RAPPEL: Produits de contraste : liste des spécialités déremboursées et demeurant remboursables au 1er avril 2024


Le déremboursement des produits de contraste en officine au 1er avril 2024 a fait l’objet de quatre arrêtés du 28 février 2024 publiés au Journal officiel du 5 mars 2024, qui fixent la liste des spécialités déremboursées.

Pour rappel, afin de permettre aux pharmaciens d’officine d’anticiper l’entrée en vigueur de cette mesure, la FSPF avait expressément demandé au ministère de la Santé de communiquer la liste définitive des produits de contraste concernés par la fin du remboursement en officine au plus tard le 15 février 2024. Ce n’est que le 5 mars 2024 que les spécialités déremboursées ont fait l’objet d’une publication au Journal officiel.

La FSPF déplore cette publication tardive, quelques semaines seulement avant la radiation des produits de contraste concernés, nouvelle illustration de la gestion hasardeuse de l’écoulement des stocks par les pouvoirs publics.

Pour vous aider dans la mise en œuvre de cette mesure, nous avons conçu :

– Un tableau regroupant les 286 produits de contraste déremboursés au 1er avril 2024.

– Un tableau regroupant les 34 produits de contraste demeurant remboursables à partir du 1er avril 2024, suivant la liste publiée par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.

Comme indiqué dans notre communication du 9 février 2024, nous vous recommandons de :

– Procéder à une mise à zéro de vos stocks de produits de contraste figurant sur la liste des produits déremboursés ;

– Limiter vos approvisionnements aux stricts besoins des patients, en passant commande des produits de contraste prescrits, au fil de l’eau, auprès de votre grossiste-répartiteur.

S’agissant de la reprise des produits déremboursés par les grossistes-répartiteurs, la FSPF se rapproche de la Chambre Syndicale de la Répartition Pharmaceutique afin qu’elle demande à ses adhérents d’accepter les retours des produits de contraste par les pharmaciens d’officine, dans la mesure où les grossistes-répartiteurs ont obtenu l’assurance d’une reprise de leurs stocks par les fabricants.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter :


– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°1) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°2) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°3) ;
– Arrêté du 28 février portant radiation de certains médicaments, nécessaires à la réalisation d’examens d’imagerie médicale, de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux (Arrêté n°4) ;
– Ordre national des pharmaciens – Produits de contraste : fin du remboursement en ville le 1er avril.

Mon Bilan Prévention (30 euros)

Mon bilan prévention est un rendez-vous permettant aux patients et aux professionnels de santé d’aborder les habitudes de vie, d’identifier des facteurs de risque de maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires…), réaliser des dépistages (cancers, IST…) et des rappels de vaccination.

“Mon bilan prévention” est ouvert aux assurés sociaux à quatre tranches d’âge clés de la vie :

  • 18 à 25 ans ;
  • 45 à 50 ans ;
  • 60 à 65 ans ;
  • 70 à 75 ans.

Déroulé du bilan (30 à 45 minutes)

1 : Repérage des risques individuels et décision partagée des priorités à traiter

Il s’agit d’un échange sur certaines thématiques de prévention prioritaires telles que la vaccination, l’activité physique, la sédentarité, les habitudes alimentaires et les addictions (tabac, alcool…). Cette séquence permet l’identification de facteurs de risque du patient. Il est également possible d’aborder les questions de santé mentale, sexuelle ou environnementale (domicile, lieu de travail…) du patient.

Cette première partie peut être très rapide, notamment grâce à l’aide de la restitution de l’auto-questionnaire (renseigné en ligne par le patient en amont du bilan ou sur papier). Suivant l’âge, le genre, les conditions de vie et de travail de la personne, les questions varient pour comprendre au mieux ses habitudes de vie.

La priorisation des thématiques doit être faite au cas par cas en fonction des facteurs de risques identifiés et des choix et envies de la personne. En pratique, il s’agit d’une décision partagée qui aboutit à la priorisation d’un ou deux sujets à aborder.

2 : Traitement du ou des deux sujets priorisés

A cet effet, il est possible de s’appuyer sur des outils et méthodes qui suscitent et renforcent la motivation au changement d’habitudes. Le livret d’accompagnement pour les professionnels propose un développement sur les techniques de l’entretien motivationnel et les interventions brèves.

L’objectif est d’adopter une posture bienveillante et partenariale, favorisant la confiance et les échanges pour susciter les modifications de comportements.

Si la vaccination est un sujet identifié comme prioritaire, il est possible de proposer au patient la réalisation d’une vaccination recommandée.

