Norlevo®: rappel des indications

INDICATIONS

Ce médicament est un contraceptif oral (pilule) qui contient un progestatif. Il n’est actif que pendant la période qui précède la fixation de l’ovule fécondé sur l’utérus, soit environ 72 heures après le rapport sexuel : ce n’est pas une méthode d’interruption de grossesse.
Il est utilisé pour la contraception d’urgence, également appelée « pilule du lendemain », notamment dans les cas suivants :

  • oubli ou rupture d’un préservatif,
  • retard de la prise du comprimé contraceptif habituel au delà du délai acceptable (voir ce délai dans la fiche de votre pilule contraceptive),
  • perte d’un stérilet expulsé spontanément de l’utérus,
  • déplacement ou retrait trop précoce d’un diaphragme vaginal ou d’une cape contraceptive,
  • doute sur la bonne pratique de la méthode du coït interrompu,
  • erreur de date lors de l’emploi de la méthode de l’abstinence périodique (méthode des températures),
  • rapport sexuel résultant d’un viol.
ATTENTION

Cette contraception d’urgence n’est pas totalement efficace : une grossesse peut survenir malgré le traitement. Elle est destinée à un usage exceptionnel et ne peut constituer une méthode de contraception régulière. Elle n’a pas d’effet préventif pour les rapports ultérieurs, et une contraception locale doit être utilisée jusqu’à la fin du cycle en cours avant la reprise éventuelle d’une pilule contraceptive (le premier jour des règles).
Le traitement n’est efficace et possible que dans les 3 jours qui suivent le rapport potentiellement fécondant. Il n’a, bien sûr, aucune action sur la transmission de maladies vénériennes.
Ce médicament ne modifie généralement pas la date de survenue des règles, mais celles-ci peuvent être décalées de quelques jours. En cas de retard de règles de plus de 5 jours, qui ne signifie pas forcément que le traitement a échoué, un test de grossesse permettra de savoir si ce retard est dû à une grossesse évolutive ou à un dérèglement hormonal.
L’usage de ce médicament est déconseillé chez les femmes exposées à un risque de grossesse extra-utérine (antécédent d’infection des trompes (salpingite) ou de grossesse extra-utérine). En cas de douleurs abdominales ou de saignements anormaux autour de la date attendue des règles, pratiquez un test de grossesse et consultez en urgence votre médecin si le test est positif. Le diagnostic de grossesse extra-utérine est réalisé par une échographie.
Des précautions sont nécessaires en cas de maladie hépatique grave.
L’utilisation répétée de ce traitement pendant le même cycle est à éviter : risque augmenté de dérèglement hormonal et d’effets indésirables.

source Vidal

UTILISATION ET VENTE D’ALCOOL EN OFFICINE

La proposition d’amendement modifiant la réglementation en la matière

a été adoptée par l’Assemblée nationale 

___________

L’Assemblée nationale a adopté le 17 février 2012, dans le cadre de la première lecture du projet de loi de finances rectificative pour 2012, la proposition d’amendement (copie jointe) visant à modifier la réglementation applicable en matière de droits d’accises portant sur l’alcool non dénaturé vendu en officine.

Cette adoption en première lecture constitue une première étape indispensable. Toutefois, les dispositions contenues dans la proposition d’amendement doivent encore faire l’objet, notamment, d’un examen par le Sénat.

Dans ce contexte, nous vous invitons à vous rapprocher de vos sénateurs afin de les sensibiliser à l’intérêt que présentent, pour la pharmacie d’officine, les dispositions votées par l’Assemblée nationale et leur demander de les soutenir lors de leur examen par la Chambre Haute.

De plus, il est probable que le Conseil constitutionnel soit saisi du projet de loi, une fois que celui-ci aura été définitivement adopté par le Parlement. Si les dispositions contenues dans la proposition d’amendement y figurent, le Conseil serait alors amené à se prononcer sur leur constitutionnalité.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l’issue réservée à cet amendement.

Christophe KOPERSKI

Président de la Commission

Exercice professionnel

______________

 

P.J. :   Amendement alcool    proposition d’amendement modifiant la réglementation applicable en matière de droits d’accises portant sur l’alcool non dénaturé vendu en officine.


