Prado, le service de retour à domicile

QU’EST-CE QUE PRADO ?

Ce service a été initié pour anticiper les besoins du patient liés à son retour à domicile après l’hospitalisation et fluidifier le parcours hôpital-ville.

Les principaux enjeux de Prado, qui s’inscrivent dans les objectifs fixés par la stratégie nationale de santé, sont :

  • de préserver la qualité de vie et l’autonomie des patients ;
  • d’accompagner la diminution des durées de séjour à l’hôpital ;
  • de renforcer la qualité de la prise en charge en ville autour du médecin traitant ;
  • d’améliorer l’efficience du recours à l’hospitalisation en réservant les structures les plus lourdes aux patients qui en ont le plus besoin.

COMMENT SE DÉROULE LE SERVICE ?

Un conseiller de l’Assurance Maladie va à la rencontre du patient, déclaré éligible à Prado par l’équipe médicale hospitalière, pour lui présenter Prado et recueillir son adhésion à ce service avant sa sortie.

Le conseiller de l’Assurance Maladie prend contact avec le pharmacien d’officine, le médecin généraliste/traitant et les autres professionnels de santé (en fonction des besoins identifiés par l’équipe médicale hospitalière : médecin spécialiste d’organe, infirmier, masseur-kinésithérapeute, orthophoniste,…) pour assurer le suivi du patient après son retour à domicile.

Une aide-ménagère et/ou un portage de repas peuvent également être organisés en lien avec le service social de l’établissement.

Chaque Prado s’appuie sur :

  • un benchmark des dispositifs similaires à l’étranger et des expérimentations françaises quand elles existent,
  • un état des lieux de la pratique habituelle,
  • la réalisation, avec l’appui de sociétés savantes et de professionnels de santé, de supports de bonnes pratiques validés par la Haute Autorité de santé (HAS).

Pour chaque catégorie de patients, après une phase d’expérimentation sur quelques territoires, le service Prado est évalué avant d’envisager sa généralisation pour la France entière.

LE RÔLE DU PHARMACIEN D’OFFICINE DANS PRADO

Le pharmacien d’officine qui prend part à l’accompagnement Prado est celui désigné par le patient bénéficiant de ce service.

  • Le pharmacien est informé de la sortie du patient par un conseiller de l’Assurance Maladie par téléphone :
    • systématiquement pour les volets Prado personnes âgées, insuffisance cardiaque, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), accident ischémique transitoire (AIT), accident vasculaire cérébral (AVC), Covid-19 et soins médicaux et de réadaptation (SMR, ex SSR) ;
    • à la demande de l’équipe médicale hospitalière pour le volet Prado chirurgie.

Le pharmacien pourra ainsi prêter une attention particulière aux traitements du patient, notamment pour limiter les risques de iatrogénie.

  • Le pharmacien peut être sollicité pour une dispensation des médicaments à domicile en cas de préconisation par l’équipe médicale hospitalière pour les patients isolés, sans aidant et dans l’incapacité de se déplacer.

Après accord du pharmacien, le conseiller de l’Assurance Maladie fixe avec lui une plage horaire pour la dispensation à domicile. Il s’agit d’un nouvel acte rémunéré exclusivement dans le cadre de Prado et introduit par la convention nationale des pharmaciens titulaires d’officine.

  • Un accompagnement pharmaceutique peut également être préconisé par l’équipe médicale hospitalière. Dans ce cas, le conseiller de l’Assurance Maladie en informe le pharmacien.  Si le pharmacien propose ce service à ses patients, il vérifie les critères d’éligibilité du patient et planifie avec lui cet accompagnement conformément aux conditions prévues par la convention pharmaceutique. Cet accompagnement doit être facturé selon les modalités de droit commun définies dans la convention nationale.

Pour en savoir plus sur le rôle du pharmacien dans Prado et la dispensation des médicaments à domicile, consulter le mémo Prado, le rôle du pharmacien dans Prado (PDF).

LA RÉMUNÉRATION DE LA DISPENSATION À DOMICILE DANS PRADO

Modalités de rémunération

La rémunération pour la dispensation à domicile réalisée dans la cadre d’un patient Prado est de 2,50 € TTC par patient dans la limite de 5 dispensations à domicile par jour et par officine (tous patients confondus). Ce tarif est majoré d’un coefficient de 1,05 dans les départements et régions d’outre-mer (Drom).

La période sur laquelle la dispensation à domicile peut donner lieu à rémunération est limitée à la durée de l’accompagnement avec Prado après la sortie d’hospitalisation :

  • 15 jours après un séjour en chirurgie,
  • 1 mois pour les personnes âgées de 75 ans et plus,
  • 3 mois en cas d’AVC ou de Covid-19,
  • 6 mois en cas d’insuffisance cardiaque, de BPCO ou après un séjour en SMR.

