérateur de votre choix. 

Vous souhaitez bénéficier de ce dispositif pour les DASRI issus de la vaccination que vous avez produit en 2023 ?

Une éco-participation de 60 € TTC à DASTRI vous sera demandée pour l’année civile et la FSPF vous offre les frais de gestion, pour un montant de 6 euros !

Si vous souhaitez vous engager à nouveau en 2024, vous devrez renouveler votre souscription ainsi que votre éco-participation à DASTRI en 2024.

Vous n’êtes pas encore adhérent à la FSPF et souhaitez nous rejoindre ?

Cliquez ICI

CONTRATS DE FOURNITURE D’ENERGIE : consultez la « check-list énergie » du Médiateur des entreprises

Réalisée en concertation avec les principaux fournisseurs d’énergie et les organisations interprofessionnelles représentatives, dont l’U2P, cette « check-list » à destination, notamment, des entreprises recense les bonnes pratiques en matière de contrat de fourniture d’énergie et fait le point sur les aides disponibles. Cette information est régulièrement mise à jour sur le site internet du Médiateur des entreprises.

Pour consulter la circulaire 2023-42, cliquez ICI

Cordilament,

DASRI PRO « VACCINS »

Une solution pour tous !

Dans le cadre des campagnes de vaccination antigrippale ou contre la Covid-19 et, plus récemment, à la suite de l’élargissement des missions des pharmaciens d’officine, la production de DASRI par les officines est en augmentation significative.

Or, en tant que professionnel de santé, producteur de déchets, nous sommes soumis au principe de responsabilité élargie du producteur (REP). A ce titre, nous sommes tenus d’organiser et financer la collecte et l’élimination des déchets perforants générés dans le cadre de votre activité de vaccination.

Dans le contexte de pandémie de Covid-19, le ministère de la Santé et de la Prévention s’était engagé à titre exceptionnel, à prendre en charge, pour une durée limitée, les coûts liés à la collecte et l’élimination des DASRI perforants issus des vaccinations contre la Covid-19 produits par les pharmaciens au sein de leur officine (DASRI PRO).

Cette prestation gratuite ayant pris fin le 31 août 2022 et alors que l’activité vaccinale en officine s’intensifie, l’éco-organisme DASTRI propose désormais la collecte de nos DASRI PRO, dans le cadre d’un partenariat conclu pour deux ans, avec la FSPF.

Afin de nous permettre d’être en conformité avec notre obligation de traitement des DASRI perforants, la FSPF a en effet décidé de référencer la solution proposée par l’éco-organisme DASTRI pour la gestion de nos DASRI PRO, dans l’intérêt de l’ensemble de la profession. 

Si vous souhaitez souscrire à l’offre référencée par la FSPF, connectez vous sur le site de la FSPF en cliquant sur le lien suivant et laissez vous guider : https://www.fspf.fr/dastri-une-solution-pour-tous/.

Confraternellement,

Philippe BESSET

Président

OPTI NEWS OCTOBRE 2023

En peu de temps, notre planète a changé.
La COVID a entrainé de multiples bouleversements dans les façons de vivre, de travailler, d’acheter, de communiquer, de se déplacer.
La guerre en Ukraine a entrainé des bouleversements dans nos approvisionnements en énergie, en matières 1ères et en denrées alimentaires. Elle a mis fin à l’ère de la mondialisation de l’économie, de la délocalisation des usines de production : une dynamique est enclenchée, de relocalisation et de réorganisation de l’industrie mondiale visant à restaurer les indépendances géopolitiques.
Le réchauffement climatique n’est plus une vue de l’esprit (sauf pour quelques obscurantistes négationnistes) et alimente ce grand mouvement de la Transition Energétique qui va révolutionner nos économies en profondeur, impliquant des investissements colossaux qu’il faut financer. : entre 4 000 et 6 000 milliards d’US$/an jusqu’en 2050 pour l’objectif de limiter le réchauffement à 1.5° à la fin du siècle.

Rappel : le budget des charges de l’Etat Français est de 455 milliards d’euros.
La Chine, qui a tiré la croissance économique mondiale depuis plusieurs décennies est à bout de souffle : son ralentissement affecte le reste de la planète. Ainsi, l’Allemagne est rentrée en récession (sous cet effet combiné à d’autres causes).
L’Intelligence Artificielle : nous ne sommes pas encore capables d’évaluer son impact sur la société ni les enjeux d’investissements financiers à assumer. C’est une Révolution, sans doute plus importante pour l’humanité que la Révolution industrielle.
Les dérives démographiques promettent des modifications de rapports de forces :
 L’inde a désormais dépassé la Chine et fait figure de nouvel Eldorado,