	

Contraception d’Urgence des Mineures: Adresse du CPEF le plus proche

Contraceptions des ados

Décret n° 2002-39 du 9 janvier 2002 relatif à la délivrance aux mineures
des médicaments ayant pour but la contraception d’urgence

Art. 1er. – La délivrance aux mineures des médicaments indiqués dans la contraception d’urgence et non soumis à prescription médicale obligatoire tels que définis au deuxième alinéa de l’article L. 5134-1 du code de la santé publique est effectuée dans les conditions définies à l’article R. 5015-48 et au quatrième alinéa de l’article R. 5089-9 du même code. La délivrance par le pharmacien est précédée d’un entretien visant à s’assurer que la situation de la personne mineure correspond aux critères d’urgence et aux conditions d’utilisation de cette contraception. L’entretien permet également au pharmacien de fournir à la mineure une information sur l’accès à une contraception régulière, sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles et sur l’intérêt d’un suivi médical. Cette information est complétée par la remise de la documentation dont dispose le pharmacien sur ces sujets. Le pharmacien communique également à la mineure les coordonnées du centre de planification ou d’éducation familiale le plus proche.

Art. 2. – La minorité à laquelle est subordonnée la gratuité de la délivrance prévue à l’article L. 5134-1 est justifiée par la simple déclaration orale faite au pharmacien par l’intéressée.

Un lien pour commander des brochures destinées au public concerné:

http://www.cespharm.fr/fr/Prevention-sante/Catalogue/(offset)/8/(theme)/93

 Les adresses à connaitre et à communiquer:

Centres de Planification et d’Education Familiale du département 13:

Ils assurent des consultations de contraception, des actions individuelles et collectives de prévention portant sur la sexualité et l’éducation familiale, des entretiens préalables à l’interruption volontaire de grossesse et des entretiens relatifs à la régulation des naissances dans les suites d’une interruption volontaire de grossesse. Ils organisent en outre des séances de préparation à la vie de couple et à la fonction parentale, et des entretiens de conseil conjugal. Les centres de planification ou d’éducation familiale délivrent à titre gratuit des médicaments ou objets contraceptifs aux mineurs désirant garder le secret ainsi qu’aux personnes ne bénéficiant pas de prestations maladie, assurées par un régime légal ou réglementaire.

ATTENTION: Les centres de planification familiale sont ouverts au public, du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h.

 AIX-EN-PROVENCE
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    Rue Calmette et Guerin
    Zup d’Encagagne
    13100 AIX-EN-PROVENCE
    04 42 95 91 13
    04 42 64 42 42 (standard)
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre Hospitalier du pays d’Aix
    Service Gynécologie obstétrique
    Avenue des Tamaris
    13100 AIX-EN-PROVENCE
    04 42 33 50 30
    04 42 33 50 00 (standard)

ARLES

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    35, rue du Docteur Fanton
    13200 ARLES
    04 90 93 00 95
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Cité Barriol
    Place Maurice Thorez
    13200 ARLES
    04 90 93 90 06
    04 90 93 46 28 (standard)
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Hôpital général Joseph Imbert
    Service gynécologie obstétrique
    Quartier Haut de Fourchon
    13200 ARLES
    04 90 49 29 34
    04 90 49 29 29 (standard)

AUBAGNE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    10, allée Antide Boyer
    13400 AUBAGNE
    04 42 36 95 40
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre Hospitalier
    Service de maternité
    179, avenue des Sœurs Gastine
    13400 AUBAGNE
    04 42 84 70 86
    04 42 84 70 00 (standard)

CHATEAURENARD

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    Immeuble les Halles
    3, Cours Carnot
    13160 CHATEAURENARD
    04 90 94 00 26

GARDANNE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    173, Boulevard Pont de Péton
    13120 GARDANNE
    04 42 58 39 29

ISTRES

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    Centre éducatif et culturel “ Les heures claires ”
    13800 ISTRES
    04 42 56 07 59

LA CIOTAT

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre Hospitalier
    Maternité
    Boulevard Lamartine
    13600 LA CIOTAT
    04 42 08 76 03
    04 42 08 76 00

MARIGNANE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social PMI
    Rue du Stade
    13700 MARIGNANE
    04 42 77 78 56
    04 42 88 73 00 (standard)

MARSEILLE

  • CENTRE DE PLANIFICATION DU LITTORAL
    Centre de planification la Joliette
    63, Avenue Robert Schuman
    13002 MARSEILLE
    04 91 01 24 54
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social – PMI
    34 Bd BOUES
    13003 MARSEILLE
    04 95 12 65 40
  • CENTRE DE PLANIFICATION SAINT ADRIEN
    12, rue Saint Adrien
    13008 MARSEILLE
    04 13 31 56 01
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social Le NAUTILE
    29 Av de Frais Vallon
    13013 MARSEILLE
    04 96 13 07 45
  • CENTRE DE PLANIFICATION LE MERLAN
    Centre de planification les Flamants
    18, avenue Ansaldi
    13014 MARSEILLE
    04 86 13 64 94
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Hôpital de la Conception – Clinique Obstétricale
    147, Boulevard Baille
    13005 MARSEILLE
    04 91 38 37 40
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Hôpital Nord
    Chemin des Bourrelys
    13015 MARSEILLE
    04 91 96 46 78
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    MOUVEMENT FRANÇAIS POUR LE PLANNING FAMILIAL (MFPF)
    13, Boulevard d’Athènes
    13002 MARSEILLE
    04 91 91 09 39