Cette rémunération prend la forme d’un paiement ponctuel annuel basé sur les codes traceurs facturés durant l’année. Elle s’ajoute aux honoraires de dispensation applicables selon les mêmes règles que pour la délivrance en officine.

Modalités de facturation

Lorsque le pharmacien réalise une dispensation à domicile pour un patient en sortie d’hospitalisation, il facture le code traceur « DDO » d’un montant de 0,01 € TTC.

Le pharmacien doit renseigner dans la facture :

  • l’identification du patient (NIR) ;
  • l’identifiant du médecin prescripteur ;
  • son numéro d’identification dans la zone exécutant ;
  • la date de la prescription ;
  • la date de la dispensation à domicile (date à laquelle le pharmacien délivre les médicaments au domicile du patient).

18 établissements MCO conventionnés dans le 13:

 AP-HM La Timone
 AP-HM Nord
 AP-HM La Conception
 AP-HM Sainte Marguerite

 CH Edmond Garcin (Aubagne)
 CH Joseph Imbert (Arles)
 CH de Salon de Provence
 CH les Rayettes (Martigues)
 CHI d’Aix-en-Provence
 Hôpital Saint Joseph
 Hôpital Européen
 HIA Laveran

 Hôpital privé Clairval
 Hôpital privé Beauregard
 Hôpital privé La Casamance
 Hôpital privé de Provence
 Clinique Jeanne d’Arc (Arles)
 Centre Cardio-Vasculaire de Valmante


Documents utiles

Une équipe officinale de pointe

L’exercice officinal est devenu extrêmement complexe à la fois sur le plan scientifique, législatif et économique.

Etre pharmacien sans se documenter est devenu irréaliste et dangereux.

Nemo jus ignorare censetur ou Ignorantia juris non excusat

C’est un principe juridique qui empêche une personne de se défendre d’avoir commis une faute civile ou une infraction pénale en disant qu’elle ne connaissait pas la loi. Il n’est donc pas une excuse de plaider l’ignorance des lois, sauf dans quelques rares exceptions.

Mais s’il est obligatoire de savoir, c’est aussi pour donner de la valeur à son travail et permettre à l’entreprise dans laquelle nous travaillons de subsister sans trop de problèmes.

Pour les adhérents à nos syndicats départementaux FSPF, nous mettons à disposition une panoplie de documents utiles (certains seront remis à jour cette année).

N’hésitez pas à les consulter fréquemment car presque toutes les réponses à vos questions y figurent.

P.L



Produits de contraste : une transition dans la pagaille

Les pharmaciens sont à la peine pour délivrer les produits de contraste en raison de la fin des stocks des grossistes. Pour autant, les radiologues n’assurent pas la relève.

La saga autour des produits de contraste se poursuit. Le mois de mars avait été présenté comme un mois de transition : d’un côté, les officinaux et les grossistes-répartiteurs avaient la possibilité d’écouler leurs stocks de ces produits avant leur déremboursement à partir du 1er avril ; de l’autre, les radiologues devaient progressivement mettre en place leur distribution. Mais alors que les pharmaciens ne peuvent quasiment plus s’en procurer depuis le milieu du mois, faute de stocks chez les grossistes, les radiologues ne semblent pas plus en mesure de les fournir. Certains ajouteraient même la mention « obligation pour les pharmaciens de fournir le produit jusqu’au 31 mars » sur les ordonnances des patients et menaceraient d’annuler l’examen d’imagerie si le produit n’est pas délivré par l’officine.

Assumer ses choix

Si c’est évidemment le rôle du pharmacien de se procurer les médicaments et les produits de santé prescrits, « à l’impossible nul n’est tenu », a réagi Philippe Besset le 18 mars au micro de Pharmaradio, en phase sur ce point avec son homologue de l’Uspo. Le président de la FSPF s’est élevé contre le « comportement totalement déplacé » des radiologues et a jugé « malvenues de telles mentions, de nature à créer des troubles entre patients et pharmaciens. Dans de nombreux cas, il est impossible de se procurer ces produits de contraste et les radiologues le savent bien puisqu’ils sont à l’origine de cette mesure », a-t-il rappelé. Le double circuit de distribution mis en place pour le mois de mars ne « dégage pas les radiologues de leur responsabilité d’avoir eux-mêmes les produits. Ils ont eu un an pour s’y préparer. Il faut qu’ils se mettent en ordre de marche pour assumer ce qu’ils ont eux-mêmes demandé ».

Par Claire Frangi

22 Mars 2024

source Le Pharmacien de France

La CPAM communique

INFORMATION

Circulation nationale de fausses ordonnances

Bonjour,

Nous vous relayons une information de la CPAM de Seine-Saint-Denis qui souhaite attirer votre attention sur l’utilisation frauduleuse d’ordonnances, établies pour une assurée et son ayant droit, qui circulent pour l’obtention de médicaments.