3 : Rédaction partagée du Plan personnalisé de prévention (PPP)

A l’issue du bilan, le professionnel rédige avec le patient son PPP, en y indiquant ses objectifs prioritaires en santé et les actions concrètes pour mettre en place un changement de comportement et d’habitudes de vie. Ce PPP permet d’orienter le patient vers un parcours adapté (orientation vers d’autres professionnels de santé, ressources en ligne, associations…). Le document est ensuite intégré sur le dossier médical partagé (DMP) pour être transmis au médecin traitant.

En cas de suspicion de pathologie non suivie ou non connue, le bilan doit être suivi d’une orientation vers une consultation médicale afin de permettre l’établissement d’un diagnostic.

Modalités de facturation

Le bilan de prévention est rémunéré à hauteur de 30 euros. Aucun acte ne pourra être facturé par le pharmacien en sus du bilan prévention, sauf dans les situations suivantes :

  • un acte de vaccination (code acte RVA) ;
  • la remise du kit DOCCR (test de dépistage du cancer colorectal).

Ces actes seront pris en charge à 100 % sans avance par l’assurance maladie, dans les conditions de droit commun (un seul acte ou consultation parmi ceux listés peut être facturé en sus, par bilan de prévention).

A noter : aucune formation complémentaire n’est obligatoire pour réaliser ces bilans de prévention, les professionnels concernés (médecins, infirmiers, pharmaciens et sages-femmes) étant déjà formés à la prévention. Pour les aider à conduire ces bilans, différents outils d’accompagnement seront mis à leur disposition.

En savoir plus :

Télécharger les outils Mon Bilan Prévention :

    source Ordre National des Pharmaciens

    CIRCULATION NATIONALE DE FAUSSES ORDONNANCES ETABLIES AU NOM DE Madame STOICA Eléna Née le 22/04/1993NIR : 8141100011423 83

    A la demande de la CPAM du Loir et Cher, les CPAM régionales ont fait passer ce message par email:

    Utilisation frauduleuse de fausses ordonnances
    La CPAM de Loir-et-Cher attire votre attention sur l’utilisation frauduleuse d’ordonnances établies par des individus qui circulent pour l’obtention de dispositifs médicaux (capteurs de glycémie) et de médicaments : 

    CIRCULATION NATIONALE DE FAUSSES ORDONNANCES ETABLIES AU NOM DE Madame STOICA Eléna Née le 22/04/1993NIR : 8141100011423 83 Les différentes personnes présentent l’attestation vitale suivante :  
     Cette fausse attestation présente plusieurs anomalies flagrantes (voir les parties entourées). Si quelqu’un présente cette attestation vitale dans votre officine ou vient sans justificatif d’affiliation, merci de ne rien délivrer. Toutes les ordonnances présentées avec cette attestation sont fausses, quel que soit le prescripteur. 
    Nous vous recommandons :
    • De demander les coordonnées de la personne qui se présente (adresse et téléphone)
    • De refuser de délivrer les médicaments, en apposant « ND » sur l’ordonnance (pour« non délivré »),
    • De conserver une copie de l’ordonnance,
    • De conserver une copie de l’attestation de droit,
    • De communiquer ces éléments à la CPAM de Loir-et-Cher via l’adresse mail suivante :fraudes.cpam-blois@assurance-maladie.fr
    • De conserver les éléments de preuves par vidéosurveillance si vous en disposez

    N.B: Pour visualiser la totalité de la prescription si vous ne la voyez pas sur l’email de la CPAM, vous pouvez cliquez en haut du message que vous avez reçu sur le ICI de la phrase “Cliquez ici pour visualiser en ligne”.

    Informations pour tous:

    PRODUITS DE CONTRASTE : ne plus faire de stock !!

    L’Etat a décidé de nous retirer la vente des produits de contraste au 1er mars 2024 puis, face à la panique et l’impréparation, nous demande de continuer jusqu’au 1er avril 2024. Les hôpitaux ont commencé à s’approvisionner en direct.  

    PAXLOVID: 

    On rédige un certificat de destruction (un modèle sera proposé à nos adhérents dans les jours à venir) et on jette dans Cyclamed

     INDUS sur produits chers:

    Attention entre les fausses ordos et les vraies ordos de médecins généralistes non habilités à prescrire !!  Ca suffit !! La caisse doit contrôler tout le monde !!

    ATTAQUE DU MONOPOLE:

    Vente de médicaments hors circuit et ouverture du capital, c’est NON pour les pharmaciens !!! Les français sont attachés à leur pharmacie de proximité, à l’indépendance de leur pharmacien et au conseil 24/24 et 7jours sur 7. Nous sommes prêts à nous mobiliser (encore) pour nous faire entendre et on aura besoin de vous tous.