MARTIGUES

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    Traverse Charles Marville
    13500 MARTIGUES
    04 42 40 42 32
  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre Hospitalier de Martigues
    3, Boulevard des Rayettes
    13500 MARTIGUES
    04 42 43 25 60
    04 42 43 24 62

MIRAMAS

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    1, Place des Baladins
    Zac la Rousse
    13140 MIRAMAS
    04 90 58 23 60

PORT DE BOUC

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social – PMI
    Rue de la République
    13110 PORT DE BOUC
    04 42 06 57 83

PORT SAINT LOUIS DU RHONE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    1, Esplanade de la Paix
    13320 PORT SAINT LOUIS DU RHONE
    04 42 48 40 74

SAINT MARTIN DE CRAU

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre social les Oliviers
    Rue de la Laure
    13310 SAINT MARTIN DE CRAU
    04 90 47 35 52

SAINT REMY DE PROVENCE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Centre médico-social
    11, avenue Taillandier
    13120 SAINT REMY DE PROVENCE
    04 90 92 22 92

SALON DE PROVENCE

  • CENTRE DE PLANIFICATION
    Immeuble Marc SANGNIER
    92 avenue Frédéric MISTRAL
    13300 SALON DE PROVENCE
    04 90 44 76 40

TARASCON

  • PMI – Centre médico-social
    Boulevard Gustave Desplaces
    13150 TARASCON
    04 90 91 25 97

VITROLLES

  • Centre médico-social
    Zac des Pins
    Quartier des Plantiers
    13127 VITROLLES
    04 42 89 05 06

Evolution de l’activité officinale française (source FSPF-Pharmastat)

 

CA total HT

 

évol%

2007

33 750 M€

4,6%

2008

33 750 M€

0,0%

2009

34 012 M€

0,8%

2010

33 902 M€

-0,3%

2011

33 956 M€

0,2%

déc-10

2 991 M€

0,5%

janv-11

2 892 M€

3,1%

févr-11

2 689 M€

1,0%

mars-11

2 968 M€

-0,8%

avr-11

2 786 M€

-1,8%

mai-11

2 895 M€

6,1%

juin-11

2 798 M€

-3,8%

juil-11

2 823 M€

-3,9%

août-11

2 588 M€

3,9%

sept-11

2 843 M€

-0,1%

oct-11

2 900 M€

-0,2%

nov-11

2 822 M€

0,9%

déc-11

2 951 M€

-1,3%

Cum 12 mois

33 956 M€

0,2%

Cum depuis janv.

33 956 M€

0,2%

Médicaments dérivés du sang

Transcription au registre spécial

Registre spécial : les conditions à respecter !

Lors de la délivrance d’un médicament dérivé du sang, le pharmacien d’officine doit les transcrire aussitôt sur un registre spécial côté et paraphé par le maire ou le commissaire de police.

Le Code de la santé publique prévoit que cette délivrance peut être enregistrée par tout système approuvé par le Ministère de la santé. A ce jour aucun système ne l’ayant été, seule la transcription sur un registre spécial non informatique est possible.

Les informations suivantes doivent figurer sur le registre spécial :

  • nom et adresse du prescripteur ;
  • nom, adresse et date de naissance du patient ;
  • date de délivrance ;
  • dénomination du médicament ;
  • quantité délivrée ;
  • les informations figurant sur l’étiquette de traçabilité détachable du  conditionnement extérieur.

L’étiquette doit être collée sur le registre spécial.

Les transcriptions comportent pour chaque médicament délivré un numéro d’ordre chronologique différent.

SANG “Médicaments dérivés du sang”

Code CIP/ACL Dénomination commerciale
3400932892198 GAMMATETANOS 250UI/2ml SOL INJ SER IM 2ml B/1 SANG Froid
3400936397194 RHOPHYLAC 300µg/2ml SOL INJ SER 2ml B/1 SANG Froid
3400936397026 RHOPHYLAC 200µg/2ml SOL INJ SER 2ml B/1

source:  www.meddispar.fr

Procédure légale applicable à la récupération, par les caisses, des sommes indûment versées.

De nombreux confrères nous ont interrogés sur les procédures d’indu que pratique la CPAM 131 envers les pharmaciens.