Circulation nationale de fausses ordonnances établies au nom de Madame SEMMACHE épouse ALI NAJAT née le 09/11/1978.

NIR : 2 78 11 99 352 321 / 63

Les différentes personnes présentent l’attestation de droits suivante :

Cette attestation a été éditée le 05/06/2023 et est valable du 05/06/203 au 04/06/2024.

Si quelqu’un présente cette attestation de droits dans votre officine ou vient sans justificatif d’affiliation, merci de rien délivrer. Toutes les ordonnances présentées avec cette attestation sont fausses, quel que soit le prescripteur.

Nous vous recommandons :

  • de demander les coordonnées de la personne qui se présente (adresse et numéro de téléphone),
  • de refuser de délivrer les médicaments, en apposant “ND” sur l’ordonnance (pour “non délivré”),
  • de conserver une copie de l’ordonnance,
  • de conserver une copie de l’attestation de droits,
  • de communiquer ces éléments à la CPAM de Seine-Saint-Denis via l’adresse email suivante : luttecontrelafraude.cpam-bobigny@assurance-maladie.fr. Vous pouvez également contacter le service de Lutte contre la Fraude de cette CPAM au 01.48.96.37.17,
  • de conserver les éléments de preuves par vidéosurveillance.

Avec toute notre attention,

Votre correspondant Assurance Maladie

RAPPEL: Produits de contraste : liste des spécialités déremboursées et demeurant remboursables au 1er avril 2024


Le déremboursement des produits de contraste en officine au 1er avril 2024 a fait l’objet de quatre arrêtés du 28 février 2024 publiés au Journal officiel du 5 mars 2024, qui fixent la liste des spécialités déremboursées.

Pour rappel, afin de permettre aux pharmaciens d’officine d’anticiper l’entrée en vigueur de cette mesure, la FSPF avait expressément demandé au ministère de la Santé de communiquer la liste définitive des produits de contraste concernés par la fin du remboursement en officine au plus tard le 15 février 2024. Ce n’est que le 5 mars 2024 que les spécialités déremboursées ont fait l’objet d’une publication au Journal officiel.

La FSPF déplore cette publication tardive, quelques semaines seulement avant la radiation des produits de contraste concernés, nouvelle illustration de la gestion hasardeuse de l’écoulement des stocks par les pouvoirs publics.

Pour vous aider dans la mise en œuvre de cette mesure, nous avons conçu :

– Un tableau regroupant les 286 produits de contraste déremboursés au 1er avril 2024.

– Un tableau regroupant les 34 produits de contraste demeurant remboursables à partir du 1er avril 2024, suivant la liste publiée par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.

Comme indiqué dans notre communication du 9 février 2024, nous vous recommandons de :

– Procéder à une mise à zéro de vos stocks de produits de contraste figurant sur la liste des produits déremboursés ;

– Limiter vos approvisionnements aux stricts besoins des patients, en passant commande des produits de contraste prescrits, au fil de l’eau, auprès de votre grossiste-répartiteur.

S’agissant de la reprise des produits déremboursés par les grossistes-répartiteurs, la FSPF se rapproche de la Chambre Syndicale de la Répartition Pharmaceutique afin qu’elle demande à ses adhérents d’accepter les retours des produits de contraste par les pharmaciens d’officine, dans la mesure où les grossistes-répartiteurs ont obtenu l’assurance d’une reprise de leurs stocks par les fabricants.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter :


– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°1) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°2) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°3) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°4) ;
– Ordre national des pharmaciens – Produits de contraste : fin du remboursement en ville le 1er avril.

Mon Bilan Prévention (30 euros)

Mon bilan prévention est un rendez-vous permettant aux patients et aux professionnels de santé d’aborder les habitudes de vie, d’identifier des facteurs de risque de maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires…), réaliser des dépistages (cancers, IST…) et des rappels de vaccination.

“Mon bilan prévention” est ouvert aux assurés sociaux à quatre tranches d’âge clés de la vie :

  • 18 à 25 ans ;
  • 45 à 50 ans ;
  • 60 à 65 ans ;
  • 70 à 75 ans.

Déroulé du bilan (30 à 45 minutes)

1 : Repérage des risques individuels et décision partagée des priorités à traiter

Il s’agit d’un échange sur certaines thématiques de prévention prioritaires telles que la vaccination, l’activité physique, la sédentarité, les habitudes alimentaires et les addictions (tabac, alcool…). Cette séquence permet l’identification de facteurs de risque du patient. Il est également possible d’aborder les questions de santé mentale, sexuelle ou environnementale (domicile, lieu de travail…) du patient.