    Valérie OLLIER

    Présidente  FEDMED

    Le 13h45 replay du 1er mars 2024


    Au programme :

    00:00:00 – Introduction

    00:00:38 – Le casse-tête de la dispensation adaptée

    00:06:10 – Dérégulation : Bercy à la manœuvre

    00:10:18 – Proposition de loi visant à lutter contre les pénuries de médicaments

    00:12:38 – Question vidéo

    00:14:33 – Conclusion

    MARS BLEU : le mois de la promotion du dépistage du cancer colorectal

    Depuis janvier 2024, les invitations aux trois programmes de dépistage organisé des cancers (sein, colon, col de l’utérus) sont adressées par l’Assurance Maladie aux patientes n’ayant pas réalisé le dépistage dans les délais recommandés.

    Les relances au dépistage sont désormais dématérialisées et déposées dans le compte Ameli. Les patients ne disposant pas de compte Ameli reçoivent les relances par voie postale. En lien avec le CRCDC PACA, l’ARS PACA et différents partenaires, des actions ciblées d’aller-vers sont menées sur le terrain.

    Concernant le dépistage du cancer colorectal, les équipes de l’Assurance Maladie vont appeler les patients concernés afin de les accompagner dans ces démarches.

    En effet, près de 95 % des cancers colorectaux sont diagnostiqués après 50 ans, chez les hommes comme chez les femmes. Ce cancer évolue le plus souvent sans symptômes ni signes perceptibles dans un premier temps. Or, quand il est diagnostiqué à ce stade, il se soigne dans 9 cas sur 10.

    Vous avez la possibilité depuis 2022 de remettre le kit de dépistage à vos patients.

    Comment faire :

    Les kits de dépistage vierges peuvent être commandés gratuitement par le pharmacien d’officine sur le portail amelipro. Si vous ne disposez pas d’un kit de dépistage, vous pouvez indiquer à votre patient qu’il peut se le procurer en ligne, sur le site monkit.depistage-colorectal.fr. La connexion à ce site se fait via une authentification par FranceConnect. Vous pouvez également le rediriger vers son médecin traitant.

    Pour aller plus loin :

    La remise du kit est rémunérée à hauteur de 3 € TTC. Lorsque le patient réalise le test remis par un pharmacien, ce dernier est rémunéré 2€ TTC de plus.

    source ameli.fr

    Difficultés d’approvisionnement en méthylphénidate : l’ANSM publie des recommandations pour les pharmaciens

    Plusieurs médicaments contenant du méthylphénidate sont en forte tension d’approvisionnement voire en rupture de stock comme Quasym LP et Ritaline LP 10mg et 20mg et son générique Méthylphénidate Arrow LP 10 mg, 20 mg, 30 mg et 40 mg.

    Dans ce cadre, en lien avec les associations de patients et les professionnels de santé, nous demandons aux médecins de suspendre les initiations de traitement par ces médicaments jusqu’à leur remise à disposition normale et nous mettons en place des actions pour assurer la continuité de traitement des patients traités par ces médicaments.

    De plus, nous permettons aux  pharmaciens, à titre exceptionnel et temporaire, et si le médicament initialement prescrit n’est pas disponible, de délivrer un autre médicament à base de méthylphénidate, sans que le patient doive présenter une nouvelle ordonnance.

    Les médicaments à base de méthylphénidate sont indiqués dans la prise en charge du trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) et de la narcolepsie :

    • Quasym LP 10 mg, 20 mg et 30 mg (Takeda) ;
    • Ritaline 10 mg, comprimé sécable (Medipha) ;
    • Medikinet 5mg, 10 mg 20mg 30mg et 40mg (Biocodex) ;
    • Concerta LP 18 mg, 36 mg et 54 mg (Janssen) et ses génériques Méthylphénidate Biogaran LP 18 mg, 36 mg et 54 mg et Méthylphénidate Viatris LP 18 mg, 36 mg et 54 mg ;
    • Ritaline LP 10 mg 20 mg 30 mg et 40 mg (Medipha) et son générique Méthylphénidate Arrow LP 10 mg 20 mg 30 mg et 40 mg.

    Depuis quelques mois, des difficultés d’approvisionnement sont signalées au niveau mondial sur plusieurs spécialités à base de méthylphénidate. Dans l’ensemble, les laboratoires l’expliquent par une augmentation globale de la demande. De plus, le laboratoire Takeda doit remettre en conformité un site de fabrication et le laboratoire Arrow a rencontré un incident sur du matériel de production, entraînant des retards dans la fabrication des médicaments Quasym LP et Ritaline LP.