La plupart des procédures employées  sont sujettes à caution et vous pouvez consulter la démarche légale que doit suivre

la CPAM 131 en cas d’indu sur notre site internet.

Vous pouvez aussi envoyer votre avocat sur la page car ces explications ont été faites par le service juridique de la FSPF que Valérie Ollier de Lécluse, notre spécialiste CPAM 131, a contacté dernièrement. Le mot de passe est toujours le même.

 

c’est ici:    https://pharmaciens13.info/?page_id=3271

 

Article L133-4

En cas d’inobservation des règles de tarification ou de facturation :

1° Des actes, prestations et produits figurant sur les listes mentionnées aux articles L. 162-1-7, L. 162-17, L. 165-1, L. 162-22-7 ou relevant des dispositions des articles L. 162-22-1 et L. 162-22-6 ;

2° Des frais de transports mentionnés à l’article L. 321-1,

l’organisme de prise en charge recouvre l’indu correspondant auprès du professionnel ou de l’établissement à l’origine du non-respect de ces règles et ce, que le paiement ait été effectué à l’assuré, à un autre professionnel de santé ou à un établissement.

Il en est de même en cas de facturation en vue du remboursement, par les organismes d’assurance maladie, d’un acte non effectué ou de prestations et produits non délivrés.

Lorsque le professionnel ou l’établissement faisant l’objet de la notification d’indu est également débiteur à l’égard de l’assuré ou de son organisme complémentaire, l’organisme de prise en charge peut récupérer la totalité de l’indu. Il restitue à l’assuré et, le cas échéant, à son organisme complémentaire les montants qu’ils ont versés à tort.

L’action en recouvrement, qui se prescrit par trois ans, sauf en cas de fraude, à compter de la date de paiement de la somme indue, s’ouvre par l’envoi au professionnel ou à l’établissement d’une notification de payer le montant réclamé ou de produire, le cas échéant, leurs observations.

En cas de rejet total ou partiel des observations de l’intéressé, le directeur de l’organisme d’assurance maladie adresse, par lettre recommandée, une mise en demeure à l’intéressé de payer dans le délai d’un mois. La mise en demeure ne peut concerner que des sommes portées sur la notification.

Lorsque la mise en demeure reste sans effet, le directeur de l’organisme peut délivrer une contrainte qui, à défaut d’opposition du débiteur devant le tribunal des affaires de sécurité sociale, comporte tous les effets d’un jugement et confère notamment le bénéfice de l’hypothèque judiciaire. Une majoration de 10 % est applicable aux sommes réclamées qui n’ont pas été réglées aux dates d’exigibilité mentionnées dans la mise en demeure. Cette majoration peut faire l’objet d’une remise.

Un décret en Conseil d’Etat définit les modalités d’application des trois alinéas qui précèdent.

Article R133-9-1

I. – La notification de payer prévue à l’article L. 133-4 est envoyée par le directeur de l’organisme d’assurance maladie au professionnel ou à l’établissement par lettre recommandée avec demande d’avis de réception.

Cette lettre précise la cause, la nature et le montant des sommes réclamées et la date du ou des versements indus donnant lieu à recouvrement. Elle mentionne l’existence d’un délai d’un mois à partir de sa réception, imparti au débiteur pour s’acquitter des sommes réclamées. Elle informe ce dernier qu’à défaut de paiement dans ce délai, il sera mis en demeure de payer l’indu avec une majoration de 10 %. Dans le même délai, l’intéressé peut présenter des observations écrites à l’organisme d’assurance maladie.

En cas de désaccord avec les observations de l’intéressé et en l’absence de paiement dans le délai imparti, le directeur de l’organisme lui adresse par lettre recommandée avec demande d’avis de réception la mise en demeure prévue à l’article L. 133-4. Cette mise en demeure comporte la cause, la nature et le montant des sommes demeurant réclamées, la date du ou des versements indus donnant lieu à recouvrement, le motif qui, le cas échéant, a conduit à rejeter totalement ou partiellement les observations présentées, le montant de la majoration de 10 % afférente aux sommes encore dues ainsi que le délai de saisine de la commission de recours amiable prévue à l’article R. 142-1.

II. – Si le montant de l’indu a été entièrement payé dans le mois suivant l’envoi de la mise en demeure, la majoration de 10 % peut faire l’objet d’une remise par le directeur de l’organisme de sécurité sociale à la demande du débiteur en cas de bonne foi de celui-ci ou si son montant est inférieur à un des seuils, différents selon qu’il s’agit d’un professionnel de santé ou d’un établissement de santé, fixés par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale.


Les Pharmaciens du Sud

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