Cette première partie peut être très rapide, notamment grâce à l’aide de la restitution de l’auto-questionnaire (renseigné en ligne par le patient en amont du bilan ou sur papier). Suivant l’âge, le genre, les conditions de vie et de travail de la personne, les questions varient pour comprendre au mieux ses habitudes de vie.

La priorisation des thématiques doit être faite au cas par cas en fonction des facteurs de risques identifiés et des choix et envies de la personne. En pratique, il s’agit d’une décision partagée qui aboutit à la priorisation d’un ou deux sujets à aborder.

2 : Traitement du ou des deux sujets priorisés

A cet effet, il est possible de s’appuyer sur des outils et méthodes qui suscitent et renforcent la motivation au changement d’habitudes. Le livret d’accompagnement pour les professionnels propose un développement sur les techniques de l’entretien motivationnel et les interventions brèves.

L’objectif est d’adopter une posture bienveillante et partenariale, favorisant la confiance et les échanges pour susciter les modifications de comportements.

Si la vaccination est un sujet identifié comme prioritaire, il est possible de proposer au patient la réalisation d’une vaccination recommandée.

3 : Rédaction partagée du Plan personnalisé de prévention (PPP)

A l’issue du bilan, le professionnel rédige avec le patient son PPP, en y indiquant ses objectifs prioritaires en santé et les actions concrètes pour mettre en place un changement de comportement et d’habitudes de vie. Ce PPP permet d’orienter le patient vers un parcours adapté (orientation vers d’autres professionnels de santé, ressources en ligne, associations…). Le document est ensuite intégré sur le dossier médical partagé (DMP) pour être transmis au médecin traitant.

En cas de suspicion de pathologie non suivie ou non connue, le bilan doit être suivi d’une orientation vers une consultation médicale afin de permettre l’établissement d’un diagnostic.

Modalités de facturation

Le bilan de prévention est rémunéré à hauteur de 30 euros. Aucun acte ne pourra être facturé par le pharmacien en sus du bilan prévention, sauf dans les situations suivantes :

  • un acte de vaccination (code acte RVA) ;
  • la remise du kit DOCCR (test de dépistage du cancer colorectal).

Ces actes seront pris en charge à 100 % sans avance par l’assurance maladie, dans les conditions de droit commun (un seul acte ou consultation parmi ceux listés peut être facturé en sus, par bilan de prévention).

A noter : aucune formation complémentaire n’est obligatoire pour réaliser ces bilans de prévention, les professionnels concernés (médecins, infirmiers, pharmaciens et sages-femmes) étant déjà formés à la prévention. Pour les aider à conduire ces bilans, différents outils d’accompagnement seront mis à leur disposition.

En savoir plus :

Télécharger les outils Mon Bilan Prévention :

    source Ordre National des Pharmaciens

    CIRCULATION NATIONALE DE FAUSSES ORDONNANCES ETABLIES AU NOM DE Madame STOICA Eléna Née le 22/04/1993NIR : 8141100011423 83

    A la demande de la CPAM du Loir et Cher, les CPAM régionales ont fait passer ce message par email:

    Utilisation frauduleuse de fausses ordonnances
    La CPAM de Loir-et-Cher attire votre attention sur l’utilisation frauduleuse d’ordonnances établies par des individus qui circulent pour l’obtention de dispositifs médicaux (capteurs de glycémie) et de médicaments : 

    CIRCULATION NATIONALE DE FAUSSES ORDONNANCES ETABLIES AU NOM DE Madame STOICA Eléna Née le 22/04/1993NIR : 8141100011423 83 Les différentes personnes présentent l’attestation vitale suivante :  
     Cette fausse attestation présente plusieurs anomalies flagrantes (voir les parties entourées). Si quelqu’un présente cette attestation vitale dans votre officine ou vient sans justificatif d’affiliation, merci de ne rien délivrer. Toutes les ordonnances présentées avec cette attestation sont fausses, quel que soit le prescripteur. 
    Nous vous recommandons :
    • De demander les coordonnées de la personne qui se présente (adresse et téléphone)
    • De refuser de délivrer les médicaments, en apposant « ND » sur l’ordonnance (pour« non délivré »),
    • De conserver une copie de l’ordonnance,
    • De conserver une copie de l’attestation de droit,
    • De communiquer ces éléments à la CPAM de Loir-et-Cher via l’adresse mail suivante :fraudes.cpam-blois@assurance-maladie.fr
    • De conserver les éléments de preuves par vidéosurveillance si vous en disposez

    N.B: Pour visualiser la totalité de la prescription si vous ne la voyez pas sur l’email de la CPAM, vous pouvez cliquez en haut du message que vous avez reçu sur le ICI de la phrase “Cliquez ici pour visualiser en ligne”.

    Les Pharmaciens du Sud

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