 Face au déclin démographique de l’Europe dont la population décroit, le continent africain explose : 4 Milliards d’individus en 2100 (population actuelle multipliée par trois), soit 40% de la population de la planète. Nous n’avons pas fini d’évoquer les thèmes liés aux flux d’immigrations dans notre civilisation.
Il est habituel d’opposer Religion et Science.
Certains mettront leurs espoirs en leur Dieu pour œuvrer à la solution qui permettra à l’humanité d’avancer.
D’autres feront confiance à l’intelligence humaine (naturelle et artificielle ?) et au progrès scientifique qui ont toujours permis d’atteindre cet objectif. Un changement notable et inquiétant : le pouvoir a glissé vers les mains d’ « entrepreneurs visionnaires » tels qu’Elon Musk, Marc Zuckerberg et autres des GAFAM, et les institutions politiques ne maitrisent plus vraiment le jeu.
Le télescopage de tous ces phénomènes crée évidemment de fortes turbulences dans les performances des différentes classes d’actifs et d’investissements et donc de vos placements.
Les causes et les effets rebondissent les uns sur les autres : tentons une analyse.
Les économies occidentales ont vécu les années récentes sous perfusion des facilités monétaires et des taux bas ou nuls pour soutenir l’activité.
L’envolée des taux amorcée depuis le début de l’année 2022 est sans précédent.
En effet, afin de faire face à une inflation vigoureuse et persistante, résultant en partie du conflit ukrainien, les banques centrales mondiales ont dû remonter de façon importante leurs taux directeurs au cours de ces deux dernières années. L’effet escompté s’est fait ressentir, même si le récent rebond des cours du pétrole pourrait ralentir la tendance baissière observée sur l’inflation.


Qui parle de maitrise de l’inflation parle de refroidir l’économie et de récession : c’est la peste et le choléra, difficile de choisir.
Notre planète a changé, mais nos vies pas tellement, globalement. Est-ce bien normal ?
C’est que les Etats occidentaux ont protégé et préservé leurs populations et leurs entreprises. Traduction : un endettement qui flambe et qui pèse sur nos perspectives économiques et nos capacités à investir pour relever les défis évoqués précédemment.


Des marchés inquiets…
Après l’inquiétude de mars 2022 (Ukraine) et la baisse des marchés, l’économie mondiale s’est réorganisée et les marchés ont refait une partie du terrain.
En cette rentrée 2023, tous les indicateurs de cette reprise se modèrent et nous orientent vers des révisions à la baisse de toutes les prévisions macro et micro économiques :
croissance 2023 de 1.8% aux USA, 0.9% en Europe, 5.2% en Chine ; revues à la baisse des prévisions de résultats des entreprises.
Les marchés manquent de direction, font preuve d’attentisme : ils craignent désormais plus la récession que l’inflation. La récession, globalement, c’est la baisse des marchés.

La crise de l’immobilier….
C’est déjà le cas pour l’immobilier. En France, certaines SCPI ont dû ajuster leurs valeurs liquidatives et une SCI a pris des mesures pour préserver sa liquidité en programmant des arbitrages de défaisance générateurs de moins-values.
Vous êtes, pour la plupart, positionnés sur ces actifs pour leur caractère distributif : ils vous procurent des compléments de revenus réguliers ; nous ne voyons pas d’inquiétude à ce sujet : les revenus devraient même augmenter du fait de l’inflation qui se répercute sur les indices de révision des loyers.
Envisagé sur l’horizon qui convient à ces supports (8/10 ans), le sous-jacent immobilier, cyclique par nature, devrait faire preuve de résilience, comme cela a toujours été le cas dans l’histoire.
Les marchés financiers…
Vos allocations d’assurance-vie contiennent des Fonds qui ont pour certains, un compartiment « Actions » qui pourrait se montrer volatile. Selon l’agence MORNINGSTAR, l’inversement de la courbe des taux a souvent été précurseur de périodes de récession.
Historiquement, les récessions se produisent environ une fois tous les cinq à dix ans.
Du point de vue des classes d’actifs, les actions sont généralement l’un des pires endroits où se trouver en période de récession. A contrario, les obligations ont été le meilleur endroit où se trouver lors de la plupart des récessions précédentes, en raison d’un risque plus faible.
Certains univers d’investissements devraient mieux se comporter : géographiquement, les Etats Unis, les émergents (Brésil, Inde) ; sectoriellement : la technologie, la santé, les biens
de consommation de base, les bancaires, la transition énergétique.
Neutre sur l’Europe, prudent sur la Chine à court terme.
Dans ce contexte, deux stratégies envisageables :