    Afin de réguler les ventes et prévenir une rupture sèche, des mesures de contingentement ont été mises en place dès que des difficultés ont été identifiées. Les exportations de ces médicaments par les grossistes-répartiteurs sont actuellement interdites.

    En complément, nous demandons aux prescripteurs de ne plus initier de traitement par Quasym LP, Ritaline LP 10 mg et 20 mg et son générique Méthylphénidate Arrow LP 10mg, 20mg, 30mg et 40mg,  jusqu’à ce que la situation s’améliore. Nous permettons également aux pharmaciens de remplacer un médicament indisponible par un autre médicament disponible selon les modalités ci-dessous.

    Ritaline LP 10 mg et 20 mg et son générique Méthylphénidate Arrow LP 10 mg, 20 mg, 30mg et 40 mg, Quasym LP (tous dosages), sont en forte tension d’approvisionnement, voire en rupture.

    Tous les dosages de Medikinet sont en revanche disponibles en quantité suffisante pour permettre la couverture des besoins, y compris ceux des patients actuellement traités par Quasym LP et Ritaline LP 10 mg et 20 mg ou son générique. 

    À savoir : les stocks de Ritaline LP 40 mg permettent de couvrir les besoins des patients traités par Méthylphénidate Arrow LP 40mg.

    Vous pouvez donc, à titre exceptionnel et temporaire, délivrer l’un des médicaments en stock, en remplacement d’un des médicaments prescrits indisponibles, selon les modalités détaillées ci-après, sans présentation d’une nouvelle ordonnance, et sous réserve que le médicament délivré en remplacement permette l’administration de la posologie prescrite.

    Médicament prescritMédicament pouvant être délivré en remplacement
    Quasym L.P. 10 mg, 20 mg ou 30 mg, gélule à libération modifiéeMedikinet 10 mg, 20 mg ou 30 mg, gélule à libération modifiée
    Ritaline L.P. 10 mg et 20 mg, gélule à libération prolongée
    Ou le générique :
    Méthylphénidate Arrow LP 10 mg, 20 mg ou 30 mg, gélule à libération prolongée
    Medikinet 10 mg, 20 mg ou 30 mg, gélule à libération modifiée

    Si vous procédez à ce remplacement :

    • Le dosage de Medikinet délivré en remplacement devra correspondre au dosage de la spécialité prescrite, y compris lorsque plusieurs dosages sont prescrits pour atteindre la posologie requise ;
    • Inscrivez sur l’ordonnance le nom du médicament délivré et informez le prescripteur par tout moyen ;
    • Prévenez le patient du remplacement et conseillez-lui de contacter son médecin en cas d’effet indésirable ou d’apparition d’un symptôme qu’il jugerait inhabituel ;
    • Informez les patients que compte tenu des cinétiques de libération du méthylphénidate différentes entre ces spécialités, la couverture des symptômes au cours de la journée peut être différente de celle obtenue avec son traitement habituel ;
    • Recommandez aux patients de prendre le médicament de remplacement (Medikinet, gélule à libération modifiée) pendant ou après les repas ;
    • Informez les patients qui étaient traités par Méthylphénidate Arrow que Medikinet contient un excipient à effet notoire, le saccharose, que Méthylphénidate Arrow ne contient pas.

    Consultez les recommandations du 22/02/2024 à l’attention des pharmaciens concernant les spécialités à base de méthylphénidate

    Information pour les patients

    En raison de fortes tensions d’approvisionnement voire de ruptures de stock, votre pharmacien pourra vous délivrer du Medikinet, un autre médicament à base de méthylphénidate, si vous, ou votre enfant, êtes actuellement traité(e)s par Ritaline LP 10 mg ou 20 mg et son générique Méthylphénidate Arrow ou par Quasym LP (tous dosages).

    Concernant le Medikinet qui vous est donné en remplacement, vous devez savoir que :

    • Medikinet contient l’excipient saccharose. Cet excipient est également présent dans Quasym et Ritaline LP. En revanche, il n’est pas présent dans le médicament Méthylphénidate Arrow. En effet, les excipients peuvent varier entre les médicaments. Si vous êtes intolérant ou allergique au saccharose, parlez-en à votre pharmacien ;
    • Prenez le médicament Medikinet pendant ou après un repas ;
    • Medikinet étant un médicament différent de celui que vous ou votre enfant prenez d’habitude, il est possible que son efficacité sur vos symptômes ne soit pas complètement la même au cours de la journée que celle procurée par votre traitement habituel ;
    • Enfin, le remplacement de votre médicament indisponible par un autre médicament à base de méthylphénidate peut provoquer des effets indésirables. Contactez votre médecin en cas de survenue d’effets indésirables ou d’apparition d’un symptôme inhabituel.
    Les Pharmaciens du Sud

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