  1. Positionner sa réflexion sur le long terme, continuer de faire le dos rond, anticiper une récession de faible ampleur, et maintenir ses positions : toute l’histoire donne du sens à cette posture,
  2. Arbitrer certains Fonds pour se repositionner sur des actifs pouvant évoluer
    positivement dans cet environnement.
    A chacun sa vérité, non par facilité de discours, mais parce que le choix de chacun dépend de ses objectifs, de son horizon d’investissement et de raisonnement, de la nécessité de liquidité qu’il fixe (certains investissements visent une performance sur une durée de détention donnée, sont liquides à tout moment, mais la performance sera dégradée si la liquidité est exercée avant l’échéance).
    Des pistes de solutions… : 3 exemples.
    D’un avis assez général (raison de se méfier ?), arbitrer vers des fonds obligataires datés de faible duration (2026 à 2029), doit permettre :
     De bénéficier de la hausse des taux, de la stabilité des taux avant une baisse progressive anticipée à partir de 2025,

 D’avoir une bonne visibilité : on connait les taux des obligations à ces échéances en fonction de la notation des émetteurs,
 De voir positivement la baisse des taux qui donnera de la valeur aux obligations souscrites porteuses des taux actuels (appréciable si besoin de sortir avant l’échéance),
 D’être sécurisé si les taux se maintiennent : le capital + coupons sont versés à l’échéance,
 De mutualiser le risque de défaut par la diversification du Fonds qui va comporter plusieurs dizaines de lignes d’émetteurs.
Exemple d’un fonds daté échéance 2026 qui dispose d’un rendement embarqué (taux moyen pondéré des obligations en portefeuille) de 6.2%/an pour un indicateur de risque 3/7.
Autre exemple d’un fonds daté 2028 qui dispose d’un rendement embarqué de 6.8%/an pour le même indicateur de risque 3/7.
A l’échéance du fonds, le capital est reversé ainsi que les coupons capitalisés.
Les PRODUITS STRUCTURES peuvent également se révéler intéressants.
Ces solutions complexes s’articulent autour de différents scenarios relatifs à la performance d’un sous-jacent : action, obligation, indice, taux….
Les rendements pour l’investisseur sont fonction de ceux des sous-jacents.
Le principe est d’accepter un plafonnement de ses gains en contrepartie d’une garantie totale ou partielle du capital, et d’une protection totale ou partielle des coupons.
Ces produits peuvent être rappelés automatiquement (« Auto-call » par rapport à un niveau d’indice à dates de constatation prévues) ou sur décision de l’émetteur, avant leur échéance, couramment de 10 ans. Dans la pratique, la plupart des fonds sont remboursés entre 3 et 5 ans., mais, c’est un inconvénient, on ne le sait pas à l’avance.
Pour beaucoup, cela n’est pas gênant, qui réinvestissent sur un autre produit structuré au remboursement du premier.
Les niveaux de protection (en général de 40 à 100%) déterminent l’indice de risque de 1 à 7.
Il existe actuellement des offres en « capital garanti », risque 1/7.
La classe d’actif du PRIVATE EQUITY connait un fort engouement car s’agissant d’investir pour le financement du développement d’entreprises non cotées, elle bénéficie d’une décorrélation de l’évolution des marchés financiers. Même en période de récession, certains secteurs peuvent connaitre une forte croissance.
C’est le cas de tout ce qui est lié à la transition énergétique : énergies renouvelables, électrification (versus énergies fossiles), reconfiguration et revitalisation de l’immobilier obsolète.

L’offre est très variée, avec des risques allant de 4 (Fonds réalisant des opérations de marchands de biens ou de promotion immobilière) à 7 (Fonds investissant au capital de start-up).
Le propre du PRIVATE EQUITY et l’absence de liquidité jusqu’à l’échéance prévue du Fonds. Si une liquidité est organisée (sortie avant l’échéance), des pénalités de sortie sont appliquées, réduisant la performance.


Je suis à votre écoute et me tiens à votre disposition pour analyser votre situation particulière avec vous.

Philippe RICHARD
Gérant

Conseil en Investissement Financier (C.I.F) : adhérent ANACOFI/CIF N°E003913.
Courtier d’Assurance : Immatriculation ORIAS : 14004732 ; www.orias.fr.
Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement (IOBSP).
Agent Immobilier : carte n° CPI 1310 2018 000 025 047
(sans détention de fonds), délivrée le 7/01/2021 par CCI du Gard.
30 avenue Pierre Mendes France 30490 MONTFRIN
SARL au capital de 7500 euros RCS : 502 509 110 // 2022B02567
N° TVA intracommunautaire : FR9650250911000032
Site : www.optipatrimoine.net TEL : 06 10 91 58 27

Fini de rédiger par Philippe RICHARD, le 2/10/2023.

Les Pharmaciens du Sud

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